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samedi 18 mai 2024

Le Président de la République française doit immédiatement démettre Delphine Ernotte « la honte de l’Europe ».

Le Président de la République française doit immédiatement démettre Delphine Ernotte « la honte de l’Europe ».

Alors que le scandale secoue toute l’Europe et que la  Commission européenne exige des réponses sur l'interdiction des drapeaux de l'UE lors de l'Eurovision, le président de la République n’a d’autre choix à quelques encablures des élections européennes, de démettre Delphine Ernotte pour avoir discrédité l’Union et plus précisément la France mais  aussi afin de désamorcer la crise diplomatique ainsi créée.

La Commission européenne dénonce en effet l’interdiction faite aux drapeau de l’UE lors du concours de l’Eurovision car c’est bien de cela dont il s’agit et que nombre de téléspectateurs de l’évènement retransmis bien au-delà des frontières de l’Union, n’ont toujours pas digéré.

Il suffit d’ailleurs de voir les nombreux témoignages à commencer par Nemo le candidat suisse qui a gagné le concours :

"J'ai dû faire entrer le drapeau en contrebande parce que l'Eurovision avait dit non et je l'ai fait quand même", a expliqué le lauréat lors de la conférence de presse qui a suivi sa victoire, ajoutant qu'il s'agissait clairement d'une politique de "deux poids deux mesures".



"Nous nous sommes approchés de l'arène et alors que nous faisions la queue pour passer la sécurité, ils nous ont demandé, à moi et à mes amis, de montrer les drapeaux que nous avions. Nous avons bien sûr montré les drapeaux de l'UE que nous avions et la sécurité nous a dit qu'il n'était pas autorisé d'entrer avec eux, qu'il s'agissait d'un drapeau politique", explique Dorin Frăsîneanu.

"Nous avons été honnêtement choqués et consternés. Le responsable de la sécurité a toutefois été très poli et nous a dit que, malheureusement, il ne pouvait pas faire grand-chose, car l'UER leur avait donné une photo de tous les drapeaux autorisés. En effet, le drapeau de l'UE n'y figurait pas".

Il a alors été demandé au groupe d'amis de rendre les drapeaux de l'UE pour pouvoir entrer dans la salle.

"C'est tout à fait regrettable", a d’ailleurs estimé Eric Mamer, porte-parole en chef de la Commission européenne, précisant De notre point de vue, il n'y a absolument aucune raison pour que ce drapeau (...) soit interdit sur le lieu de l'événement ".

Quant aux soi-disant raisons mises en avant -  ce serait  "En raison des tensions géopolitiques accrues, la politique en matière de drapeaux a été appliquée plus rigoureusement par la sécurité lors de l'événement de cette année" -  elles ont fait bondir pour d’un européen comme Eric Mamer, porte-parole en chef de la Commission européenne, précisant De notre point de vue, il n'y a absolument aucune raison pour que ce drapeau (...) soit interdit sur le lieu de l'événement ".

Ce dernier rappelant qu'« il n'appartenait pas à l'UER de faire des déclarations sur la situation géopolitique et l'impact qu'elle "peut ou ne peut pas avoir" sur les participants » et enchérissant "Je dirais même plus : c'est précisément lorsque la situation géopolitique est compliquée que nous devons défendre nos valeurs - les valeurs de liberté, de diversité culturelle et de compréhension entre les peuples - et je ne pense pas que ce soit le bon moment pour empêcher les gens d'exprimer leurs valeurs en faisant flotter le drapeau européen, par exemple."

Cette indignation s’est évidemment propagée sur la toile comme une trainée de poudre jusqu’à devenir virale. Entre autres commentaires celui du responsable grec qui déclarait dès samedi sur X : "L'Eurovision est avant tout une célébration de l'esprit européen, de notre diversité et de notre talent. Le drapeau de l'UE en est le symbole", avant d’ajouter "À moins d'un mois des élections européennes, il ne devrait y avoir aucun obstacle, petit ou grand, à la célébration de ce qui unit tous les Européens".


