Voici un large extrait de l'article du Nouvel Obs de ce 9 mai 2009 intitulé : "France Télévisions auscultée par la Cour des comptes" signé Charlotte Clidi.
"Le rapport de la Cour des comptes sur France Télévisions pourrait, fin juin, mettre le feu aux poudres de la télé publique. Présidé par Philippe Seguin, l’organisme de contrôle des finances publiques passe au peigne fin les livres de comptes et l’utilisation de l’argent de l’actionnaire, l’Etat, par le groupe public.
C’est dans ce cadre que la Cour auditionnera à la mi-mai les dirigeants de France Télévisions, Patrick de Carolis et Patrice Duhamel, indique L’Express à paraître ce jeudi.
Si les revenus des animateurs-producteurs sont pointés du doigt, le climat – déjà tendu – risque de se détériorer fortement à France Télévisions. D’autant que l’inquiétude et la grogne montent du côté des personnels qu’inquiète une restructuration interne prévoyant notamment le non renouvellement d’environ 900 postes au sein de la nouvelle entreprise unique.
Alors que Patrick de Carolis a impulsé un plan d’économies drastiques, la mise à jour de marges indécentes dans les contrats des animateur-producteurs, comme Michel Drucker, Patrick Sébastien et Jean-Luc Delarue serait du plus mauvais effet, notamment à l’Elysée. Et pourrait valoir sa tête au président du groupe."....
Juste une indispensable "précision" qui prendra ici toute son importance, de quel plan d’économies drastiques est-il question ????? En tout cas pas celui lié au fonctionnement du holding dont les dépenses n'ont fait qu'augmenter année après année sous Carolis et ce de façon exponentielle!
C'est ainsi que fin 2005, 1ère année d'exercice pour Carolis, rien que les frais de personnels du holding représentaient pour 136 personnes (dont les plus gros salaires) une masse salariale de 9,092 millions d’euros pour 10,216 millions d’euros avec 152 personnes en 2006 augmentant quasiment de 50% en 2007 avec près de 15M€...les chiffres 2008 ne feront pas mentir les précédents...Qui parle donc d'économies drastiques ????
Il faudra donc ajouter au rapport de la Cour des comptes mettant en avant "les marges indécentes dans les contrats des animateur-producteurs", de tels chiffres reflet d'une gestion plus qu'incertaine que la CGC Médias n'a cessé de dénoncer.
samedi 9 mai 2009
Carolis-Duhamel bientôt auditionnés par la Cour des comptes.
La Cour des comptes auditionnera Patrick de Carolis et Patrice Duhamel au sujet d'un point qui intéresse particulièrement les magistrats : les rémunérations des animateurs-producteurs du groupe « France Télévisions ».
Le fameux binome ira vraisemblablement expliquer à cette audition que des mesures ont été prises depuis plusieurs mois avec la mise en place d'audits sur l'ensemble des contrats des animateurs-producteurs en question et que de surcroît c'est avec les recommandations du rapport à venir de la Cour qu'il va falloir travailler.
Des audits sur l'ensemble des contrats des animateurs/producteurs depuis plusieurs mois, voila qui devrait convaincre la Cour des comptes alors que Patrick de Carolis et Patrice Duhamel sévissent depuis 4 ans déjà!
Quant au "on attend le rapport avec impatience pour pouvoir aller plus loin", les magistrats ne pourront être que flattés, c'est évident!
Il semble qu'à l'Elysée comme à Matignon, on attende avec intérêt les conclusions de la Cour, qui seront normalement rendues à la fin de juin.
Mais qui peut dire tout ce qui va se passer d'ici là après l'échec flagrant des 2 mois de stériles et vaines réunions mascarades prévus par l'article 87 de la loi audiovisuelle du 5 mars 2009 auxquelles la CGT n'a rien pu changer?
Aux oubliettes le calendrier Caroliséen avec ses soi-disant 15 mois maximum qu'au bout du compte la CGT et FO restent seules à défendre. L'accès de colère de René Maisonneuve qui voulait au minimum aboutir à un texte bateau de 2 lignes visant à constater justement le désaccord global, jeudi 7 mai, soit 2 mois et 2 jours après la promulgation de la loi au Journal Officiel, n'y aura rien changé.
