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samedi 24 mai 2025

Ernotte met le feu à Radio France où les salariés ne veulent plus entendre parler d’elle -Merci l’Arcom - mais elle se pavane à Cannes.

Ernotte met le feu à Radio France où les salariés ne veulent plus entendre parler d’elle -Merci l’Arcom - mais elle se pavane à Cannes.

L’Autorité prétend s’être « fondée sur la stratégie numérique présentée par Ernotte destinée à répondre à l'évolution des usages, notamment en matière de distribution grâce à des projets de coopération au sein de l'audiovisuel public » !

Le blog CGC Média ne va pas revenir sur l’article écrit récemment « L’Agence dite indépendante (l’Arcom) n’en aura pas été à un mensonge près ! » où il est question, entre autres, de l’énorme bobard numérique monté par l’Agence pour aller comme il l’affirme  « dans la continuité ».

Ce qui se passe à Radio France en dit long sur le souk qu’ont décidé mettre dans tout l’Audiovisuel public, Ajdari et sa troupe.

Pure Médias titre « "Une radio en kit et sans âme" : Des salariés de ICI (ex-France Bleu) dénoncent "la politique éditoriale dangereuse" de la direction… » (¤) 

Pendant ce temps-là, Ernotte se pavane à Cannes où quelques paons vont faire la roue devant la dame en rouge sur le tapis rouge…on a d’ailleurs failli confondre les 2.

Le blog CGC Média vous propose pour l’occasion, d’habiller votre poupée cannoise en 5 minutes maxi pour lui permettre de monter les marches avec tous ses accessoires. (*)

(*)

(¤) Extraits :

Les salariés de 24 des 44 stations locales ICI (nouveau nom de France Bleu depuis janvier 2025) ont exprimé, dans une lettre ouverte envoyée à leur direction, leur "défiance quant à la stratégie proposée par la direction du réseau". [C’est-à-dire en réalité les oukases ernottiens, ndlr !]

Le malaise se propage à ICI. Alors que direction et élus syndicaux se rencontraient ces mercredi 21 et jeudi 22 mai 2025 en CSE, l'écrasante majorité des salariés de 24 des 44 locales du réseau Radio France*, selon les éléments que Puremédias a pu recueillir, ont adressé à leur direction une lettre ouverte dans laquelle journalistes, animateurs, techniciens et agents d'accueil expriment leurs "doutes" et leur "défiance quant à la stratégie proposée par la direction du réseau pour (les) stations locales".

Sibyle Veil, PDG de Radio France, Céline Pigalle, directrice d'ICI, Yann Chouquet, directeur adjoint de la station en charge des antennes et de la stratégie éditoriale, et Antoine Blin, directeur des programmes du réseau ICI, devraient recevoir dans les prochaines heures les doléances de quatre stations supplémentaires.

"Les premiers résultats d'audience ont été un choc pour les équipes" [vous savez le gros bobard qu’a raconté l’ex-Orange à la bande des 8 que l'on retrouve dans sa publication au Journal Officiel : « Elle rappelle son attachement à des coopérations renforcées au sein de l'audiovisuel public. », ndlr] 

Pure médias de poursuivre :

"Cette fois, la situation est trop grave pour faire comme si tout allait bien", donnent le ton d'entrée de jeu, par exemple, les salariés d'ICI Roussillon, fatigués d'appliquer, depuis des années et face à "des contraintes budgétaires toujours plus fortes", "des ordres et des contre-ordres venus d'en haut, le plus souvent sans concertation avec les équipes, sans que nos inquiétudes et nos doutes soient pris en compte ou entendus".

Ils rappellent ainsi qu'ils ont "porté à bout de bras les matinales filmées et un changement de nom imposé, tout en produisant davantage sur le numérique, avec des résultats exceptionnels au regard de la faiblesse des moyens". [C’est bien la preuve que les salades qu’est allée chanter l’ex-Orange, aura été prise pour argent comptant sans la moindre contradiction de la bande des 8 avec cette indigne publication au Journal Officiel qui rappelle « son attachement à des coopérations renforcées au sein de l'audiovisuel public. », ndlr]  

"La politique éditoriale de la direction d'ICI nous paraît dangereuse et incompréhensible, car elle s'attaque à l'essence même de nos antennes, alors que les premiers résultats d'audience de la stratégie initiée en septembre sont catastrophiques et ont été un choc pour les équipes", insistent-ils....