Oui le drapeau européen est un symbole au même titre que le drapeau français ou tout autre drapeau du concert des Nations et surement pas pas un drapeau politique contrairement aux consignes passées par « la dame de l’UER » également « dame du Majestic » (*) sous le coup d'une plainte pour "détournement de fonds publics et abus de confaiance" et aux photos envoyées aux participants parmi lesquelles il ne figurait pas.


Prohiber son utilisation en la liant à la géopolitique, particulièrement dans un concours international comme de l’Eurovision, est une faute extrêmement grave dont Ernotte va devoir répondre dans un premier temps, en étant démise sans délais par l’État français de toutes ses fonctions mais probablement devant la Justice car tenter de discréditer un drapeau, en France est un délit.

Les journalistes présents à Malmö, en Suède, ont du reste décrit une atmosphère de tension avec Martin Österdahl, le superviseur exécutif du concours, bruyamment hué lors de la finale lorsqu'il est intervenu pour annoncer la clôture des votes et de chaos sur les réseaux sociaux qui s'en est suivie.

(*) 



vendredi 17 mai 2024

Martine Froger en service commandé ? La député LIOT fait retirer FMM de l’ORTF+…Le business va pouvoir continuer !

Martine Froger en service commandé ? La député LIOT fait retirer FMM de l’ORTF+…Le business va pouvoir continuer !

Les députés de la commission des affaires culturelles ont voté l’exclusion de France Médias Monde (FMM) de la future holding (un vote serré !) « FMM ne répond pas du tout aux mêmes objectifs et aux mêmes enjeux », a fait valoir Martine Froger (groupe LIOT).  

Hallucinant…A l’évidence et s’il y en avait besoin, le projet de loi Lafon déjà totalement dévoyé continue à partir en charpie !

L’entregent – de Gauche semble-t-il – croit probablement avoir remporté une manche mais la ficelle est tellement grosse et l’argument tellement ridicule que, la soi-disant victoire sera de courte durée.

La Droite forcée d’avaler des sacs de couleuvres pourrait bien sonner la fin de partie et les députés refuser de passer pour des clowns !  

« FMM ne répond pas du tout aux mêmes objectifs et aux mêmes enjeux » déclare la députée…C’est bien vrai ça !

Le blog CGC Médias qui dans son article « Après les révélations toujours aussi factuelles de La Lettre sur l’audition de M-C Saragosse, "Mr. T" se révolte », relayait le montant exorbitant de plus d’un demi-million d’euros que l’ex-directeur de la rédaction de F24 a perçu lors de son départ dévoilé par le titre de presse, va vous montrer que « les objectifs sont effectivement différents…quoi que  » pour certains qui rêvent que le business ne s’arrête pas !

Extrait de l’article de La  Lettre : « Chez France 24, un généreux chèque de départ qui passe mal »  (*)

(*)


« En pleine période de négociation annuelle obligatoire (NAO), les salariés de France Médias Monde (FMM) ont découvert le montant des indemnités octroyées à Marc Saïkali lorsqu'il a quitté l'entreprise en 2021.

Le chèque de départ du directeur des chaînes de France 24 (en français, anglais et arabe), de 2012 à 2021, d'un montant de 500 000€, a été évoqué en Comité social et économique, le lundi 13 mai.

Interrogée par les syndicats sur ce point, la PDG du groupe audiovisuel public, Marie-Christine Saragosse, a confirmé la somme versée sous forme d'indemnité de départ, précisant que le contrôleur général d'État, Jean-Claude Hulot, en avait été avisé. [l’art et la manière de se defosser sur les autres, ndlr]

Un plus d’un demi-million d’euros pour quitter France 24 (une des 3 entités de FMM) où il ne sera resté que 9 ans de 2012 à 2021 !!  

Au fait dans quelles conditions est-il parti ? Qu’est-ce qui a justifié un tel  versement d’un demi-million d’euros ? Que fallait-il taire ? Qu’y avait-il à cacher ?

Autant de questions qui se posent et qui intéressent au plus haut point les salariés mais également Bercy puisque Saragosse laisse entendre devant les élus que le ministère de l’économie et des finances le savait ?!  

Y a-t-il encore autre chose derrière ?

Le blog CGC Média vous propose de découvrir les coulisses du binz….

