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samedi 27 juillet 2024

Pascal Boniface écarté du programme de France•5 "C dans l'air", dénonce « Ce mépris des journalistes vedettes par rapport à des universitaires et des académiques. »

Pascal Boniface écarté du programme de France•5 "C dans l'air", dénonce « Ce mépris des journalistes vedettes par rapport à des universitaires et des académiques. »

Dans une vidéo, le géopolitologue estime avoir été mis à l'écart du programme de France•5 en raison de ses positions sur le conflit israélo-palestinien.

"C Dans L'Air, c'est fini (pour moi)". C'est ainsi qu'est intitulée une vidéo de Pascal Boniface, postée sur sa page Youtube ce Mardi 23 Juillet 2024.

 

Le directeur de l'Institut de Relations Internationales et Stratégiquesn’intervient plus depuis plusieurs mois, alors qu’il était l'un des piliers du programme de France•5 depuis sa création en 2001.

"Vous êtes nombreux à me demander pourquoi vous ne me voyez plus à 'C Dans l'air'. C'est vrai je ne suis plus invité dans l'émission"dit-il dans dans cette vidéo d'une durée de plus de 6 minutes.


Lien Youtube : C dans l'air, c'est fini (pour moi) (youtube.com)

 

Extraits


"Je ne suis plus invité sur les questions de géopolitique"

 

"Si, je dois dire que j'avais été invité pour une émission sur les Jeux Olympiques mais j'ai décidé de ne pas y aller car je ne suis plus invité sur les questions de géopolitique 'dure' notamment sur le conflit Russie-Ukraine et encore plus le conflit du Proche Orient. Je n'ai pas envie d'être relégué à des sujets censés être moins importants", indique le spécialiste.

 

"C'est ce que je dis sur le fond qui ne plaît pas"

 

"C'est un changement. Je participe à l'émission depuis ses débuts en 2001. Donc ça fait 23 ans que j'y vais, toujours avec plaisir, parce que c'est une émission où on peut débattre (...). Et puis ça s'est un peu dégradé, j'ai vu que sur les émissions sur la Russie je n'étais plus invité", confie-t-il. 

Selon lui, il n'était surtout plus convié dans les émissions du lundi au jeudi, présentées par Caroline Roux. "J'ai essayé de m'expliquer avec elle et son rédacteur en chef. Mais ils m'ont un peu baladé en me disant qu'il n'y avait pas de problème. On peut très bien décider de ne plus m'inviter, mais je pense que du fait que j'ai un peu de bouteille, on aurait pu avoir une explication plus sincère" ajoute-t-il.

 

"C'est plutôt ce que je dis sur le fond qui ne plaît pas. Et puis ça s'est encore aggravé avec le 7 Octobre. Je n'ai été invité à aucune émission sur le conflit israélo-palestinien", explique-t-il encore. "J'ai demandé à nouveau des explications, et de nouveau le déni. Et là ça pose deux problèmes. Un, c'est le traitement de l'information. Globalement en France, il y a un biais pro-israélien (...). 'C Dans L'Air' n'échappe pas à cela même si c'est moins fort que dans 'C À Vous' l'émission qui suit" assure l'expert qui tient régulièrement des propos critiques envers le Gouvernement de l'État hébreu.

 

"On peut au moins me dire la vérité"

 

"Après 23 ans de participation à l'émission, on peut au moins me dire la vérité, ou ne pas me prendre à ce point pour un abruti, en pensant que je vais m'endormir avec ces mensonges et quelques compliments", enchérit Pascal Boniface. "C'est ça que j'ai pas supporté, ce mépris que peuvent avoir des journalistes vedettes par rapport à des universitaires, des académiques. (...) Et c'est pour ça que j'ai décidé, une fois encore à mon grand regret, mais pour une question de dignité, de ne pas aller à cette émission où j'étais invité".