Voilà mesdames, messieurs, les mensonges que vous avez enchaînés les uns derrière les autres et qui font qu’une plainte pénale est en préparation pour être déposée dans les jours qui viennent par la CGC Audiovisuel et probablement pas que….

(*) Ça y est, les 5 minutes sont passées…La voilà habillée à l’identique votre poupée …prête pour la photo.



vendredi 23 mai 2025

C'est ça aussi "le choix de privilégier la continuité" à France Télés : les plaintes vont continuer de tomber à tour de bras.

C'est ça aussi "le choix de privilégier la continuité" à France Télés : les plaintes vont continuer de  tomber à tour de bras.

En attendant la plainte pénale en préparation qu'a indiqué déposer la CGC Audiovisuel et qui vise évidemment au premier chef le responsable légal de l'Arcom mais également l'ensemble des participants à cette mascarade du 14 mai dernier (de celles et et ceux qui commettent l'acte jusqu'au récipiendaire), c'est un signalement fait au PNF par un député LR que La Lettre révèle aujourd'hui. (*)

(*) Extrait: 

"Le PNF saisi sur l'emploi par France télévisions d'un adjoint d'Anne Hidalgo.  Avec l'appui de l'association Transparence citoyenne, en partie financée par Pierre Édouard Stérin, l'élu LR Aurélien Véron a signalé au Parquet national financier la double casquette d'Arnaud Ngatcha. 

Cet adjoint de la maire de Paris, souvent ciblé sur les réseaux sociaux, est aussi salarié de la direction des programmes de France Télévisions".

C'est ça aussi, choisir " de privilégier la continuité" 

Les Français qui voient chaque jour la situation du Pays se dégrader vont donc pouvoir "payer dans  la continuité".

Voici ce que publiait l'Agence entre autres aberrations après la 3ème parachutage ernottien   « L'Autorité a fait le choix de privilégier la continuité à la tête du groupe, dans un contexte marqué par "des incertitudes majeures" ».

Dans ces fameuses "incertitudes majeures", il y a bien entendu le projet de holding Ernotte/Dati, véritable retour de l'usine à gaz qui couterait à très court terme des centaines et des centaines de millions pour ne pas dire des milliards dans la foulée et que certain(e)s voient comme l'opportunité de planquer la poussière de France Télés sous la tapis et encore remiser encore plus profond les squelettes dans les placards.

Avec une  dette publique qui  culmine désormais à près de 3 300 Md€, des charges d'intérêt à 59 Md€ et un déficit public qui "risque de dépasser" 6% du PIB en 2025, les Français qui n'ont à l'évidence d'autres priorités que de recréer l'ORTF pour consacrer l'ex-Orange à sa tête (ça c'est sans la plainte !)vont donc "banquer encore et encore mais dans la continuité" !


Toujours au rayon " incertitudes majeures", il y a le vote à l'Assemblée d'un texte qui n'a plus ni queue ni tête, le 23 juin prochain, selon les dires de Rachida Dati.

" ll sera voté avec les voix du RN et du Centre" nous explique ce sachant qui poursuit "Le RN c'est pour mieux privatiser le tout et le centre c'est parce François est toujours Premier ministre et que tout le monde suivra "

Voilà qui a le mérite d'être clair et devrait effectivement enchanter les Français mais surtout inquiéter les salariés du groupe public dont la colère est à son apogée et la mobilisation en très forte hausse  !!



 

jeudi 22 mai 2025

L’Agence dite indépendante (l’Arcom) n’en aura pas été à un mensonge près !

L’Agence dite indépendante (l’Arcom) n’en aura pas été à un mensonge près !