Lors du CSE qui s’est déroulé le 6 mai dernier à France Médias Monde le 6 mai dernier, la toujours pédégère a parlé des 4 nouveaux projets dits de « développement à l'international » tous financés par l'APD et en particulier celui d’un « Hub numérique panarabe (F24/MCD) de Beyrouth (programme 209 de l'aide publique au développement) pour cette année » !!!

Beyrouth…Le Liban…un endroit idéal surtout en ce moment pour lancer une plateforme ! Qui FMM pourrait bien trouver pour ce nouveau boulot ?

Frédéric Domont (Société Médian - prestataire quasi exclusif de FMM pour des connections avec le Proche ou le Moyen Orient), cofondateur de « My Saphir Production »  avec Marc Thiebault (¤) cet ex-cadre de France Média Monde et cédétiste en chef qui, à ses moments perdus, sait ce que « donner un p’tit coup de main » veut dire ?  Il a – ils ont – déjà tellement à faire !

(¤) 

Frédéric Domont faut-il le rappeler, ex de la boite après avoir été licencié pour faute grave et défendu à l’époque par Marc Thiebault le DS local de la CFDT, n’aurait plus dû pouvoir continuer avec FMM comme le décrivait le palmipède à l’époque...seulement voilà !

(¤)

Ou alors cet  ancien directeur de France 3 Corse ViaStella et de France 24 pendant 9 ans qui expliquait sur une page, à Corse-Matin (**)« les raisons qui l’ont poussé à renoncer à une carrière riche et exceptionnelle dans le domaine du journalisme en France, pour venir s’installer au Liban et y fonder –en novembre 2021- un média global, Ici Beyrouth ».

(**)


Qui cela peut-il bien être ? "Mr. T" notre gorge profonde internationale qui se vante d’être en contacts réguliers avec un des pontes de FMM (un certain Titi, selon son phrasé) a de nouveau décidé de nous mettre sur la voie : « Le mec s’est déjà palpé des centaines de milliers de patates – ½ million d’euros  – et y reviendrait au tiroir-caisse ? Non mais allo quoi ! Dans l’business, y a pas d’place pour un come-back en loucedé ! » 

Voilà qui a le mérite d’être clair et d’ajouter l’exemple d’un pote à lui « Faut être plus malin. Regarde Alex à l’Ingénierie lancé par Romain, il vient de commander pour sa boîte 120.000€ de presta avec FMM…C’est passé comme une lettre à la poste !

Qu’est-ce qu’y croient à la Cour des comptes ? Que la convoc devant la Cour de discipline budgétaire et financière (CDBF) dans le cadre de la procédure visant les nombreuse irrégularités constatées dans la maison, ça les a guéri ?

Entre ceux qui sont en télétravail de 3 à 5 jours par semaine, à plus de 300 bornes de Paname, payés par la boîte mais qui depuis leur Bretagne ont monté leur business et balancent, entre autres, du conseil financier  ».

Il va presque trop vite pour nous ce "Mr. T"  qui, avant de remballer son sac, nous pose par devinette « Tiens, une petite pour la route pour vous mettre sur la piste. « Comment est-ce qu’on appelle au théâtre un long développement récité sans interruption par un personnage de théâtre, comme « Cyrano » avec celle des nez ! »

Comme l'affirme Martine Froger FMM ne répond pas du tout, visiblement, aux mêmes objectifs et aux mêmes enjeux ...C'est certain !!!!

jeudi 16 mai 2024

L’incontrôlable cégétiste du CIORTF en roues libres…Elle fera sous peu l’objet d’un signalement de 3 syndicats à France Télés…

L’incontrôlable cégétiste du CIORTF en roues libres…Elle fera sous peu l’objet d’un signalement de 3 syndicats à  France Télés…

Comme le blog CGC Média le révélait il y a deux jours (*), ce sont à présent 4 salariés du CIORTF (comité interentreprises des sociétés de l’Audiovisuel public vestige de l’ORTF démantelée en 1974 mutualisant une partie de leurs  activités sociales et culturelles) qui sont convoqués pour des simulacres d’entretiens préalables en vue de leur licenciement.