"Je connais très bien le système médiatique, je sais très bien que faire cette vidéo ne va pas arranger mes affaires. Non seulement je ne serai toujours pas invité à 'C Dans L'Air" mais d'autres émissions de France Télévisions aussi (...). Il y a quelque chose que les médias n'aiment pas, c'est être critiqués", lance-t-il enfin.


« Non je ne me plains pas, J’ai mes conférences, je suis directeur de l’IRIS, j’ai cette chaîne vidéo qui me permet de m’exprimer donc tout va bien » conclut l’intéressé…Voilà qui est dit ! 


vendredi 26 juillet 2024

Le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) épingle à son tour France Télés, en l’occurrence France 5 et "C à vous"…

Le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) épingle à son tour France Télés, en l’occurrence France 5 et "C à vous"…

Comme chaque mois, le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) publie ses décisions sur les saisines reçues et déclarées recevables. 

« En juin, neuf avis ont été publiés dont trois fondés, quatre partiellement fondés et deux non fondés » écrit La Correspondance de la presse qui les liste «  Le CDJM épingle "C à vous" sur France 5, Sud Radio, Newestpress, franceinfo, "Valeurs actuelles", "La Manche Libre" et France Inter »

Rappelons que l'Arcom qui vient d'exclure C8 et NRJ12 de la TNT gratuite avait appelé à la vigilance dans un habituel rappel à l'ordre.

 

Extrait :

 

En premier lieu, France 5 et "C à vous" sont mis à l'amende concernant l'invitation du fondateur et dirigeant d'iliad/Free Xavier NIEL à la suite de la présentation de sa nouvelle box, dans une émission produite par Médiawan dans lequel il est l'un des actionnaires et des fondateurs aux côtés de MM. Pierre-Antoine CAPTON et Matthieu PIGASSE. Une personne dont l'identité n'a pas été révélée "en raison d'une clause de discrétion qui le lie à son ancien employeur France Télévisions" a saisi le CDJM estimant qu'il y avait eu "confusion entre publicité et information", ainsi qu'un "conflit d'intérêts".

 

Mme Anne-Elisabeth LEMOINE "n'a pris aucun recul, n'a fait aucune mise en perspective et a sciemment repris les termes et expressions de la communication" de Free

 

Sollicités par le conseil, ni M. CAPTON, ni l'animatrice Anne-Elisabeth LEMOINE, ni le directeur de l'information de France Télévisions Alexandre KARA n'ont répondu. Dans son analyse, il estime que les "règles qui visent à différencier clairement pour le public information et communication même quand on parle d'un produit sont absentes de l'interview réalisée dans 'C à vous'", considérant que Mme LEMOINE "reprend un argumentaire marketing sans aucune distance", même si elle "a pris le soin de préciser, dans son introduction, le lien capitalistique existant entre la société qui produit l'émission et son invité".

 

"Il n'en demeure pas moins que, de façon presque caricaturale, la conduite de l'interview a entraîné une séquence de près de trois minutes qui fait la promotion de la nouvelle Freebox. La journaliste n'a pris aucun recul, n'a fait aucune mise en perspective et a sciemment repris les termes et expressions de la communication de l'entreprise", résume le CDJM, qui juge "établie la confusion entre publicité et information". De même, le signalement des liens capitalistiques en début d'entretien "ne fait pas disparaître le risque d'un conflit d'intérêts" qui est donc aussi avéré. Cet avis a été adopté par consensus.

 

Certaines informations "auraient dû être clairement portées à la connaissance des auditeurs, juge le CDJM.




jeudi 25 juillet 2024

Ernotte n’aura pas eu l’occasion de dire à Emmanuel Macron tout le bien qu’elle pensait de sa pote Lucie Castets…Anne Hidalgo s’en charge !

Ernotte n’aura pas eu l’occasion de dire à Emmanuel Macron tout le bien qu’elle pensait de sa pote Lucie Castets…Anne Hidalgo s’en charge !

 

Elle aura tout fait pour se mettre en scène avec son ex-dircab indument surnommé "Le Baron noir" (*) derrière Emmanuel et les sportifs comme Patrick Bruel qui le saluent sans pour autant la calculer,  pas plus d’ailleurs que l’ex-Vert comme chacun pourra le constater sur le replay de « Bleu, blanc, or, nos  100 chances de médailles » (captures d’écran ci-dessous) !


