Les bras de certains ont
dû leur tomber, ce mardi 7 janvier, à ces quelques dizaines de badauds seulement (une
majorité attendant surtout le buffet comme l’avait écrit auparavant le blog CGC
Média - photo ci-après) répartis dan le hall du siège de France Télés, qui ont entendu l’ex-Orange a tenté de refaire la loi.
Alors que La Lettre
Pro indiquait ce matin même dans son article signé François Quairel « La
réforme de l'audiovisuel est
repoussée au printemps »,: «Nouveau report pour la réforme de
l'audiovisuel très attendu [le masculin se rapportant forcément,
ici, au report, ndlr ] par l'ensemble du secteur.
Prévu initialement en
février jusqu'ici, l'étude du texte est repoussée au mois d'avril 2020 au
moins, a indiqué le ministère de la Culture, soit après l'examen de
la réforme des retraites… », Ernotte a déclaré "C'est ici et
d'abord à vous que je tiens à le dire, je serai candidate à une prolongation
de mon mandat à la tête de France Télévisions", plaidant pour la "continuité" à la tête du groupe en pleine
réforme de l'audiovisuel.
« Je me suis fais
des attaches, ici, parmi vous » a-t-elle lancé… « Ah bon ?!
» murmure ce collaborateur qui s’est rapproché très dubitatif du
buffet mais surtout du punch « C’est nouveau ça…Tu sais depuis quand ?
Parce qu’ici personne ne le sait » ironise-t-il à son
collègue qui vient de tremper son légume dans la sauce blanche.
La farce est tellement
énorme qu’évidemment plus personne n’écoute.
C’est extraordinaire, la
loi ne sera même pas encore débattue au Parlement qu’Ernotte décide de ce qui
sera…à commencer par une soi-disant période de prolongation
que devrait pousser le toujours ministre de la Culture Franck Riester
dans son texte, voire dans un petit process législatif annexe
style de celui qui se trouve en minuscule dans les contrats d’assurance en bas
de la page 92 !
Ça n’a pas l’air de trop gêner celle dont le parachutage en
avril 2015 fait toujours l’objet d’une instruction judiciaire avec la constitution
récemment d’une nouvelle partie civile, puisqu’elle a donc fait savoir en haut des marches du hall du siège, être « candidate à une prolongation
de son mandat jusqu'à fin 2022. »
Juste après la présidentielle
de 2022 d’ailleurs où son candidat sera peut-être d’ici là, élu Président
de la République…C’est Édouard Philippe qui a donné le timing !
Celle qui depuis son parachutage
a cumulé tous les échecs possibles et laissera France Télévisions comme un
champs de ruines, est probablement très au-dessus des lois ! Puis, il ne
faut pas oublier qu’elle embrasse la première dame !!
« Sa bise à Brigitte Macron durant la campagne électorale a relancé les soupçons de discrètes accointances politiques, dont on dit qu'elles lui auraient déjà valu son élection par le CSA [Schrameck and co, ndlr] à la tête de la télévision nationale. » écrit ce jour Capital…d’où la plainte au Pénal toujours en cours.
« Sa bise à Brigitte Macron durant la campagne électorale a relancé les soupçons de discrètes accointances politiques, dont on dit qu'elles lui auraient déjà valu son élection par le CSA [Schrameck and co, ndlr] à la tête de la télévision nationale. » écrit ce jour Capital…d’où la plainte au Pénal toujours en cours.
Que Roch-Olivier Maistre
et les six autres membres de l’Instance de régulation qui sera bien toujours en
place en mars prochain, se le disent et le comprennent « Leur avis n’intéressera
personne puisque les embrassades ont eu lieu ».
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