« L'Autorité s'est fondée sur la stratégie numérique présentée, destinée à répondre à l'évolution des usages… » écrit l’agence pour soi-disant motiver le parachutage numéro 3 de l’ex-Orange à France Télés.

L’Agence Ajdarienne n’en aura pas été à un mensonge près, tant à l’oral qu’à l’écrit.

Dans ses 30 pages intitulées « Réconcilier », Ernotte dès la 7ème ligne balance «  Le numérique rapproche autant qu’il isole ». L’Agence l’interroge sur la télévision publique dont la réception, elle, est totalement gratuite depuis la suppression de la CAP et elle explique que le Numérique (selon son acception) qui lui est payant et isole (#) !

Les régions et l'Outre-mer n'ont pas tous la même conception et probablement pas les mêmes moyens (¤) dans une France en crise financière comme sociale.

Ernotte d’ajouter à l’oral un gros bobard : « Notre réussite sur le numérique est indiscutable, depuis le début de cette année, encore au mois d'avril, avec 39 millions de visiteurs uniques mensuels, nous sommes devenus cette année la première plateforme de streaming en France. »

C’est faux, archi faux et ce n’est pas parce que FTV distille sa com’ propagande tous azimuts que cela serait le cas ! (* voir les vrais chiffres)

(¤) En 2024, selon les données disponibles, environ 6 % des ménages français n'ont pas accès à Internet, ce qui représente environ 1,7 million de ménages (sur un total d’environ 28 millions de ménages en France).

En le  ramenant à la population totale (environ 68 millions de personnes), cela correspond à environ 4 à 5 millions de Français sans accès à Internet à domicile, bien que ce chiffre puisse varier légèrement selon les sources et les critères (accès fixe, mobile, ou usage effectif).

Le Baromètre du numérique 2024 précise que 84 % de la population de 12 ans et plus dispose d’une connexion Internet fixe à domicile, laissant donc 16 % sans connexion fixe, bien que certains puissent utiliser une connexion mobile. Parmi ces 16 %, 39 % citent un manque d’intérêt, 13 % trouvent la connexion mobile suffisante et 10 % évoquent le coût.

En revanche la télé c'est très largement plus. En  2018, 94 % des foyers français selon le CSA contre  98,3 % en 2012 selon Médiamétrie, possédaient un téléviseur, selon les données de Statista. Ce chiffre est en légère baisse par rapport aux années précédentes, avec au moins 90% en 2024 s’expliquant effectivement par une moindre adoption chez les jeunes, les personnes vivant seules, les CSP+ et les citadins, qui privilégient parfois des écrans alternatifs comme les ordinateurs ou smartphones.

Eh oui ! Quelqu’un pourrait-il expliquer que le Numérique  - « tel que le voit l’ex-Orange et non tel qu’il est », à un coût et quel que soit le support.

(#) Enfin en 2024, le montant moyen des abonnements numériques en France, incluant les services de télévision payante et de streaming vidéo (SVoD), est d’environ 45 euros par mois par foyer, selon une étude du cabinet BearingPoint. Cette somme englobe divers abonnements numériques (vidéo à la demande, musique, presse, etc.), avec une forte prédominance des services de streaming vidéo, auxquels 63 % des Français sont abonnés.

Ne parlons pas de la catastrophe industrielle, la plateforme Salto liquidée après deux et demi de bérézina qui aura coûté près de 90M€ aux Français...

Le blog CGC Média cite à cet effet , deux proverbes :

"Quand le mensonge prend l'ascenseur, la vérité prend l'escalier. Elle met du temps mais finit toujours par arriver".

“Qui dit un mensonge en dit cent.”

(*)

La première plateforme de streaming en France, si l'on parle de vidéo à la demande (SVOD), est Netflix, qui s'est imposée comme leader en termes d'abonnés et d'utilisation. Selon des données de 2024, plus de 67 % des Français ont visionné un programme sur Netflix au premier trimestre, loin devant d'autres plateformes comme myCanal, utilisée par moins de 25 % des spectateurs. Netflix domine également en termes de trafic internet en France.[](https://fr.statista.com/themes/9169/streaming-video-dans-le-monde/)

Cependant, si l'on considère les plateformes de streaming gratuitesTF1+ est la première plateforme de streaming gratuite en France.