Et surout pas le tract en date du 5 mai 2009 de la CGT allant à l'évidnece dans le sens de la directio, raillant la CGC (qui en total désaccord avec le syndicat, a l'habitude) qui n'aurait pas compris les enjeux (ben, voyons!) comme la CFDT à ses côtés dans une même plainte mais aussi le SNJ "qui évite[rait] opportunément les foudres de la Justice ayant laissé soigneusement ses petits amis [CGC donc et CFDT] monter au créneau pour une noble cause".
Il n'est pas inutile de rappeler au niveau de ce genre d'élucubrations de bas étages flanquées de caricatures sensées évoquer quelque chose dont la CGT raffole, les écrits de l'ex Administrateur CFDT du C.A de France Télévisions Yves Loiseau publiés le 12 mars 2008 intitulés : "De Carolis et la CGT s'embrassent sur la bouche".
Il est d'ailleurs intéressant de constater que ce tract est daté du 5 mai, date où normalement le TGI devait rendre son jugement dans l'assignation commune CGC et CFDT contre France Télévisions [donc uniquement ces 3 parties et elles seules à être dans la procédure]. Seulement voila, lorsque l'avocat des 2 syndicats s'est rendu au Tribunal, le 5 mai donc, les greffes n'ont pu lui faire part du jugement, il n'était pas encore signé par la présidente. Ce n'est que le 6 mai que le jugement était consultable.Il ne restait donc à cette date que l'avocat de France Télévisions pour y avoir accès ...en aucun cas la CGT n'en avait la possibilité.
La question est donc sur toutes les lèvres, comment la CGT peut-elle annoncer dans un tract une décision de Justice qui n'est pas encore rendue et dans tous les cas, dont seule la direction de France Télévisions avait pu avoir connaissance ?
Tout ceci constitue à n'en pas douter, une nouvelle claque pour Carolis, Duhamel, Maisonneuve et ses derniers soutiens qui non content d'avoir prétendu à la Presse que "l'entreprise unique était en marche" (cette bonne blague) avaient juré -croix de bois, croix de fer, si j'mens...- que "le processus de basculement de la structure précédente à la nouvelle structure était engagé" (tu parles! Pas une avancée alors que le 3ème mois est bien entamé).
Le fameux binome ira vraisemblablement expliquer à cette audition que des mesures ont été prises depuis plusieurs mois avec la mise en place d'audits sur l'ensemble des contrats des animateurs-producteurs en question et que de surcroît c'est avec les recommandations du rapport à venir de la Cour qu'il va falloir travailler.
Des audits sur l'ensemble des contrats des animateurs/producteurs depuis plusieurs mois, voila qui devrait convaincre la Cour des comptes alors que Patrick de Carolis et Patrice Duhamel sévissent depuis 4 ans déjà!
Quant au "on attend le rapport avec impatience pour pouvoir aller plus loin", les magistrats ne pourront être que flattés, c'est évident!
Il semble qu'à l'Elysée comme à Matignon, on attende avec intérêt les conclusions de la Cour, qui seront normalement rendues à la fin de juin.
Mais qui peut dire tout ce qui va se passer d'ici là après l'échec flagrant des 2 mois de stériles et vaines réunions mascarades prévus par l'article 87 de la loi audiovisuelle du 5 mars 2009 auxquelles la CGT n'a rien pu changer?
Aux oubliettes le calendrier Caroliséen avec ses soi-disant 15 mois maximum qu'au bout du compte la CGT et FO restent seules à défendre. L'accès de colère de René Maisonneuve qui voulait au minimum aboutir à un texte bateau de 2 lignes visant à constater justement le désaccord global, jeudi 7 mai, soit 2 mois et 2 jours après la promulgation de la loi au Journal Officiel, n'y aura rien changé.
Et surout pas le tract en date du 5 mai 2009 de la CGT allant à l'évidnece dans le sens de la directio, raillant la CGC (qui en total désaccord avec le syndicat, a l'habitude) qui n'aurait pas compris les enjeux (ben, voyons!) comme la CFDT à ses côtés dans une même plainte mais aussi le SNJ "qui évite[rait] opportunément les foudres de la Justice ayant laissé soigneusement ses petits amis [CGC donc et CFDT] monter au créneau pour une noble cause".
