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samedi 5 octobre 2019

Schrameck « l’homme qui a géré la France » (tout lui ça) et parachuté Ernotte à France Télés, rejoint comme Bastien Millot un cabinet d’avocats.

Schrameck « l’homme qui a géré la France » (tout lui ça) et parachuté Ernotte à France Télés, rejoint comme Bastien Millot un cabinet d’avocats.


Chacun a encore en mémoire la récente condamnation définitive par la Cour d’Appel de Paris de Carolis à 5 mois de prison avec sursis, 25.000€ d'amende et au versement solidairement au SNPCA-CGC, à l'origine de la plainte dès 2011: 25 .000€ de dommages et intérêts  et 15 000€ au titre de l'article 475-1 du Code de Procédure Pénale mais aussi celle de Bastien Millot ex-collaborateur à France Télévisions du condamné sus cité mais aussi président de Bygmalion qui, lui aussi, tout  comme Scharmeck avait annoncé rejoindre un cabinet d’avocats (pas à 70 ans évidemment !)

« L’article du Canard enchaîné » publié le 7 août dernier, en plein pendant les vacances d’été, n’est donc pas forcément dans tous les esprits.

Le blog CGC Média vous propose de le découvrir (*ci-après) au moment fait l’actualité la mise en examen de Bruno Lasserre qui avait succédé à Jean-Marc Sauvé à la vice-présidence du Conseil d’État et qui intervient dans l’article du palmipède (fin de post), 

(*) « Et un de plus ! Olivier Schrameck, ancien président du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) et membre du Conseil d’Etat, rejoint le cabinet d’avocats Fidal. Lequel ne cache pas l’intérêt de recruter une telle personnalité : Schrameck partagera « sa con­naissance approfondie des enjeux publics et sociétaux du droit ». Comme c’est bien dit.

L’augmentation des transferts de magistrats administratifs vers les cabinets d’avocats fait tousser. L’actuel vice-président de l’institution, Bruno Lasserre (¤), s’est donc senti obligé de repréciser les règles : « Les intéressés ne doivent pas présenter des requêtes en mémoire devant le Conseil d’Etat pendant trois ans. » Mais comment vérifier que ces éminences ne dispensent pas leurs précieux conseils derrière les portes closes de leur cabinet sans ­jamais descendre dans le ­prétoire ?

Il faut bien justifier leur ­salaire. »

Rappel 

« L’assemblée générale du Conseil d’État a élu, le jeudi 17 janvier 2019, Olivier Schrameck, né le 27 février 1951 pour siéger au Conseil supérieur de la magistrature dans le cadre d’un mandat de quatre ans. (jusqu’à presque 73 ans donc, ndlr). Il remplacera Yves Robineau, nommé en 2015....

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(¤) Extrait de "20 Minutes" ce 5 octobre 2019

"Dans le cadre d’une enquête sur le suicide d’un de ses ex-subordonnés, en 2014, lorsqu’il présidait l’Autorité de la concurrence, Bruno Lasserre, le vice-président du Conseil d’Etat, a été mis en examen, ont annoncé des sources concordantes, ce vendredi.

Le haut fonctionnaire de 65 ans, qui dirige depuis 2018 la juridiction suprême de l’administration, a été mis en examen le 27 septembre à Paris pour « complicité de harcèlement moral », a indiqué une source judiciaire…."




vendredi 4 octobre 2019

La commission de Sécurité constate la non conformité de travaux engagés à France Télés.

La commission de Sécurité constate la non-conformité de travaux engagés à France Télés.

« La Commission de Sécurité qui s'est pointée à France Télévisions la semaine dernière, au même moment où avait lieu une alerte au feu qui n'en était pas une mais juste un test de bon fonctionnement, a décidé de stopper tout un tas de travaux en cours faute du respect de certaines normes.

Selon, nos informations ils ne devraient reprendre qu'au moment où France Télés prendra en compte les recommandations qui avaient été faites préalablement…


L'ex-Orange pourra toujours demander à sa sœur proche collaboratrice d'Anne Hidalgo quelques tuyaux qui a une bonne expérience pour coordonner et conduire des travaux à Paris.