En totale contravention avec les règles mêmes de la structure voire en entrave,  la cégétiste élue du CSE France Télés, y fait régner la terreur.

C’est selon nos informations, en parfaite violation des règles  qui régissent la structure dont elle entrave de facto le fonctionnement – elle passe par le COMEX (c’est-à-dire elle et les secrétaires des CSE concernés derrière qu’elle rend de fait responsables) afin de contourner une indispensable plénière – que le pouce baissé, elle  traduit et condamne qui elle veut.

Sous prétexte d’absence d’un DRH qu’elle vient de nommer mais qui est toujours en période d’essai – chacun comprend bien la portée – elle entend bien lui faire décider d’une expertise pour essayer de justifier ses diktats…mais après, bien entendu !

Pour 2 des quatre salariés à qui elle s’attaque, elle se sert d’un soi-disant rapport d’un cabinet avec qui elle est entré directement en contact, le cabinet  Egidio, s’agissant de la soi-disant tentative de suicide dont elle voudrait leur faire porter le chapeau avec un rapport totalement à charge que le blog CGC Média a pu consulter jusqu'à en tomber de sa chaise

"La question fondamentale qui nous était posée était de considérer la situation d'une salariée qui aurait été victime d'une tentative de suicide" dit le texte (aurait !!!!) le conditionnel est partout...puis d'affirmer "le secret professionnel, auquel les psychologues sont astreints, était dû à notre mandant Mᵐᵉ Gilbert"avant de de prévoir, sans le moindre respect d'un quelconque contradictoire: "A ce  moment-là, il faudra que la main soit ferme." 

L'abjection dans toute son horreur !!! Quand on veut noyer son chien, n'est-il pas plus facile de faire croire qu'il a la rage ?! 

Pour les 2 autres qui avaient adressé un courrier d’alerte signalant les nombreux dysfonctionnements, l’ambiance de peur et l’atmosphère délétère qui règnent sur place, après qu’elle a reçu une première lettre collective pour les mêmes raisons qui, chacun l’imagine, a dû finir dans la poubelle, là aussi elle s’est tournée de son propre chef vers le cabinet Edgar pour tenter de les faire plonger !

Elle va même jusqu’à caler en amont et dans l’arbitraire le plus total, des conseil de discipline pour masquer ses turpitudes ! Du jamais vu.

Vous dites qu’elle est adhérente de la CGT…et sa centrale ne l’a pas encore démise et les secrétaires des autres CSE ne l’ont pas encore débarquée ?!  

Le blog vous propose de retrouver ci-après l’article publié le 14 mai et intitulé : "Conte d'une tyrannie moderne pour des méthodes d'un autre âge ! Laisser un tel  délire s’étendre, serait le cautionner."

De l’ORTF démantelée en 1974 que l’État veut ressusciter aujourd’hui, il ne reste  qu’un comité interentreprises des sociétés de l’Audiovisuel public mutualisant une partie de leurs  activités sociales et culturelles. Cette structure dont les effectifs font qu’elle fonctionne comme une PME de plus de 50 salariés avec un CSE donc des élus et un CSSCT, revêt une particularité, son bureau est formé de salariés élus dans les différentes sociétés de radiotélévision.

La comparaison s’arrête car la responsable légale (élue cégétiste de France Télés) y fait régner la terreur et n’en fait qu’à sa tête. 

Elle a par exemple, dénoncé « l’accord d'entreprise » qui encadrait les salariés de cette structure depuis des années...Plus de neuf mois, se sont écoulés et rien à l'horizon et surtout pas d'accord de substitution qui pointerait le bout de son nez !

Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.

Elle vient de convoquer pour entretien préalable en vue d’un licenciement, deux des salariés de la structure qui avaient adressé un courrier d’alerte signalant les nombreux dysfonctionnements, l’ambiance de peur et l’atmosphère délétère qui règnent sur place, après qu’elle a reçu une première lettre collective pour les mêmes raisons qui, chacun l’imagine, a dû finir dans la poubelle ! Selon nos infos, deux autres salariés sont également convoqués dont une élue.