Lancée le 8 janvier 2024 par le groupe TF1 en remplacement de l’ancien service MYTF1, elle est la première plateforme gratuite en France, avec plus de 15 000 heures de contenu et 39 millions de visiteurs uniques en avril 2024.

TF1+ propose plus de 15 000 heures de contenus, incluant 300 séries, 200 films, 200 divertissements, des émissions en direct et des informations exclusives comme TOP INFO (segments d’actualité de 3 à 6 minutes). Accessible sur TV, PC, smartphones, tablettes, et box (Orange, Bouygues Telecom, SFR, etc.), TF1+ offre une expérience intuitive avec des fonctionnalités innovantes comme TOP CHRONO (résumés personnalisés) et SYNCHRO (recommandations pour visionnage groupé). 

En résumé, Netflix est la première plateforme SVOD payante, TF1+ domine parmi les gratuites et Deezer est pionnier dans le streaming musical en France.


Alors mesdames et messieurs de l'Agence, il ne suffit pas d'affirmer sans jamais dire comment faire pour fonder une décisions sur finalement du vent car il n'y a dans l'audition, ni engagement réel, ni proposition, ni  solution, ni réponse aucune réponse.

En voici les extraits surréalises qui fonderaient soi-disant l'Agence à avoir chois la continuité !

"Notre réussite sur le numérique est indiscutable"

"France Télévisions a fait évoluer son offre numérique, a épousé son époque"

"Je veux faire de France.tv le carrefour numérique incontournable de notre pays, d'ici 2030"

"Pensés d'abord pour un environnement numérique, les contenus seront mieux diffusés"

"L'éditorial sera rapproché du numérique"

"Priorité sera donnée au numérique, c'est pourquoi je m'engage à concentrer toute l'offre  locale sur la plateforme ICI"

"Je mettrai en chantier d'une nouvelle organisation mêlant le numérique, les contenus pour parler à tous, exceller dans la distribution."

"Je pense qu'il faut penser les choses d'abord sur le numérique. Je vais prendre un exemple très concret. Je parle d'émissions politiques. Roumanie, c'est TikTok qui a fait l'émission politique, pas les médias privés et traditionnels."

"Dès la conception des programmes, il faut intégrer des formats et un mode de distribution différent. Le faire sans bouger le poids du corps vers le numérique, sans faire en sorte que la direction du numérique aujourd'hui qui est entre guillemets une direction à part entière, n'essaime dans toute la direction des antennes et des programmes, ça me paraît compliqué."

"Alors je ne présente pas un schéma d'organisation mais une philosophie d'organisation. L'objectif, c'est de passer le poids du corps du linéaire vers le numérique."

"Je pense qu'il faut que nous soyons nous-mêmes plus en dialogue avec nos publics et créer un médiateur numérique [Qu'est-ce que c'est que ce truc ? ndlr]  comme le médiateur qui répond aux courriers, là, l'ère est aux réseaux sociaux. Nous devons interagir de manière plus régulière."

Cerise sur le gâteau, sa réponse à Benoit Loutrel qui s'interroge sur l'IAG et lui demande comment elle prévoit d'effecteur "la transformation de l'espace numérique" et à qui elle rétorque "Sur l'IA, nous avons une approche collective"

Extrait de l'oral...attention, il faut s'accrocher pour tirer quelque chose du galimatias de fin où elle est d'accord avec elle-même en somme, parlant d'Europe, D' influenceurs du service public et du Public et du Privé qui parleraient d'une seule voix !

Loutrel : "Je voulais revenir sur le sujet de l'information, de la transformation de l'espace numérique, des réseaux sociaux. Vous dites dans votre projet stratégique qu'il faut reconnaître que les grands réseaux sociaux sont devenus des médias. 