PS: la mise en conformité devrait couter un bras...deux même !

Avant son imminent départ Ernotte se paie la tête du Gouvernement Macron, de la Représentation nationale, du Contribuable et des Salariés de France Télés !

Avant son imminent départ Ernotte se paie la tête du Gouvernement Macron, de la Représentation nationale, du Contribuable et des Salariés de France Télés !

La coutumière propagande ernottienne toujours relayée par l’habituelle poignée de suiveurs en interne qui passe constamment la brosse dans le sens du poil, vient d’être certes remise à l'actionnaire qui dans le cadre du vote de la loi de finance en a sorti un document destiné à pour  l’ensemble des parlementaires et plus largement à divers politiques, espérant peut-être qu’ils goberont une dernière fois le boniment qui dure depuis près de quatre ans mais touche heureusement à sa fin.

Dire que la Tutelle, les ministres concernés mais aussi l’Élysée ont ce document pour le moins fallacieux, entre les mains, est inutile…Problème, c’est que tout ceux qui l’ont reçu se sont immédiatement étranglé. En effet, l’ex-Orange qui vit ses derniers instants à France Télévisions – elle ne sera évidemment pas la seule  – affirme haut et fort :  « La trajectoire d’économies pour l’Audiovisuel public en 2020 est de – 50 M€ » (*) 

Gros mensonges puisque le PLF comme les documents du Gouvernement prouvent Les économies pour l’Audiovisuel public en 2020 sont de –70 M€ dont –60 M€ pour !


Imaginez la tête du Ministre des finances, du Budget, de la Culture mais aussi des députés et sénateurs qui découvrent cette ultime pied-de-nez fait à l’État-actionnaire mais plus directement au Président de la République Emmanuel Macron !


C’est effectivement bien une honte pour la République comme l’avait lancé le Chef de l’État...l’attitude de celle qui fut parachutée à l’été 2015 sans connaissance de l’Audiovisuel dans les conditions qui font l’objet d’une procédure judiciaire, a fini par remonter tout un chacun même les plus modérés…la déflagration est imminente. 

(*) 



Ils seront au moins 17 de France Télés à partir aux frais du contribuable une semaine à Cayenne.


Ils seront au moins 17 de France Télés à partir aux frais du contribuable une semaine à Cayenne.




C’est en tout cas, ce dont se félicitait Wallès Kotra l’ex dégé du pôle Outre-mer qui s’est nommé avant de laisser son poste parisien comme directeur régional à Nouméa (d’où il venait) qui aura avec Ernotte tué France Ô.



« Sur le modèle du FIFO (Festival International du Film documentaire Océanien) qui existe depuis 16 ans dans le Pacifique, le premier FIFAC (Festival International du film documentaire Amazonie-Caraïbes) se tiendra du 14 au 18 octobre 2019 » a-t-il fait écrire sur le site https://la1ere.francetvinfo.fr.




Le blog CGC Média grâce l’ADAP qui donne quelques détails sur cette nouvelle escapade dans l’hémisphère Sud de ladite délégation ernotteinne qui va encore couter une blinde !



« Les initiatives dispendieuses se bousculent pour vider les caisses et laisser un champ de ruine à la prochaine directrice générale des outre-mer. 

On assiste en fin de règne à la multiplication des festivals du documentaire en outre-mer pour faire oublier  que Walles Kotra est le fossoyeur de France Ô et de Malakoff.



Après le FIFO, en attendant le FIFOI à St Denis de la Réunion, voici le FIFAC en Guyane et une liste d’invités qui ressemble à un remerciement général aux amis.



Aux frais du contribuable, aux frais des salariés de FTV (2000 virés) à qui on ne parle que de sacrifices, de réductions budgétaires et de compressions d’effectifs, voilà la liste non exhaustive des invités au banquet



17 privilégiés ont gagné une semaine en Guyane tous frais payés. Au départ de Paris 17 bagnards VIP en vol business :



Walles Kotra 
Laurent Corteel 

Laurence Mayerfeld (France 3)

Dominique Papin,

Luc de St Sernin,

 Béatrice Nivois, 

Christelle Lefrançois, 

Hervé Delanon; 

Eric Pérez, 

Aurelie Hamelin-Mension, 

Cécile Baquey;  

Catherine Alvaresse, 

Eric Scherrer



Au départ de Martinique : 

Yolaine Poletti-Duflo, 

Laurent Salcede, 



Au départ de Guadeloupe : 

Sylvie Gengoul,

Olivier Behary-laul-Sirder.