La ficelle est tellement grosse ! Elle pense peut-être qu’en tentant de sanctionner ces deux lanceurs d’alertes, plus personne n’osera bouger un cil ?!

Elle se trompe lourdement car la CGC de l’Audiovisuel s’apprête, non seulement à faire un signalement au procureur de la République - elle ne devrait pas être seule organisation à le faire - mais également à se porter aux côtés de ces deux lanceurs d’alerte, si cette procédure n’était pas immédiatement annulée.

Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.

Elle ne sévit pas que dans la structure qu’elle est censée gérer. Salariée élue CGT de France Télés, en mars dernier, elle a déclaré un accident du travail lors d’un déplacement sans que personne ne soit au courant dans le centre de vacances d’Hauteluce (* dont nous reparlerons). Le motif: elle aurait subi un choc psychologique après un désaccord survenu 3 semaines avant avec sa souffre-douleurs (comprenez un des personnels administratifs du CSE de France Télés ) contre qui elle aurait également demandé des sanctions à la RH !

Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.

Ce n’est d’ailleurs pas les seuls à être victimes de ce despotisme inadmissible qui n’a pas sa place au sein de sociétés d’État.

(*) S’agissant de Hauteluce centre de séjour au cœur du Beaufortain, à seulement 23km d'Albertville et 7km des Saisies, où elle vient de se rendre toujours inopinément, flanquée d’une pote architecte pour des travaux décidés de longue date mais qu’elle décide donc de revoir, après avoir débarqué l’ancien architecte et consort qui les avait validésQuid du mandat des élus pour engager quoi que ce soit, ou encore d'un quelconque appel d’offres où d'une supposée mise en concurrence?

Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.

« La Ceaucescu » comme certains la surnomment, a viré d’un claquement de doigt, le responsable d’un autre centre de vacances à l’Isle-Jourdain (après 42 ans de bons et loyaux services) ainsi que sa femme avec en prime un avertissement pour des raisons bidon et ce à deux mois de la retraite. 

La nouvelle direction qu’elle a, elle -même choisie, s’est d’ailleurs avérée être un cinglant échec avec en filigrane la mission de dégager celles et ceux qui étaient proches de ce couple licencié manu militari. Pour exemple, cet animateur qui a collaboré pendant huit ans sans jamais aucun problème - personne fiable et volontaire, sans problème et connaissant pourtant la région sur le bout des doigts comme les habitant à l’Isle-Jourdain - éjecté sans aucune raison à part d’avoir collaboré avec le couple précité.

En l’occurrence, il a œuvré pendant 8 ans au sein du village vacances de l’Isle-Jourdain, au début en tant qu’animateur puis rapidement en tant que responsable d’animation. Pendant les saisons 2022-2023, il a été en rapport constant avec l’office de tourisme Sud Vienne Poitou pour promouvoir entre autres, le tourisme local. Lorsqu’il décidait légitimement de postuler de nouveau au poste de responsable d’animation au village CIORTF de l’Isle-Jourdain, il a su que son nom aussi était sur liste noire et ce malgré ces années de collaboration et un comportement exemplaire.

Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.

Toutes les entreprises locales qui ont travaillé avec l’ex-directeur limogé lors de la rénovation du centre, font à présent partie d’une liste noire et sont barrés.

Que dire des interventions péremptoires de cette architecte, elle aussi proche de la despote (loin d’être éclairée) qui valide des plans qui ne sont pas conformes après passage de l’Apave société française qui intervient dans le domaine de la maîtrise des risques et réalise des activités de contrôle, d'inspection, de certification et de formation sur des thèmes liés à la sécurité ? Que représente les sommes liées aux « missions » qu’elle a effectuées à sa demande ?

Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.

Il semble bien légitime de s’interroger sur le nombre de JV (journées de vacances) - entre 9000 et 10000 JV/an au moment où le couple viré y était - ainsi que le nombre de JV à l’heure actuelle sur le village de de l’Isle-Jourdain ?  Comment une seule personne peut décider d’éjecter des personnels sans jamais qu’ils n’aient eu le moindre problème professionnel ou personnel ?