Je partage cette idée, même si c'est dérangeant. Je me pose la même question sur les intelligences artificielles génératives, quand on rencontre des lycéens, pour eux, c'est naturel. Il faudra réformer leur inefficacité énergétique, mais je ne suis pas sûr qu'on pourra le combattre. Ma question: faut-il aller un cran plus loin? France Info devra-t-elle inventer des incarnations nouvelles propres aux réseaux sociaux pour aller dans ce temps de l'instantanéité qu'on n'a pas sur les chaînes d'information? Jusqu'où aller sur ce sujet-là ? Merci."

Ernotte "Sur l'IA, nous avons une approche collective, c'est un sujet que je discute beaucoup avec mes partenaires services publics européens et au-delà, car nous avons rendu publique la semaine dernière une plateforme de revendication vis-à-vis des géants de la tech, commune, avec la plus grande association mondiale de presse écrite. Et donc on a là, on parle d'une seule voix, public, privé, presse écrite et audiovisuelle. C'est important. Ce qu'on demande en priorité, et donc on a un certain nombre de prérequis, et je suis d'accord, on ne pourra pas se passer d'exister dans les différents modèles de langage, mais pas à n'importe quelle condition. 

On a besoin que l'autorisation soit demandée, d'abord, que les contenus ne soit pas absorbés, ils le sont aujourd'hui, mais que demain, ce ne soit pas sans accord. Et que ça ne se passe pas sans distribution de la valeur. Et ce que la presse française produit chaque jour... Là, on voit qu'on rentre dans un problème. On a un certain nombre de revendications de ce type, mais on ouvre aussi la porte en disant qu'on souhaite négocier avec ces grandes plateformes d'intelligence artificielle, on souhaite discuter avec elles pour voir comment trouver des compromis de part et d'autre pour être parties prenantes de ces moteurs de recherche qui existent déjà aujourd'hui, et peut-être de ces médias demain. Est-ce qu'il faut avoir des incarnants différents ? Sans doute. - Des influenceurs du service public. - Sur les journaux pour enfants et adolescents que nous avons déjà, que nous publions, que nous mettons à disposition sur YouTube tous les jours, ce sont des incarnants différents. Mais oui, il faut qu'on apprenne à travailler avec des influenceurs, qu'on apprenne leurs codes et qu'on trouve une façon de fonctionner. Et je veux dire par-là que si on travaille avec un influenceur qui n'a pas besoin de France Télévisions pour exister, il faut qu'il respecte nos règles déontologiques. Et donc il faut trouver des moyens qui soient mis sur la table pour fonctionner avec des journalistes de chez nous, ou avec des influenceurs externes qui garderont leur liberté, mais dans le respect de nos chartes déontologiques. Donc oui, c'est un tout nouveau monde à inventer." 

Du grand n’importe quoi. Si les réseaux sociaux sont des médias, pas un mot sur les algorithmes, qui font que grosso modo qu’elle perd le contrôle de la distribution. Quant aux formats, elles veut conquérir YouTube par exemple avec une nouvelle émission politique, alors qu’en 10 ans elle n’a pas été capable d’en mettre une à l’antenne qui tienne la route ! 

Surtout du vent qui fonde pour le coup, le dépôt d'une plainte pénale que va déposer la CGC Audiovisuel et dont le blog CGC Média donner les chefs d'incriminations et les personnes visées dès qu'il en aura connaissance. 

Le magazine Nexus donne l'explication à l'hypocrisie de l'Arcom.

Le magazine Nexus donne l'explication à l'hypocrisie de l'Arcom. (*) 

Le blog CGC Média vous propose de découvrir la vidéo mise en ligne par le magazine Nexus qui  dénonce "la perversité d'un système et l'école de l'esprit grégaire".

Autrement dit "la tendance qui pousse les êtres humains à vivre en groupe ou à adopter un même comportement" comme par exemple celles et ceux qui « ne représentent pas la France telle qu’elle est mais telle qu’ils veulent qu’elle soit. »

Paul-Antoine Martin qui vient de publier  "Le temps des pervers" nous explique :

 (*)



mercredi 21 mai 2025

Le m'as-tu-vu cannois marche-t-il encore ? La France va très mal mais Dati rejoint Ernotte au Festival !