Il n'est pas inutile de rappeler au niveau de ce genre d'élucubrations de bas étages flanquées de caricatures sensées évoquer quelque chose dont la CGT raffole, les écrits de l'ex Administrateur CFDT du C.A de France Télévisions Yves Loiseau publiés le 12 mars 2008 intitulés : "De Carolis et la CGT s'embrassent sur la bouche".
Il est d'ailleurs intéressant de constater que ce tract est daté du 5 mai, date où normalement le TGI devait rendre son jugement dans l'assignation commune CGC et CFDT contre France Télévisions [donc uniquement ces 3 parties et elles seules à être dans la procédure]. Seulement voila, lorsque l'avocat des 2 syndicats s'est rendu au Tribunal, le 5 mai donc, les greffes n'ont pu lui faire part du jugement, il n'était pas encore signé par la présidente. Ce n'est que le 6 mai que le jugement était consultable.Il ne restait donc à cette date que l'avocat de France Télévisions pour y avoir accès ...en aucun cas la CGT n'en avait la possibilité.
La question est donc sur toutes les lèvres, comment la CGT peut-elle annoncer dans un tract une décision de Justice qui n'est pas encore rendue et dans tous les cas, dont seule la direction de France Télévisions avait pu avoir connaissance ?
Tout ceci constitue à n'en pas douter, une nouvelle claque pour Carolis, Duhamel, Maisonneuve et ses derniers soutiens qui non content d'avoir prétendu à la Presse que "l'entreprise unique était en marche" (cette bonne blague) avaient juré -croix de bois, croix de fer, si j'mens...- que "le processus de basculement de la structure précédente à la nouvelle structure était engagé" (tu parles! Pas une avancée alors que le 3ème mois est bien entamé).
jeudi 7 mai 2009
CE unique à Radio France ? Bien sûr que NON ! La direction du travail a tranché: 9 CE distincts
CE unique ? Bien sûr que NON !
Malgré une campagne de désinformation et des attaques sans précédents contre la CGC Radio France, il convenait d'attendre sereinement la décision de la Direction Départementale du Travail et de l’Emploi (DDTE) pour réagir...
Eh bien voilà ! La DDTE a rejoint la CGC Radio France dans son analyse, en maintenant les CE régionaux comme demandé, tant par écrit que de vive voix… et comme cela a toujours été clamé par le syndicat.
Alors que reste-t-il des attaques de la Direction de Radio France et de certains syndicats, qui se sont lamentablement engouffrés dans ses arguments, complices de la manipulation orchestrée par la DRH, en tombant naïvement dans ce piège grossier ?
RIEN ! Si ce n’est une frayeur inutile disséminée dans les régions, auprès des secrétaires des CE régionaux et des élu(e)s, si inquiet(e)s pour leurs mandats et leurs protections… qui accusaient d’avance la CGC Radio France d'hypothétiques maux, persuadés que les effets seraient de mettre au chômage les unes… et supprimer les mandats électifs des autres. Tout par pure diabolisation.....
RIEN donc !? A part une haine savamment entretenue !
Que n’avons-nous lu et entendu…menaces, des insultes, des anathèmes… florilège :
SUD : « CE unique, la honte » « la belle unanimité syndicale n’aura pas duré, la CFTC ( ? ) et la CGC ont décidé de laisser la direction casser l’organisation des instances représentatives du personnel ! … »
CFDT : « Comment ne pas penser aux secrétaires administratives des C.E qui ont peur pour leur emploi ? » « Comment pourrons-nous être aussi efficaces en passant de 140 élu-e-s à 40 élu-e-s ?... »
CGT : « Mais nous savons que, faute d’accord unanime, la DDTE statuera pour un seul CE pour tout Radio France… »
SNJ : « Une autre organisation syndicale (c’est nous !) paraît décidée à provoquer une confrontation devant la Direction départementale du Travail (avec le risque d’un CE unique de 18 élus pour les 4600 salariés de Radio France)… »
Quant aux courriels insultants reçus par le syndicat et autres motions apocalyptiques des CE en régions, ils sont soit du même tonneau soit beaucoup plus violents !