L’ex-Orange dont les jours sont comptés à France Télévisions n’aura probablement pas pu dire au Chef de l’État combien Lucie Castets qu’elle connait bien via sa sœur ajointe à la maire de Paris, ferait une cheffe de gouvernement formidable.

 

Qu’à cela ne tienne, la pote d’Ernotte à la Ville s’en est chargée quelques minutes après l'annonce de ce choix comme BFM Paris Île-de-France le révèle ce jour (¤)

 

Anne Hidalgo a en effet vanté une femme "géniale" et a salué une "très bonne directrice des financesauprès de BFM Paris Île-de-France. collectif "Nos services publics". Elle a même précisé "Lucie travaille avec beaucoup de sérieux et sans mettre la ville en faillite. En gérant très sérieusement les finances", précise-t-elle à BFM Paris Île-de-France.



 

Les parisiens qui ont vu leur taxe foncière à Paris augmenter de plus de 50 % en 2023 -Le taux d'imposition passé de 13,5 % à 20,5 % en 2023 - et leurs charges exploser, en sont chaque jour les témoins !!

 

En France justement, une commune, un département ou une région ne peuvent pas faire faillite, d’où sa mise sous tutelle. Les élus locaux doivent équilibrer les recettes et les dépenses de fonctionnement de leurs collectivités, qui ne peuvent s'endetter que pour investir. Dès qu'un déficit apparaît dans un budget de fonctionnement, une procédure particulière se met en place. Le préfet, de concert avec la Chambre régionale des comptes, prend la main. Il peut imposer des coupes dans les dépenses (le paiement du personnel étant sanctuarisé) et des hausses d'impôt. En outre, il peut inciter les élus locaux et les banques à renégocier les emprunts.

 

 

Il y a quelques semaines, la mise sous tutelle de Paris «n'était pas exclue» à cause de sa dette…

 

Dette qui a atteint 8,2 milliards d'euros en 2023,  atteindra 8,8 milliards en 2024 et 9,9 milliards en 2025…

 

Il convient de rappeler qu’elle n'était «que» de 4,18 milliards en 2014. Elle a donc déjà plus que doublé en moins de dix ans. 

 

Le prochain Premier ministre puisqu’il devrait s’agir d’un homme dont le nom et l’engagement sont largement connus des Françaisbien au fait de l’Economie et des Finances du Pays au moment où particulièrement la Commission européenne vient de lancer officiellement une procédure pour déficit public excessif contre la France (et six autres pays de l’UE) mais aussi respecté de tous les partis pour sa fibre socialedevrait ne pas être d’accord avec l’enthousiasme dont fait preuve celle qui n'a réuni que 1,74 % des suffrages à la dernière élection présidentielle, le plus bas score jamais atteint par un ou une socialiste.


(*)

mercredi 24 juillet 2024

C8 la chaîne du groupe Bolloré perd sa fréquence TNT tout comme NRJ12.

 C8 la chaîne du groupe Bolloré perd sa fréquence TNT tout comme NRJ12. 

L’Arcom toujours sous la houlette de ROM jusqu’à la fin de l’année, a finalement décidé ce 24 juillet de retirer leur fréquence à 2 chaînes de la TNT : C8 sur laquelle on retrouve TPMP de Cyril Hanouna et NRJ12.

 


Les deux chaînes seront remplacées par celles proposées par Ouest-France (OF TV) et le groupe du Tchèque Daniel Kretinsky, CMI France (RéelsTV) vient d’annoncer l’instance de régulation dans un communiqué.


Après les auditions en juillet des représentants de vingt-quatre projets, les neuf membres du collège ont retenu ceux qui restent en lice pour la (ré)attribution des canaux en jeu qui n’interviendra formellement qu’après la signature, d’ici à la fin de l’année, de nouvelles conventions plus exigeantes entre l’Arcom et les chaînes, ainsi autorisées à émettre courant 2025 pour une durée de dix ans maximum.