Le m'as-tu-vu cannois marche-t-il encore ? La France va très mal mais Dati rejoint Ernotte au Festival !

Les deux inséparables se sont retrouvés à Cannes et celle qui veut placer la seconde à la tête de cette ridicule et très couteuse usine à gaz audiovisuelle pour laquelle les Français vont continuer de banquer, est venue montrer sa bobine et se faire prendre en photo.

L'article de Libé n'a guère besoin de commentaires (*)

(*)





Nouvel exemple de bidonnage flagrant dans les écrits de l'Agence d'État après la mascarade ernottienne du 14 mai dernier.

Nouvel exemple de bidonnage flagrant dans les écrits de l'Agence d'État après la mascarade ernottienne du 14 mai dernier.  

Le 5 mars dernier dans leur pseudo appel à candidatures  l'Agence écrivait «  Le candidat  s’attachera à ce que son projet stratégique fasse apparaître les leviers qu’il entend mettre en œuvre  pour permettre à la société France Télévisions d’assurer au mieux les missions fixées par son cahier  des charges et de répondre aux grands enjeux auxquels elle est aujourd’hui confrontée, tels qu’ils  sont retracés notamment dans l’avis motivé susvisé du 29 janvier 2025, en particulier :


« la capacité à assurer la soutenabilité financière de la  société,

celle d’assurer également le développement des coopérations avec les autres sociétés nationales de programme,

le tout avec singularité  et l’exigence d’impartialité du service public »

Comme le blog CGC Média l'a déjà démontré dans ses tous derniers articles, aucun des leviers imposés par Ajdari and co, n'apparait ni dans les 30 pages de "réconciliation" géopolitique de l'ex-Orange, ni dans son oral.

Le blog CGC Média qui s'est déjà exprimé dans ses derniers articles sur l'absence totale de démonter quoi que ce soit sur une quelconque capacité à assurer la soutenabilité financière de la  société - ni chiffres, ni mesures...RIEN - voici que vole en éclat une nouvelle allégation de l'Agence qui écrit "L'Autorité s'est notamment fondée sur les projets de coopération au sein de l'audiovisuel public..."

Enorme pipeau donc au regard de ces expériences qui ne fonctionne déjà pas...

INFO CGTV nous en donne un aperçu "Selon mes informations, une douzaine d'antennes locales ont envoyé une lettre assassine à la direction d'ICI qui a validé des coupes budgétaires drastiques.

A la rentrée, une politique d'uniformisation des antennes crée le chaos au sein des rédactions locales, qui doivent assumer de nouvelles coupes exponentielles

La fronde s'opère." (*)

(*)



L’article du Canard enchaîné sur la compromission de l’Agence : Un élément de plus pour la plainte pénale qui va être déposée ces jours-ci.

L’article du Canard enchaîné sur la compromission de l’Agence : Un élément de plus pour la plainte pénale qui va être déposée ces jours-ci.

Combien d’intéressés seront visés ? Le blog CGC Média l’écrivait dans ses dernières publications dénonçant l’écœurante mascarade qui s’est jouée sur quelques semaines pour aboutir à le 14 février à un nouveau scandale d’État dont la juridiction pénale  va être très vite saisie.

« Ces fallacieux écrits signés Ajdari et publiés au Journal Officiel au nom de la République française, vont très vite confondre le responsable légal de l’Agence, comme des complices mais aussi certains collatéraux tombés dans la marmite du conflit d’intérêts, ainsi que celle qui se rend coupable du délit de recel. » écrivions-nous hier.