Toutes ces réactions alarmistes ayant été attisées par les écrits et les paroles de la Direction de Radio France qui jura la main sur le cœur qu’elle ne souhaitait pas le CE unique… mais s’empressait d’envoyer un courrier « TGV » à la DDTE, expliquant très précisément que toutes les décisions (dont les embauches) sont prises au siège de Paris, comprenez : « Nous vous signalons clairement que Radio France, c’est un seul établissement ! »
Il est donc utile de rappeler tout de même que, si le protocole d’accord préélectoral n'a pas unanimement été signé, c’est parce que la composition des collèges (Cadres, notamment) ne correspond pas à notre statut d’organisation catégorielle ! Et rien d’autre !!
Par voie de tract, la CGC Radio France a souhaité remercier ses collègues de la CFTC et de FO qui ne se sont pas abaissés à rentrer dans le jeu manipulateur de la DRH et appelé les salariés lors des prochaines élections, à montrer qu'ils ne sont pas laissés impressionner par les gesticulations de la Direction !
Une crainte cependant se fait jour, que l’intersyndicale qui s’est naturellement mise en place autour de la sauvegarde des Conventions Collectives, ne vole en éclats à l’approche des élections du personnel.
La CGC Radio France gardant pleinement son sang froid ne fera rien pour déclencher les hostilités ( pourtant, il y aurait de quoi !!) sachant que le SNPCA-CGC national dépose 2 assignations en Justice par voie de référé:
l'une justement pour faire annuler la dissolution infondée de l'AESPA,
l'autre visant à faire que France Télévisions suivant les dispositions de la loi du 5 mars 2009 respecte les obligations des chaînes ( à savoir France 2, France 3 et RFO) en appliquant de facto les Conventions Collectives.
Malgré une campagne de désinformation et des attaques sans précédents contre la CGC Radio France, il convenait d'attendre sereinement la décision de la Direction Départementale du Travail et de l’Emploi (DDTE) pour réagir...
Eh bien voilà ! La DDTE a rejoint la CGC Radio France dans son analyse, en maintenant les CE régionaux comme demandé, tant par écrit que de vive voix… et comme cela a toujours été clamé par le syndicat.
Alors que reste-t-il des attaques de la Direction de Radio France et de certains syndicats, qui se sont lamentablement engouffrés dans ses arguments, complices de la manipulation orchestrée par la DRH, en tombant naïvement dans ce piège grossier ?
RIEN ! Si ce n’est une frayeur inutile disséminée dans les régions, auprès des secrétaires des CE régionaux et des élu(e)s, si inquiet(e)s pour leurs mandats et leurs protections… qui accusaient d’avance la CGC Radio France d'hypothétiques maux, persuadés que les effets seraient de mettre au chômage les unes… et supprimer les mandats électifs des autres. Tout par pure diabolisation.....
RIEN donc !? A part une haine savamment entretenue !
Que n’avons-nous lu et entendu…menaces, des insultes, des anathèmes… florilège :
SUD : « CE unique, la honte » « la belle unanimité syndicale n’aura pas duré, la CFTC ( ? ) et la CGC ont décidé de laisser la direction casser l’organisation des instances représentatives du personnel ! … »
CFDT : « Comment ne pas penser aux secrétaires administratives des C.E qui ont peur pour leur emploi ? » « Comment pourrons-nous être aussi efficaces en passant de 140 élu-e-s à 40 élu-e-s ?... »
CGT : « Mais nous savons que, faute d’accord unanime, la DDTE statuera pour un seul CE pour tout Radio France… »
SNJ : « Une autre organisation syndicale (c’est nous !) paraît décidée à provoquer une confrontation devant la Direction départementale du Travail (avec le risque d’un CE unique de 18 élus pour les 4600 salariés de Radio France)… »
Quant aux courriels insultants reçus par le syndicat et autres motions apocalyptiques des CE en régions, ils sont soit du même tonneau soit beaucoup plus violents !