Aucun invité au départ de St Pierre et Miquelon. Cette petite station du nord atlantique, n’intéressant pas le Gotha  parisien, est maintenue dans un splendide isolement .

C’est ça la réalité de la politique de bassin, selon que l’on soit grand ou petit ...



Plus grave : cette dépense n’étant pas inscrite au budget en début d’année, ce sont donc les productions et les salariés qui en feront les frais, les CDD étant les premières victimes silencieuses des frasques de cette équipe (*) qui nous conduit au désastre un peu plus vite tous les jours. »



(*) Des CDD (ou CDDU) comme ceux des émissions comme C'est au programme ou encore Télématin viré à tour de bras de Télématin selon un soi-disant «audit interne qui préconiserait une réduction conséquente des coûts et qui prévoirait 3 millions d'euros annuels  (de coupes) représentant 10 % du budget annuel de Télématin  que juge atteignable "à l'horizon 2020l'un des bras droits de l’ex Orange, le souffleur ernottien StéphaneSitbon-Gomez»



L’ADAP de conclure « Jusqu’à quand le pouvoir politique va-t-il tolérer ce gaspillage des finances publiques ?...  Heureux soient les payeurs de redevance, ils n’iront pas au bagne. »


mercredi 2 octobre 2019

Les torchons d’écriture adressés aux ex-salariés de France Télés en CDD illégaux que l’ex-Orange et ses exécutants virent à tour de bras !


Les torchons d’écriture adressés aux ex-salariés de France Télés en CDD illégaux que l’ex-Orange et ses exécutants virent à tour de bras !

Chacun a encore à l’esprit le récent procès qui renvoyait en Correctionnelle nommément des ex-dirigeants de France Télécom , entre  autres  Louis-Pierre Wenès qui fut le patron d'Ernotte et dont La Tribune écrivait ceci : « Elle a appliqué la politique budgétaire ultrarigoureuse imposée par son ancien patron le « Cost killer » Louis Pierre Wenes ; Delphine Ernotte reconnait que cette implication l’avait éloigné des réalités humaines presque « intimes », de l'entreprise et de ses salariés ».

Les malheureux salariés de France Télévisions qui depuis l’été 2015 vivent un enfer et voient l’entreprise les traiter comme des moins-que-rien, doivent probablement comprendre ce que les salariés d’Orange (alors France Télécom donc) ont dû subir à l’époque des 36 suicides et des 22.000 démissions.

Ce matin « Télé 2 semaines » dans un article signé Antoine Germain et intitulé « Télématin (France 2) : découvrez la lettre envoyée par France Télévisions aux chroniqueurs qui refusaient la nouvelle forme de leur contrat » (* en fin de post avec 2 autres courriers à vomir que révèle le blog CGC Média), restitue le mépris, le cynisme et ma violence avec lesquels l’ex-Orange traite les salariés en CDDU (illégaux pour la quasi-totalité) entre autres ceux de Télématin.



Télématin dont Laurent Bignolas parle ainsi sur le blog de Jean-Marc Morandini: "J'ai débarqué dans une équipe qui en partie ne voulait pas de moi. Je me suis donc prudemment glissé dans le modèle éditorial et je n'ai rien modifié. Je n'ai changé aucun chroniqueur par exemple !...J'ai fait attention à ne pas être agressif et que tout se passe très bien avec certains chroniqueurs".


Qu'est-ce que cela aurait été s'il n'avait pas fait attention à ce tout se passe bien  ?! 