Le Canard enchaîné (*) ironisant « LE SUSPENSE était insoutenable. Fraîchement nommé par Macron, le nouveau président de l'Arcom, Martin Ajdari, a sagement suivi la voie de ses prédécesseurs en choisissant Delphine Ernotte comme patronne de France Télévisions, lui offrant au passage un record: trois mandats à la tête de la télé publique ! » liste de façon non exhaustive mais très détaillée, les échecs cumulés de l’ex-Orange à France Télés que l’Agence dit  avoir maintenue « dans la continuité »

(*)

Ceux qui, selon nos informations, ont été amenés à modifier leur vote pour coller avec « l’étude d’impact relative à la proposition de loi sur la réforme de l’audiovisuel public réalisée par la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) » - car il n’a semble-t-il été question que de France Médias sur fond de déclarations incessantes de Rachida Dati – vont devoir expliquer qui, comment et pourquoi pour espérer ne pas être vus comme trahissant leur charge et condamnés pour cela.

Il sera aussi question d'un conflit d'intérêt majeur qui parlera également aux juges ! Après ça, comment voulez-vous que les citoyens retrouvent confiance en les politiques ?!






mardi 20 mai 2025

L'Agence Ajdari and co ose écrire « avoir fait le choix de privilégier la continuité à la tête de France Télés »…Il fallait que le fric coule à flot !

L'Agence Ajdari and co ose écrire « avoir fait le choix de privilégier la continuité à la tête de France Télés »Il fallait que le fric coule à flot !

La colère et la défiance qui se sont installées après cette comédie mensongère  qui s’est déroulée mi-mai à laquelle s’est livré l’ARCOM (*Coût : environ 50M€ à l’année pout le gouvernement qui cherche des économies)

Une fumisterie sans nom : ce choix de privilégier la continuité à la tête de France Télés, c’est-à-dire valider le déficit pour 2025 annoncé à -76M€ au moins, sans compter les -90M€ engloutis dans SALTO pour des prunes ou encore la suppression de NOWU la seule plateforme pour l’environnement arrêtée dans le même délai après avoir coûté une blinde.

Ces fallacieux écrits signés Ajdari et publiés au Journal Officiel au nom de la République française, vont très vite confondre le responsable légal de l’Agence, comme des complices mais aussi certains collatéraux tombés dans la marmite du conflit d’intérêts, ainsi que celle qui se rend coupable du délit de recel.

Et s’il n’y avait que cela ! En plus du chaos social qu’a semé partout Ernotte contre qui les syndicats ont fourbi leurs armes et lui préparent une fronde comme jamais pour justement ne pas jouer la continuité, il y a les copains qui se sont fait leur beurre depuis 10 an sur le service public et qu’il faudra continuer à grassement payer grâce à des suppressions de postes massives.

C’est un trio qui depuis une décennie se partage le gâteau et s’est enrichi non pas en millions mais en milliards, d’où le besoin de jouer la continuité (¤)

(¤)


La semaine dernière, une certaine presse ne tarissait pas d’éloges sur Médiawan et son patron Pierre-Antoine qui invitait Ernotte, le 10 avril dernier chez Maxim’s privatisé pour l’occasion…Aujourd’hui c’est Banijay d’où venait Candilis le numéro 2 ernottien et Stéphane Courbit…

Banijay derrière Médiawan à France Télés juste devant Brut (Le Van Kim) – ces trois-là sont en en situation de quasi-monopole à France Télés – devraient donc pouvoir continuer de forer voire même de créer de nouveaux gisements, après la décision bidon de l’agence de les laisser prospérer ?!

Hallucinant

Banijay Group espère dégager 200 millions d’euros de synergies d’ici à 2028. « Nous avons par exemple énormément de propriétés intellectuelles issues de la télévision qui peuvent à l’avenir se décliner dans l’univers du live » précise François Riahi, le directeur général de Banijay Group, ajoutant « Notre objectif est d’atteindre, hors acquisitions, un chiffre d’affaires de 7 milliards d’euros et un Ebitda ajusté supérieur à 1,2 milliard d’euros à horizon 2028 », indique François Riahi, le directeur général de Banijay Group. 