Toutes ces réactions alarmistes ayant été attisées par les écrits et les paroles de la Direction de Radio France qui jura la main sur le cœur qu’elle ne souhaitait pas le CE unique… mais s’empressait d’envoyer un courrier « TGV » à la DDTE, expliquant très précisément que toutes les décisions (dont les embauches) sont prises au siège de Paris, comprenez : « Nous vous signalons clairement que Radio France, c’est un seul établissement ! »
Il est donc utile de rappeler tout de même que, si le protocole d’accord préélectoral n'a pas unanimement été signé, c’est parce que la composition des collèges (Cadres, notamment) ne correspond pas à notre statut d’organisation catégorielle ! Et rien d’autre !!
Par voie de tract, la CGC Radio France a souhaité remercier ses collègues de la CFTC et de FO qui ne se sont pas abaissés à rentrer dans le jeu manipulateur de la DRH et appelé les salariés lors des prochaines élections, à montrer qu'ils ne sont pas laissés impressionner par les gesticulations de la Direction !
Une crainte cependant se fait jour, que l’intersyndicale qui s’est naturellement mise en place autour de la sauvegarde des Conventions Collectives, ne vole en éclats à l’approche des élections du personnel.
La CGC Radio France gardant pleinement son sang froid ne fera rien pour déclencher les hostilités ( pourtant, il y aurait de quoi !!) sachant que le SNPCA-CGC national dépose 2 assignations en Justice par voie de référé:
l'une justement pour faire annuler la dissolution infondée de l'AESPA,
l'autre visant à faire que France Télévisions suivant les dispositions de la loi du 5 mars 2009 respecte les obligations des chaînes ( à savoir France 2, France 3 et RFO) en appliquant de facto les Conventions Collectives.
lundi 4 mai 2009
M6 a fait les yeux doux à Carolis pour qu'il rejoigne la chaîne, selon Télé Loisirs
Selon Télé Loisirs qui assortit néanmoins le titre de son "confidentiel " d'un point d'interrogation: " Après la fin de son mandat à France Télévisions, Patrick de Carolis pourrait ne pas connaître une trop grande période de flottement."
"En effet, [poursuit le journal] Nicolas de Tavernost, le président de M6, lui aurait déjà fait les yeux doux et aurait proposé à l'ancien présentateur "Des racines et des ailes" de revenir à l'antenne sur M6. Pour rappel, Patrick de Carolis a déjà travaillé pour M6 puisqu'il a été le directeur de l'information de la chaîne mais également le créateur et le présentateur de "Zone Interdite"."
Le magazine télé comme la quasi totalité aujourd'hui des titres de Presse ayant totalement intégré le fait que Carolis ne fasse pas de vieux os à France Télévisions, emploie toutefois le conditionnel avec un "pourrait ne pas connaître une trop grande période de flottement".
Patrick de Carolis retrouverait ainsi C. Baldelli (déjà sur M6) fidèle bras droit et de M. Tessier débarqué donc de son poste de dégé de France 2 par P.d.C dès son arrivée en 2005 .....gageons que les deux hommes fêtent dignement leurs retrouvailles.
A moins que C. Baldelli (*) ne songe comme il y pense vraisemblablement tous les jours en se rasant, à un scénario façon "chaises musicales" ?!
Carolis laissant la place, elle est donc libre...S'étant revendiqué à maintes reprises de Nicolas Sarkozy, le mode de désignation ayant changé et son ancien patron devenu chef de l'Etat, le poste devrait en conséquence, imagine-t-il, lui revenir de droit !?