Une ex-salariée a bien essayé les Prud’hommes après avoir été viré sous un faux prétexte déboutée pour une question de service, à savoir celui des retours auprès duquel nombre de  vacanciers émettait des avis plus que négatifs

Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.

Pour ce qui est du fric dépensé et des passe-droits, les voyages aux USA, sont aussi une illustration de cette gestion surréaliste qui se déroule sous sa houlette.

Elle a, entre autres, organisé plusieurs voyages à New York. Pourquoi ? Le premier, sa progéniture déjà partie plusieurs fois n’avait pas été retenue dans la vingtaine retenue donc inéligible pour le séjour USA grands parcs Août. Elle en a donc programmé un autre pour que cette dernière puisse aller voir The big apple.  Bonjour le coût.

Elle a organisé une "Formation à la conduite accompagnée" a la Toussaint Rebelote pas de place pour la demoiselle parmi les 24 confirmés lors du tri informatique. C’est une pression de tous les instants - celle dont sont accusés régulièrement celles et ceux qui ne filent pas droit - qui a été mise sur le responsable  de l'époque qui était en CDD pour qu’il « agisse dans le bon sens » ! Il a fallu raconter à 2 familles qu'à cause de « lenteurs administratives, leur dossier auprès de la préfecture ne serait pas constitué à temps car il fallait compter 3 mois pour obtenir un dossier complet pour les habitants du 93 ». 

Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.

Comme si le tableau n’était déjà pas assez noir, il convient de s’interroger sur les 40.000€ perdus au casino par une directrice de colo juste avant le départ !?

Sur quelle ligne budgétaire cette invraisemblable négligence a-t-elle atterrie ? 

Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.

La conclusion à tout cela, le blog CGC Média l’a mise dans le titre et la reprend bien évidemment « Laisser s’étendre ce délire, serait le cautionner ».



L’instruction judiciaire sur les 112.123€ dépensés dans les suites de l’hôtel Majestic de Cannes par Ernotte and co, va pouvoir commencer.

L’instruction judiciaire sur les 112.123€ dépensés dans les suites de l’hôtel Majestic de Cannes par Ernotte and co, va pouvoir commencer.

La CGC de l’Audiovisuel confirme les informations de La Lettre publiées ce jour. Le syndicat qui avait saisi le Parquet le 9 février dernier, vient de saisir officiellement le Doyen des juges d’instruction pour pouvoir se constituer partie civile dans la plainte des « CHEFS DE DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLICS ET D’ABUS DE CONFIANCE, PRÉVUS ET RÉPRIMÉS PAR LES ARTICLES 432-15 ET 314-1 DU CODE PÉNAL »visant « DELPHINE ERNOTTE-CUNCI mais aussi TOUS AUTEURS, COAUTEURS, COMPLICES et RECÉLEURS QUE L’ENQUÊTE DÉTERMINERA"  après la facture de 112.123€ au Majestic de Cannes  (*) 

Facture dont l’ex-Orange a contesté la réalité devant les élus du CSE central de décembre 2023 : « Ce sont là des méthodes de déstabilisation peu recommandables comme cette lettre anonyme qui diffuse tous azimuts une fausse facture de frais d’hôtel au festival de Cannes » mais dont elle annonce pourtant  « avoir lancé une enquête interne…. » (¤ 3ème paragraphe du compte-rendu ci-après)

(¤) 3ème paragraphe (¤) 3ème paragraphe 


Extrait :

« Cette démarche entraînera l'ouverture d'une information judiciaire, la nomination d'un juge d'instruction et l'audition des responsables visés. La branche média de l'organisation, dirigée par Jean-Jacques Cordival, dénonce les coûts engendrés par le séjour de quatre dirigeants de France télévisions pendant le Festival de Cannes. 

Elle estime en effet injustifiée la durée de leurs séjours à l'hôtel Majestic durant l'intégralité de l'événement, qui a lieu du 16 au 27 mai, et dont le groupe audiovisuel public est partenaire. D'un montant total de 112 123 euros, la facture d'hôtellerie de Delphine Ernotte-Cunci, PDG du groupe, de Stéphane Sitbon-Gomez, son directeur des antennes et programmes, de Manuel Alduy, son directeur du cinéma et des fictions, et de Christophe Tardieu, son secrétaire général, avait été mise en ligne sur le blog anonyme Adap. 