Extraits
« Jean-Philippe Viaud, Marie-Dominique Perrin, Sarah Doraghi et, tout récemment, Brigitte-Fanny Cohen...Depuis plusieurs semaines, la matinale de France 2 Télématin est rythmée par le départ de ses chroniqueurs historiques. L'émission, présentée par Laurent Bignolas depuis le départ de William Leymergie pour C8 en 2017, est secouée par une vraie crise. Sur CNews, dans Morandini Live, la chroniqueuse mode et beauté Isabelle Chalençon, arrêtée depuis plusieurs mois après un burn-out, a par exemple évoqué son ras le bol et dénoncé du "harcèlement moral"... Et ce n'est pas la seule !

Car en effet, en coulisses, un bras de fer oppose l’équipe à l’encadrement depuis des mois. Outre des désaccords sur leurs conditions de travail, il s'est cristallisé sur le statut des chroniqueurs. Depuis des lustres, selon un système datant des années 80, à l'époque où Télématin avait été conçu par William Leymergie, nombre d'entre eux étaient employés via des contrats à durée déterminée quotidiens.


Décidée …à faire des économies , France 2 a proposé il y a quelques mois un nouveau type de contrat aux chroniqueurs. Un contrat à durée indéterminée, cette fois… mais avec des rémunérations très variables. Si quelques-uns ont estimé la proposition correcte, et ont signé - ils seraient une dizaine selon les informations de Télé-Loisirs -, d’autres sont tombés de l’armoire, s’estimant lésés.

"Après 20 ans d’expérience de l’antenne, je me retrouve avec une simple qualification de journaliste spécialisé, avec une baisse de salaire de 40%", s’indigne un pilier de l’émission. Une autre s’insurge sur le fait que "dans le nouveau contrat proposé, l’ancienneté entreprise n’est même pas prise en compte ". Un autre soupire : "Encore pire, nulle part dans ces nouveaux CDI, il n’est précisé que nous serons rattachés à Télématin. Si ça se trouve, nous allons finir sur le site Web de Franceinfo… ".


A l’unanimité, les opposants dénoncent la "brutalité" de l'employeur France Télévisions : "Dans la proposition de CDI que nous avons reçu il y a quelques mois, on nous demande de signer un contrat où est simplement indiqué un salaire et un forfait de journées travaillées, sans qu’on nous donne plus de précisions sur les clauses de ce contrat. C’est inacceptable ! ", s’insurge auprès de Télé-Loisirs un autre membre de l’équipe, qui, a décidé d'attaquer France Télévisions…

Certains ont déjà attaqué France Télévisions devant les Prudhommes pour obtenir une requalification de leur contrat de travail en CDI... mais aux anciennes conditions. Les premiers auraient déjà obtenus gain de cause devant les juridictions. D'autres attendent encore de voir... Sollicitée par Télé-Loisirs, France 2 n'a pas souhaité réagir pour l'instant. »

Il n’y a malheureusement pas qu’à Télématin que l’ex-Orange agit comme il y a 10 ans à France Télécom l’entreprise d’où elle a été extraite. « C’est au Programme » comme d’autres émissions qu’elle a arrêtées sans raison mais aussi de nombreux secteurs de l’entreprise font les frais d’un arbitraire nauséabond.

Ils sont tous aussi nombreux les CDDU de L’Actu comme de la Prod à non seulement n’avoir reçu la moindre proposition d’un quelconque CDI mais surtout à avoir reçu par recommandé leur lettre de fin de collaboration (licenciement abusif pour parler clair) accompagné d’un document intitulé « solde de tout compte » qui est à la fin de contrat ce que la clé à molette est à la mayonnaise qui leur indique qu’après des années et des années passées dans l’entreprise - certains jusqu’à 30 ans – la société va leur virer quelques milliers d’euros seulement sur leur compte en banque (souvent moins de 10.000€ pour beaucoup)

La CGC Média solidaire de leur combat jusque qu’au Pénal car pour bon nombre c’est aussi de travail dissimulé dont il s’agit, vous propose de découvrir ces torchons d’écriture indignes (*) d’une entreprise publique dont le Chef de l’État a charge.
(*)






Et si l’idée de Riester de la pharaonique usine à gaz audiovisuelle en pleine campagne pour l’élection présidentielle de mai 2022, était abandonnée !


Et si l’idée de Riester de la pharaonique usine à gaz audiovisuelle en pleine campagne pour l’élection présidentielle de mai 2022, était abandonnée !

