L’incontrôlable
cégétiste du CIORTF en roues libres…Elle fera sous peu l’objet d’un signalement de 3 syndicats
à France Télés…
Comme
le blog CGC Média le révélait il y a deux jours (*),
ce sont à présent 4 salariés du CIORTF (comité interentreprises des sociétés de l’Audiovisuel public vestige
de l’ORTF démantelée en 1974 mutualisant
une partie de leurs activités sociales et culturelles) qui
sont convoqués pour des simulacres d’entretiens préalables en vue de leur licenciement.
En totale contravention avec les règles mêmes
de la structure voire en entrave, la
cégétiste élue du CSE France Télés, y fait régner la terreur.
C’est selon nos informations, en parfaite
violation des règles qui régissent la structure
dont elle entrave de facto le fonctionnement – elle passe par le COMEX (c’est-à-dire
elle et les secrétaires des CSE concernés derrière qu’elle rend de fait responsables)
afin de contourner une indispensable plénière – que le pouce baissé, elle traduit et condamne qui elle veut.
Sous prétexte d’absence d’un DRH qu’elle
vient de nommer mais qui est toujours en période d’essai – chacun comprend bien
la portée – elle entend bien lui faire décider d’une expertise pour essayer de justifier
ses diktats…mais après, bien entendu !
Pour
2 des quatre salariés à qui elle s’attaque, elle se sert d’un soi-disant
rapport d’un cabinet avec qui elle est entré directement en contact, le cabinet
Egidio, s’agissant de la soi-disant tentative de
suicide dont elle voudrait leur faire porter le chapeau avec un rapport totalement à charge que le blog CGC Média a pu consulter jusqu'à en tomber de sa chaise !
"La question fondamentale qui nous était posée était de considérer la situation d'une salariée
qui aurait été victime d'une tentative de suicide" dit le texte (aurait !!!!) le conditionnel est partout...puis d'affirmer "le secret professionnel, auquel les psychologues sont astreints, était
dû à notre mandant Mᵐᵉ Gilbert", avant de de prévoir, sans le moindre respect d'un quelconque contradictoire: "A ce moment-là, il
faudra que la main soit ferme."
L'abjection dans toute son horreur !!! Quand on veut noyer son chien, n'est-il pas plus facile de faire croire qu'il a la rage ?!
Pour
les 2 autres qui avaient adressé un
courrier d’alerte signalant les nombreux dysfonctionnements, l’ambiance de peur
et l’atmosphère délétère qui règnent sur place, après qu’elle a reçu
une première lettre collective pour les mêmes raisons qui, chacun
l’imagine, a dû finir dans la poubelle, là aussi elle s’est tournée de son propre
chef vers le cabinet Edgar pour tenter de les faire plonger !
Elle
va même jusqu’à caler en amont et dans l’arbitraire le plus total, des conseil
de discipline pour masquer ses turpitudes ! Du jamais vu.
Vous dites qu’elle est adhérente de la CGT…et sa centrale
ne l’a pas encore démise et les secrétaires des autres CSE ne l’ont pas encore
débarquée ?!
Le blog vous
propose de retrouver ci-après l’article publié le 14 mai et intitulé : "Conte d'une tyrannie moderne pour des méthodes d'un autre âge ! Laisser un tel délire s’étendre, serait le cautionner."
De l’ORTF démantelée en 1974 que l’État veut ressusciter aujourd’hui, il ne reste qu’un comité interentreprises des sociétés de l’Audiovisuel public mutualisant une partie de leurs activités sociales et culturelles. Cette structure dont les effectifs font qu’elle fonctionne comme une PME de plus de 50 salariés avec un CSE donc des élus et un CSSCT, revêt une particularité, son bureau est formé de salariés élus dans les différentes sociétés de radiotélévision.
La comparaison s’arrête car la responsable légale (élue cégétiste de France Télés) y fait régner la terreur et n’en fait qu’à sa tête.
Elle a par exemple, dénoncé « l’accord d'entreprise » qui encadrait les salariés de cette structure depuis des années...Plus de neuf mois, se sont écoulés et rien à l'horizon et surtout pas d'accord de substitution qui pointerait le bout de son nez !
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Elle vient de convoquer pour entretien préalable en vue d’un licenciement, deux des salariés de la structure qui avaient adressé un courrier d’alerte signalant les nombreux dysfonctionnements, l’ambiance de peur et l’atmosphère délétère qui règnent sur place, après qu’elle a reçu une première lettre collective pour les mêmes raisons qui, chacun l’imagine, a dû finir dans la poubelle ! Selon nos infos, deux autres salariés sont également convoqués dont une élue.
La ficelle est tellement grosse ! Elle pense peut-être qu’en tentant de sanctionner ces deux lanceurs d’alertes, plus personne n’osera bouger un cil ?!
Elle se trompe lourdement car la CGC de l’Audiovisuel s’apprête, non seulement à faire un signalement au procureur de la République - elle ne devrait pas être seule organisation à le faire - mais également à se porter aux côtés de ces deux lanceurs d’alerte, si cette procédure n’était pas immédiatement annulée.