Il convient de penser immédiatement au devenir des personnels qui travaillent sur ces deux chaînes. Que vont-ils devenir ? 


C8 comme CNews avaient largement fait parler dans le cadre des débats de la commission d’enquête parlementaire sur les fréquences TNT en début d’année dont le rapporteur, Aurélien Saintoul (LFI) – récemment réélu député  –  avait écrit qu’il  « ne comprendrait pas » qu’elles « puissent se voir en l’état renouveler leurs autorisations de diffusion ». Des deux chaines du groupe Bolloré, seule CNews (canal 16)  sauve donc sa tête.


Cyril Hanouna diffusera-t-il la semaine du changement d'heure (en octobre prochain), l'enquête complémentaire sur Ernotte et le naufrage de la télé publique  comme il l'avait annoncé en direct dans son émission ? 

mardi 23 juillet 2024

Emmanuel Macron sur France TV et Radio France ce mardi soir.

Emmanuel Macron sur France TV et Radio France ce mardi soir.

Emmanuel Macron donnera mardi soir, à 20h10, sa première interview depuis le second tour des élections législatives. Il sera interrogé par Thomas Sotto (France Télévisions) et Nathalie Iannetta (Radio France) et "reviendra sur la situation politique française et s'exprimera sur les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 à 3 jours de la cérémonie d'ouverture", précise le communiqué de la présidence.

L'interview aura lieu place du Trocadéro à Paris où le JT de 20h sur France 2 se délocalise et sera également diffusée en direct sur France Inter, franceinfo : canal 27, franceinfo radio, franceinfo.fr et france.tv.


Le chef de l'État qui a affirmé lundi que les JO débutant  vendredi seront un moment de "trêve politique", alors que la France, en pleine crise politique se cherche toujours un gouvernement après les élections législatives anticipées à la suite de la dissolution de l'Assemblée nationale, devrait aborder plus précisément avec Nathalie Iannetta les questions liées aux Jeux de Paris et avec Thomas Sotto celles liées à la politique française.

lundi 22 juillet 2024

Marc-Olivier Fogiel remplacé à la tête de BFM-TV par Fabien Namias directeur général adjoint de LCI.

Marc-Olivier Fogiel  remplacé à la tête de  BFM-TV par  Fabien Namias directeur général adjoint de LCI.

Marc-Olivier Fogiel, directeur général de BFM-TV depuis 5 ans, va être remplacé par Fabien Namias, jusqu’à présent directeur général adjoint de LCI, a annoncé dans un communique ce 22 juillet, le groupe RMC BFM racheté début juillet par CMA CGM de Rodolphe Saadé.

Le directeur de l’information de Radio France et directeur de Franceinfo, Jean-hilippe Baille, succédera quant à lui à Hervé Beroud au poste de directeur général délégué à l’information de RMC BFM, ajoute le texte, précisant que l’équipe actuelle assurera tout de même « la rentrée des antennes du groupe RMC BFM ».

« Avec Hervé [Beroud], nous avons décidé de partir pour de nouvelles aventures à notre initiative. On sera aux commandes à la rentrée pour assurer une transition douce », a déclaré Marc-Olivier Fogiel à l’Agence France-Presse.

A quand son retour sur France Télés ? 

L’ex-Orange déjà vers la sortie…Pas de paragraphe sur le retour à l'ORTF dans le « pacte législatif d’urgence » que proposent les LR pour éviter le « le blocage du pays » !

L’ex-Orange déjà vers la sortie…Pas de paragraphe sur le retour à l'ORTF dans le « pacte législatif d’urgence » que proposent les LR pour éviter le « le blocage du pays » !

Les Républicains ont présenté ce lundi une série de réformes, qualifiée de « pacte législatif d’urgence » pour « empêcher le blocage du pays » qui comprend très 13 textes.