Le groupe audiovisuel conteste à la fois le montant de la facture et la notion de détournement de fonds publics. En effet, une partie du montant de celle-ci aurait été redirigée vers le média en ligne Brut, également partenaire du festival. Ses dirigeants, Renaud Le Van Kim et Guillaume Lacroix, qui avaient bénéficié de chambres réglées par France télévisions, auraient remboursé leur part à hauteur d'environ 38 000 euros. Pour les 72 000 euros restants, la direction de France TV explique que la facture a été réglée par "barter", un système qui permet d'échanger des espaces publicitaires invendus contre des services, d'hôtellerie ou de transports, le plus souvent… ».

La CGC de l'Audiovisuel conteste, éléments factuels à l'appui, ce ridicule argument du du "barter" opportunément avancé pour prétendre qu'il ne s'agirait pas d'argent public selon France Télés qui récidive ces jours-ci pour Cannes 2024 avec une légère variante le "partenariat" comme l'écrivait encore La Lettre !!!!

Si le barter était si efficace en 2023 et ne coûtait pourquoi cette année parler de partenariat qui de toute façon est légalement bien encadré, ne sert en rien à payer les frais de telle ou tel et représente toujours de l'argent public quoi qu'il en soit ?

Le partenariat s'il permet  à une marque  quasiment rien de s'associer à un contexte éditorial en profitant des audiences et des valeurs d'un programme - cette notion de valeur est particulièrement importante puisque c'est en argent qu'elle se traduit donc d'argent public au bout du compte - elle est surtout une affaire de GRP (Gross Rating Point) donc pas là pour accorder des avantages à quelque directeur ou prestataire de la télé publique que ce soit ! 

 (*) 



mercredi 15 mai 2024

Vincent Lindon fustige la soi-disant réforme de l’audiovisuel public : une « régression » selon lui.

Vincent Lindon fustige la soi-disant réforme de l’audiovisuel public : une « régression » selon lui.







Alors qu’il est à l’affiche du dernier film de Quentin Dupieux « Le deuxième acte » qui fait l’ouverture du festival de Cannes, le comédien interrogé en aparté sur le projet de fusion des sociétés de l’’audiovisuel public porté l’an dernier au Sénat par Laurent Lafon.

C’est une fausse bonne idée pour l’acteur qui a, comme beaucoup d’autres déjà,  affirmé son opposition à la volonté de « rapprochement » entre Radio France et France Télévisions.

« C’est une régression dans un des plus beaux pays du monde, voire le plus grand pays du monde pour la culture » a-t-il déclaré sur France Info (la radio) ajoutant « Une façon de croire qu’on va progresser mais dont on paiera les pots cassés plus tard ».

« […] Il faut savoir refuser l’appât du gain pour arriver à ce que la culture puisse progresser et pour qu’on puisse s’exprimer sur des antennes et radiophoniques et télévisuelles », a-t-il poursuivi.

« Une prise de position dont le Château comme Matignon ou encore la rue de Valois, se moquent comme de leur première chemise » ironise cet adhérent du Modem qui partage le plus pragmatiquement qui soit la même vision. La preuve « L'amendement gouvernemental prévoit la fusion de France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l'Ina, au 1er janvier 2026 a été voté mardi soir en commission » dit-il encore, juste avant de préciser « Emmanuel Macron a vu tout ça avec Gérard Larcher ! »

Le texte gouvernemental prévoyant cette fusion de France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l'Ina a été adopté par 30 voix contre 18, dans le cadre de l'examen en première lecture de la proposition de loi issue du Sénat soutenue par le sénateur Lafon qui se retrouve quasiment, à présent, le dindon de la farce.

« La Droite est tombée dans le panneau et elle va même devoir avaler le déplafonnement des recettes publicitaires de Radio France comme de France Télés, autre amendement gouvernemental porté par le député vedette de C8 Quentin Bataillon, accessoirement président Renaissance de la commission des affaires culturelles et de l’éducation » conclut-il.