Mercredi dernier (25/09), Franck Riester indiquait au micro de France: « Il y aura une société mère, une société holding, qui détiendra (…) 100% des actions des quatre sociétés qui seront membres du groupe (…) et ce sont ces sociétés-là qui garderont la ligne éditoriale, qui garderont la décision sur la programmation, et les directeurs ou directrices générales de ces entreprises seront les directeurs de publication. (…) La société holding, on veut que ce soit une société légère en charge de la stratégie, en charge de l’organisation, de la cohérence des projets et des organisations, peut-être de trouver des dispositions pour trouver des effets levier en termes d’optimisation de tous ce que sont les fonctions support, mais le contenu, les décisions de contenus, les décisions sur les informations, etc, resteront bien évidemment dans les entreprises éditrices de programmes. »


Autrement dit, un étage supplémentaire à la fusée déjà bien lourde au décollage qui répartira le poids sur tous les autres qui garderont tous finalement leur autonomie d’action à part la maitrise de certains leviers qu’il faudra trouver pour une meilleure optimisation !  

Elle n’est pas prête de s’envoler la fusée et le big bang annoncé risque bien de provoquer courant 2021 jusqu’à fin 2022 (c’est le délai de mise en œuvre qu’a donné par le ministre Riester lui-même !) une extraordinaire déflagration dont l’effet de souffle et autres dommages collatéraux avant mai 2022 restent incommensurables mais prévisbles !

Une chose est sure, l'ex-Orange ne verra heureusement pas tout ça!  

« Le Canard enchaîné » de ce mercredi 2 octobre (*) nous donne une première idée des dégâts.  

(*)

mardi 1 octobre 2019

« Une importante délégation de décideurs du groupe France Télévisions » en Guyane aux frais des contribuables du 14 au 18 octobre

« Une importante délégation de décideurs du groupe France Télévisions » en Guyane aux frais des contribuables du 14 au 18 octobre

Alors que les soucis s’accumulent pour l’ex-Orange dont les jours sont comptés quoi qu’elle en dise, Wallès Kotra l’ex dégé du pôle Outre-mer qui s’est nommé avant de laisser son poste comme directeur régional à Nouméa (d’où il venait), se félicite du départ de toute une délégation ernottienne en soutien au Festival International du Film documentaire Amazonie Caraïbes.

Deux milles salariés virés (c’est ce qu’espère réaliser Ernotte avant de quitter très prochainement le groupe public), des économies en veux-tu en voilà  mais le fric coule à flot pour un petit nombre.

«France Télévisions apporte et apportera tout son soutien au Festival International du Film documentaire Amazonie Caraïbes. Tout d’abord, avec la participation d’une importante délégation de décideurs du groupe » s’enorgueillit le transfuge ultramarin dans une interview qu’il donne à Eleonore Eschemannn pour Médias +

Wallès KOTRA précise « Le FIFAC s’inscrit dans la politique de création de festivals de films documentaires du Pôle Outre-Mer de France Télévisions »

Ils seront donc une flopée à aller se goberger dans l’hémisphère Sud sous couvert de la soi-disant visibilité des Outre-mer qu’ils mettent à toutes les sauces – ilsn’ont que ce mot-là à la bouche ! -  et ce avec les deniers publics....


Voici le blablabla auquel se livre Wallès  « Il y a un réel enjeu autour de la visibilité des Outre-mer. Oui, France Ô disparait, c’est un fait. Mais des alternatives existent et un pacte de visibilité avec le groupe France Télévisions est signé. Ce pacte comprend notamment la sanctuarisation de 10 millions d’euros pour venir en aide aux producteurs locaux ou encore le fait que certains programmes de France Ô ou thématiques des Outre-mer soient maintenant sur d’autres chaînes du groupe comme France 2, France 3 ou encore France 5. Et je m’en réjouis. L’Outre-mer gagne en visibilité, j’y crois. France Télévisions apporte et apportera tout son soutien au Festival International du Film documentaire Amazonie Caraïbes. Tout d’abord, avec la participation d’une importante délégation de décideurs du groupe. Il y a évidemment les équipes des 1ères de Martinique, Guadeloupe, Guyane et du Pôle Outre-mer. Il y aura également la directrice du documentaire de France Télévisions, Catherine Alvaresse, Laurence Mayerfeld, la directrice de l’important réseau régional France 3 et Eric Scherer, le directeur de la Prospective. Chacun à sa manière expliquera les orientations du groupe mais souhaite surtout s’enrichir du FIFAC, des rencontres avec les télévisions de la région, des discussions avec les producteurs et des débats avec les acteurs culturels et le public. »