« Ce n’est pas une coalition gouvernementale. Nous sommes indépendants et nous le resterons » a précisé Laurent Wauquiez, ajoutant « Nous nous engageons à soutenir ces mesures si l’exécutif s’en empare, mais ce n’est pas un chèque en blanc pour le gouvernement. »

En attendant de savoir les deux nouveaux noms restant sur la table par le NFP , à savoir l’éphémère ministre du logement Cécile Duflot dont le dircab fut celui d’Ernotte dès 2015 ou l'ancien candidat à la présidentielle Benoît Hamon (les deux issus d’un gouvernement Hollande -Le chef des députés communistes André Chassaigne ayant fait savoir qu’il ne briguait pas le poste – il n’a sûrement pas été question donc d’un retour à l’ORTF prôné par celle dont les jours sont à présent comptés, après l’abandon de son projet de vouloir fusionner les 4 entreprises de l’Audiovisuel public !

La rentrée de septembre à quelques semaines des débats sur le budget de la Nation risque fort d’être chaud pour la dame du Majestic (*) qui malgré les Pierre-Antoine Capton et Xavier Niel ( Médiawan), Stépnahe Courbit (Banijay),  Renaud Le Van Kim (Brut), Thierry Breton (ex France Télécom nommé commissaire européen par Emmanuel Macron à Bruxelles) ou encore BRP conseiller en chef à la dissolution BRP et Alexis Kohler au Secrétariat général de l’Élysée, va devoir enfin libérer la place.

(*)




dimanche 21 juillet 2024

Une députée franco-algérienne, enseignante et membre du PS élue présidente de la commission « culture et éducation » de l’Assemblée nationale.

Une députée franco-algérienne, enseignante et membre du PS élue présidente de la commission « culture et éducation » de l’Assemblée nationale.

Fatiha Keloua-Hachi née à Paris en 1971 de parents originaires de la région de Béjaïa (Algérie), diplômée en lettres qui a enseigné la littérature moderne pendant 28 ans, a été élue ce samedi 20 juillet présidente de la commission « culture et éducation » de l’Assemblée nationale.

Membre du Parti socialiste (PS), Fatiha Keloua-Hachi a été élue députée pour la première fois en juin 2022 dans la 8e circonscription de la Seine-Saint-Denis puis investie par l’alliance Nouveau front populaire (NFP), réélue au second tour des dernières législatives anticipées, dimanche 7 juillet avec  70% des voix, battant très nettement le candidat du Rassemblement national (RN), Sébastien Jolivet.

Investie par l’alliance Nouveau front populaire (NFP), elle a été réélue au second tour des dernières législatives anticipées, dimanche 7 juillet. Avec 70% des voix, elle a nettement battu le candidat du Rassemblement national (RN), Sébastien Jolivet.

L’éducation, c’est sa spécialité et sa priorité.

Elle avait déjà été  désignée membre de la commission culture et éducation lors de son premier mandat de députée avant d’en devenir la présidente pour ce second mandat.

« Très émue et honorée d’avoir été élue aujourd’hui présidente de la commission des affaires culturelles et de l’éducation », a-t’elle écrit sur les réseaux sociaux immédiatement après son élection, ajoutant « L’enseignante que je suis depuis plus de 30 ans en Seine-Saint-Denis ne s’imaginait pas un jour accéder à un tel poste ».

Dans les couloirs de l’Assemblée, elle a fait des déclarations à la presse, dans lesquelles elle a esquissé ce que sera son action. « Je ne suis pas surprise, je suis ravie. Je voulais vraiment mettre l’éducation au cœur de notre commission. C’est chose enfin faite » a déclaré la parlementaire

« On va travailler bien sûr sur tous les sujets. Je pense être une personne experte de cette commission et je pense que c’est ce beau travail pendant deux ans au sein de cette commission qui est reconnu », a-t-elle ajouté.

Pourvu qu’au niveau de l’Audiovisuel public elle ne se fasse pas embobiner par Aurore Bergé celle qui sait tout et a un avis sur tout (elle aussi réélue), la groupie ernottienne par excellence après ROM évidemment.