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Elle ne sévit pas que dans la structure qu’elle est censée gérer. Salariée élue CGT de France Télés, en mars dernier, elle a déclaré un accident du travail lors d’un déplacement sans que personne ne soit au courant dans le centre de vacances d’Hauteluce (* dont nous reparlerons). Le motif: elle aurait subi un choc psychologique après un désaccord survenu 3 semaines avant avec sa souffre-douleurs (comprenez un des personnels administratifs du CSE de France Télés ) contre qui elle aurait également demandé des sanctions à la RH !
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Ce n’est d’ailleurs pas les seuls à être victimes de ce despotisme inadmissible qui n’a pas sa place au sein de sociétés d’État.
(*) S’agissant de Hauteluce centre de séjour au cœur du Beaufortain, à seulement 23km d'Albertville et 7km des Saisies, où elle vient de se rendre toujours inopinément, flanquée d’une pote architecte pour des travaux décidés de longue date mais qu’elle décide donc de revoir, après avoir débarqué l’ancien architecte et consort qui les avait validés…Quid du mandat des élus pour engager quoi que ce soit, ou encore d'un quelconque appel d’offres où d'une supposée mise en concurrence?
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
« La Ceaucescu » comme certains la surnomment, a viré d’un claquement de doigt, le responsable d’un autre centre de vacances à l’Isle-Jourdain (après 42 ans de bons et loyaux services) ainsi que sa femme avec en prime un avertissement pour des raisons bidon et ce à deux mois de la retraite.
La nouvelle direction qu’elle a, elle -même choisie, s’est d’ailleurs avérée être un cinglant échec avec en filigrane la mission de dégager celles et ceux qui étaient proches de ce couple licencié manu militari. Pour exemple, cet animateur qui a collaboré pendant huit ans sans jamais aucun problème - personne fiable et volontaire, sans problème et connaissant pourtant la région sur le bout des doigts comme les habitant à l’Isle-Jourdain - éjecté sans aucune raison à part d’avoir collaboré avec le couple précité.
En l’occurrence, il a œuvré pendant 8 ans au sein du village vacances de l’Isle-Jourdain, au début en tant qu’animateur puis rapidement en tant que responsable d’animation. Pendant les saisons 2022-2023, il a été en rapport constant avec l’office de tourisme Sud Vienne Poitou pour promouvoir entre autres, le tourisme local. Lorsqu’il décidait légitimement de postuler de nouveau au poste de responsable d’animation au village CIORTF de l’Isle-Jourdain, il a su que son nom aussi était sur liste noire et ce malgré ces années de collaboration et un comportement exemplaire.
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Toutes les entreprises locales qui ont travaillé avec l’ex-directeur limogé lors de la rénovation du centre, font à présent partie d’une liste noire et sont barrés.
Que dire des interventions péremptoires de cette architecte, elle aussi proche de la despote (loin d’être éclairée) qui valide des plans qui ne sont pas conformes après passage de l’Apave société française qui intervient dans le domaine de la maîtrise des risques et réalise des activités de contrôle, d'inspection, de certification et de formation sur des thèmes liés à la sécurité ? Que représente les sommes liées aux « missions » qu’elle a effectuées à sa demande ?
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Il semble bien légitime de s’interroger sur le nombre de JV (journées de vacances) - entre 9000 et 10000 JV/an au moment où le couple viré y était - ainsi que le nombre de JV à l’heure actuelle sur le village de de l’Isle-Jourdain ? Comment une seule personne peut décider d’éjecter des personnels sans jamais qu’ils n’aient eu le moindre problème professionnel ou personnel ?
Une ex-salariée a bien essayé les Prud’hommes après avoir été viré sous un faux prétexte déboutée pour une question de service, à savoir celui des retours auprès duquel nombre de vacanciers émettait des avis plus que négatifs
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Pour ce qui est du fric dépensé et des passe-droits, les voyages aux USA, sont aussi une illustration de cette gestion surréaliste qui se déroule sous sa houlette.
Elle a, entre autres, organisé plusieurs voyages à New York. Pourquoi ? Le premier, sa progéniture déjà partie plusieurs fois n’avait pas été retenue dans la vingtaine retenue donc inéligible pour le séjour USA grands parcs Août. Elle en a donc programmé un autre pour que cette dernière puisse aller voir The big apple. Bonjour le coût.
Elle a organisé une "Formation à la conduite accompagnée" a la Toussaint Rebelote pas de place pour la demoiselle parmi les 24 confirmés lors du tri informatique. C’est une pression de tous les instants - celle dont sont accusés régulièrement celles et ceux qui ne filent pas droit - qui a été mise sur le responsable de l'époque qui était en CDD pour qu’il « agisse dans le bon sens » ! Il a fallu raconter à 2 familles qu'à cause de « lenteurs administratives, leur dossier auprès de la préfecture ne serait pas constitué à temps car il fallait compter 3 mois pour obtenir un dossier complet pour les habitants du 93 ».
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Comme si le tableau n’était déjà pas assez noir, il convient de s’interroger sur les 40.000€ perdus au casino par une directrice de colo juste avant le départ !?
Sur quelle ligne budgétaire cette invraisemblable négligence a-t-elle atterrie ?
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
La conclusion à tout cela, le blog CGC Média l’a mise dans le titre et la reprend bien évidemment « Laisser s’étendre ce délire, serait le cautionner ».