« Banijay est numéro un mondial de la production TV. Nos clients sont, entre autres, des géants mondialisés. Nous sommes aussi le premier fournisseur mondial de contenus pour les streamers tels Netflix, Amazon, Apple…», détaille-t-il, enchérissant « Il faut avoir une taille critique pour être pertinent et pouvoir les servir. Il faut aussi être capable de leur résister dans les négociations. Comme pour l’industrie de la musique, il y aura à terme trois ou quatre grands fournisseurs de contenus dans l’univers de la production télé. »

 Détenu par quelques grands actionnaires :

- LOV, le holding de Stéphane Courbit (45,4 %),

- Vivendi [Bolloré donc pour le groupe Canal + ] (19 %),

- la Société des bains de mer (10 %),

- Fimalac, le holding de Marc Ladreit de Lacharrière (7,5 %)

et De Agostini (5 %).

Banijay, estime que « le moment est venu d’ouvrir une nouvelle étape pour le groupe » avec « L’intérêt d’être coté en Bourse et de pouvoir lever des capitaux pour se développer » avant de terminer « L’une de ses priorités :  améliorer cette liquidité en accueillant donc de nouveaux actionnaires. » 

(*) 

Budget de l'Arcom - autour de 50M€

Le budget annuel de l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) pour 2025 est de "49,9 millions d'euros", selon des informations tirées de publications récentes. 

Ce montant reflète une augmentation par rapport à 2022, où le budget était de "46,6 millions d'euros", résultant de la fusion des budgets du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA, 37,4 millions d'euros) et de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi, 8,2 millions d'euros). 

L'Arcom avait de plus indiqué qu'à partir de 2023, des moyens supplémentaires seraient nécessaires pour répondre à l'élargissement de ses missions.[

 Salaire des membres de l'Arcom

Les informations précises sur les salaires des neuf membres du collège de l'Arcom, incluant le président et les conseillers, sont limitées dans les sources disponibles, mais voici ce qui peut être établi :

- "Président de l'Arcom"

Selon un document budgétaire de 2021, les rémunérations des présidents d'autorités administratives indépendantes (AAI) et publiques indépendantes (API) sont encadrées par le décret n°2020-173 du 27 février 2020.

Bien que le salaire exact de Roch-Olivier Maistre, ne soit pas explicitement mentionné dans les sources récentes, les présidents d'autorités similaires perçoivent des rémunérations brutes annuelles élevées. Par exemple, le président de l'Autorité des marchés financiers (AMF) gagnait "237 001 euros brut par an" en 2021, tandis que d'autres présidents d'AAI/API percevaient entre "87 500 et 176 931 euros brut par an". 

On peut estimer que la rémunération du président de l'Arcom se situe dans une fourchette comparable, probablement entre "150 000 et 200 000 euros brut par an", en fonction de l'importance des missions de l'autorité.

- "Membres du collège" : Les huit autres membres du collège, désignés par diverses autorités (Assemblée nationale, Sénat, Conseil d'État, Cour de cassation), perçoivent une rémunération ou une indemnité fixée par la réglementation. Selon le décret de 2020, les membres à temps plein perçoivent une rémunération comprenant un salaire de base, une indemnité de fonction, et éventuellement une indemnité de résidence ou un supplément familial. Les membres à temps partiel reçoivent une indemnité forfaitaire, avec un taux unitaire maximum de "250 euros par vacation" pour des activités spécifiques. 

Aucune donnée précise n'indique le montant exact pour les conseillers de l'Arcom, mais leur rémunération est probablement inférieure à celle du président, potentiellement dans une fourchette de "80 000 à 120 000 euros brut par an" pour les membres à temps plein, en se basant sur les standards des AAI/API.

Remarques

- Les salaires des membres du collège sont régulés pour garantir l'indépendance de l'Arcom, avec des mandats non renouvelables de six ans et une inamovibilité, renforçant leur autonomie face aux pressions externes. - Les données sur les salaires des membres du collège restent approximatives, car les sources publiques ne fournissent pas de chiffres exacts pour l'Arcom en 2025. 

- Concernant les employés de l'Arcom (355 agents en 2022), les salaires varient selon les postes. Par exemple, un chargé de mission affaires publiques gagne en moyenne "40 208 euros par an", tandis que les salaires pour d'autres postes vont de "20 160 euros" (opérateur de production) à "52 912 euros" (technicien de maintenance).