A ceux qui voudraient découvrir la kyrielle de lieux communs empilés par le futur ex-dégé de France Ô et qui n’auraient pas de problèmes gastriques, nous proposons le lien suivant:  

lundi 30 septembre 2019

Revoilà Altedia qui pour France Télés vous accompagne vers la sortie et vous dit comment prendre la porte !

Revoilà Altedia qui pour France Télés vous accompagne vers la sortie et vous dit comment prendre la porte !   

Ce lundi matin, dernier jour de septembre, les salariés ont eu droit à énième et nouveau mail de l’ex-Orange leur annonçant qu’Altédia allait donner une conférence (*) pour expliquer aux salariés qui n’ont pas encore décidé de prendre la porte, qu’il serait opportun qu’ils le fassent.

Ce n’est certes pas la première fois qu’intervient pour France Télévisions,  l’ex-boite fondée et dirigée par Raymond Soubie ex-conseiller social de Nicolas Sarkozy (650 collaborateurs aujourd’hui) puis dirigée de 2010 à fin 2016 par Pierre Berretti (le mari de Murielle Charles ex-DRH évincée de France Télés) mais là tout de même, c’est d’un cynisme sans nom !   

Altedia peut bien donner toutes les conférences qu’Ernotte lui commande, à France Télés l’ambiance qui y règne, c’est celle de France Télécoms il y a dix ans…  

Le trio de syndicats CGT-FO-CFDT signataire du processus bidon de licenciements collectifs (RCC) peut bien se frotter les mains et se féliciter des quelques 550 partants sur 2000 attendus, l’ex-Orange aidée d’Altedia ou de quelque autre cabinet privé d’accompagnement des plans sociaux ne parviendra pas à transformer son total discrédit en un imaginaire beau tableau !

L’intéressée devrait penser à enregistrer la conférence d’Altedia qui va être mise car elle va en avoir bien besoin dans les quelques mois qui viennent…


(*) « Aujourd'hui, Conférence sur le départ volontaire pour projet professionnel externe

Pour mieux vous informer sur le dispositif de départ volontaire pour projet professionnel externe, une conférence, est organisée au Siège de France Télévisions aujourd’hui, lundi 30 septembre, de13h à 14h30, grande salle de projection.

Cette conférence est organisée avec la participation de LHH-Altedia, le prestataire choisi pour accompagner les collaborateurs porteurs d’un projet de mobilité externe [autrement dit, comment prendre la porte, ndlr]

La société LHH-Altedia présentera son rôle d’aide et de suivi à la réalisation des dossiers de départ pour projet externe [autrement dit, ailleurs mais plus à France Télés, ndlr]

Cette conférence sera mise en ligne sur mon espace dans les jours qui suivent. »

dimanche 29 septembre 2019

« Une plainte pour abus de bien sociaux » visant certains membres de la direction de France Télévisions… ! Toudbon ?


« Une plainte pour abus de bien sociaux » visant certains membres de la direction de France Télévisions… ! Toudbon ? 

L’idée visiblement fait son chemin…L’Association de Défense de l’Audiovisuel Public pose aujourd’hui la question comme le faisait hier le blog CGC Média.

Dans une de ses dernières publications, le site s’interroge « Dites ? Ces directeurs de pacotille qui se versent des salaires astronomiques, des primes démentielles juste pour vider les caisses de France Télévisions, cela peut se retrouver devant les tribunaux… Ils savent tout cela dans les ministères ?

Alors pourquoi personne ne porte plainte ? Les syndicats [les Résistants, ndlr]? La Présidence [de le République évidemment, ndlr] ? Le Contrôle d’État ?... »

« Si on leur mettait un coup de Gwo Ka dans les oreilles ? Une plainte d’Anticor ? Puisque tout se joue avec de l’Argent Public ! Un nettoyage de toute cette corruption ! » ajoute ADAP expliquant le contexte et le pourquoi des choses.

« Wallès Kotra en quittant son poste de directeur régional a fait intégrer la prime de vie chère, l’indexation, dans son salaire : 85 pour cent. 

Son salaire de directeur exécutif devait donc avoisiner les 15-20 000 euros par mois sur 14 mois ! Et là, il s’est « auto-désigné » directeur régional en Nouvelle-Calédonie, après un bilan catastrophique et il re-percevra un salaire maximum indexé à nouveau à 85 pour cent. Un salaire mensuel qui va dépasser les 25-30 000 euros par mois sur 14 mois… 
Et ses deux collaborateurs ? L’une était secrétaire à la direction régionale de Nouméa et l’autre pseudo Responsable des ressources humaines en Nouvelle-Calédonie. La secrétaire est devenue directrice de cabinet et directrice de la communication de France Ô et l’autre, responsable des ressources humaines, DRH des outremers. 

En deux ans, l’un et l’autre n’ont traité AUCUN dossier, tout en continuant à percevoir leur salaire indexé ou leur sur-rémunération…
La secrétaire devenue directrice a pris sa retraite en juin. Un chèque vient de lui être signé par la présidence de France Télévisions : 300 000 euros !

Le même montant pour un ex-directeur des outremers qui abandonne l’entreprise. 

Un crachat à la figure des centaines de salariés qui envisagent de quitter France Télévisions dans le plan Ernotte pour à peine quelques dizaines de milliers d’euros sous les applaudissements de deux organisations post-syndicales de soutien à Ernotte!  [qui se félicitent des soi-disant 552 départs déjà enregistrés et poussent un cri « on y est presque»].

La Représentation nationale comme le Pouvoir qui ne croient plus depuis longtemps les racontars de l’ex-Orange sur la situation financière de l’entreprise qui serait soi-disant équilibrée alors qu’elle est catastrophique, sur la masse salariale qui serait soi-disant stabilisée voire baissière alors que les recrutements et autres promotions de directeurs ont explosé, sur des frais de personnel qui serait maitrisés alors que seuls les gros salaires ont progressé 3 fois plus vite que les petits…ont bien l’intention de demander des comptes !

Pour peu que la Justice se rappelle très vite aux bons souvenirs de l’inventeuse du « pacte de visibilité des outremers » - « un pacte cela vaut juste le poids du papier sur lequel il est imprimé !  Un pacte, juridiquement, ce n’est rien…A peine au-dessous d’une Charte ! d’ailleurs le résultat de ce pacte est une disparition audiovisuelle des outremers… » écrit encore ADAP – et se penche sur cette hallucinante utilisation des deniers publics (*), ça devrait faire BOUM !


(*) « Ces cas de surprimes, de sursalaires accordés et payés au détriment de l’entreprise et de sa bonne santé financière de façon volontaire et consciente... Cela porte un nom…. 

Un cas jurisprudentiel comme disent les avocats : Le fait, pour un dirigeant, de s’être attribué une rémunération excessive compte tenu des difficultés de la société et du peu de travail fourni en contrepartie de cette rémunération. 

France Télévisions est bien en difficulté…Le premier ministre exige des économies.. et les services de la présidence accordent des sommes folles à certains …! A France Ô et aux Premières, beaucoup sont bien au courant…! » précise ADAP qui renvoie à la Loi:

« Le délit d’abus de biens sociaux est puni d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 375 000€ (art. L. 242-6 du Code de commerce).

Pour être constitué, le délit d’abus de biens sociaux requiert la réunion de trois éléments :
La preuve de la mauvaise foi du dirigeant
Un usage des biens ou du crédit de la société contraire aux intérêts de celle-ci
Un usage des biens ou du crédit de la société effectué dans un but personnel

La jurisprudence considère comme contraire à l’intérêt social tout acte qui appauvrit, même temporairement, la société. Tel sera le cas, par exemple, de tout versement sans contrepartie ou de versements effectués en rémunération de services fictifs. »