(*) [Christopher Baldelli est ancien élève de l'ENA [correction de taille, il n'est absolument pas énarque....mais n'a jamais démenti la Presse qui l'indiquait], diplômé de l'Institut d'Etudes politiques de Paris. En 1993, il participe à la mission d'information du Sénat sur la télévision éducative/La Cinquième. En août 1994, il est nommé conseiller technique chargé de la presse écrite et du régime de la publicité au cabinet de Nicolas Sarkozy, ministre du Budget, chargé du ministère de la communication. En mai 1996, il est nommé au cabinet du ministre de la Culture, Philippe Douste-Blazy, au poste de conseiller chargé du cinéma, de l'audiovisuel et de la presse. Puis il devient conseiller technique au cabinet du Premier ministre en 1997. En novembre de la même année il intègre le groupe Lagardère, en tant que directeur à la direction générale, puis directeur délégué adjoint du pôle presse quotidienne régionale. En 1999, il est nommé directeur général du quotidien régional « La Provence ». En juillet 1999, il intègre le groupe France-Télévisions en tant que directeur général délégué de France 2. Il en est remercié à l'arrivée de P.de Carolis et est nommé quelques semaines plus tard secrétaire général des programmes de M6 à compter du 5 juin 2006]
Seulement voila, Télé Loisirs prévoit bien un retour à l'antenne pour Carolis mais rien pour Baldelli! "Nicolas de Tavernost, le président de M6, a peut-être déjà fait les yeux doux à Carolis pour qu'il reparte sur M6"....le titre de presse ne dit pas ce qu'il a murmuré en revanche à l'oreille du secrétaire général des programmes de la chaîne!!!!
Une chose parait acquise c'est le départ de Carolis de France Télévisions....la question reste : quand réellement?
Quoi que l'intéressé en dise et malgré les apparences, non les choses ne se passent pas bien à France Télévisions...mais alors là, pas bien du tout. L'équipe toujours en place continue de faire comme si tout allait bien et que la réorganisation du groupe selon le calendrier Caroliséen se passait dans les temps mais il n'en est rien.
Deux mois se sont écoulés, jour pour jour depuis la promulgation de la loi le 5 mars dernier et il n'y a aucun résultat et surtout aucune avancée contrairement à ce délai légal que prévoit bien l'article 87....C'est donc dans les faits, du pur "sur place" qu'effectue quotidiennement Carolis alors qu'il communique à l'inverse à toute la Presse....Et cela sans compter une série de 3 ou 4 assignations en Justice qui doivent arriver en cascade pour venir contredire ses pseudos affirmations ou encore l'inévitable fronde sociale qui monte...qui monte.
Le sport local est finalement devenu : gagner le maximum de temps. Il serait pragmatiquement et rationnellement irresponsable de laisser une telle situation perdurer une dizaine de mois encore...
Il n'y a de toute façon plus 15 mois, encore moins 14 pas même 13....ces délais sont irréalistes, irréalisables et intenables (ils ne l'ont du reste jamais été).
"En effet, [poursuit le journal] Nicolas de Tavernost, le président de M6, lui aurait déjà fait les yeux doux et aurait proposé à l'ancien présentateur "Des racines et des ailes" de revenir à l'antenne sur M6. Pour rappel, Patrick de Carolis a déjà travaillé pour M6 puisqu'il a été le directeur de l'information de la chaîne mais également le créateur et le présentateur de "Zone Interdite"."
Le magazine télé comme la quasi totalité aujourd'hui des titres de Presse ayant totalement intégré le fait que Carolis ne fasse pas de vieux os à France Télévisions, emploie toutefois le conditionnel avec un "pourrait ne pas connaître une trop grande période de flottement".
Patrick de Carolis retrouverait ainsi C. Baldelli (déjà sur M6) fidèle bras droit et de M. Tessier débarqué donc de son poste de dégé de France 2 par P.d.C dès son arrivée en 2005 .....gageons que les deux hommes fêtent dignement leurs retrouvailles.
A moins que C. Baldelli (*) ne songe comme il y pense vraisemblablement tous les jours en se rasant, à un scénario façon "chaises musicales" ?!
Carolis laissant la place, elle est donc libre...S'étant revendiqué à maintes reprises de Nicolas Sarkozy, le mode de désignation ayant changé et son ancien patron devenu chef de l'Etat, le poste devrait en conséquence, imagine-t-il, lui revenir de droit !?
(*) [Christopher Baldelli est ancien élève de l'ENA [correction de taille, il n'est absolument pas énarque....mais n'a jamais démenti la Presse qui l'indiquait], diplômé de l'Institut d'Etudes politiques de Paris. En 1993, il participe à la mission d'information du Sénat sur la télévision éducative/La Cinquième. En août 1994, il est nommé conseiller technique chargé de la presse écrite et du régime de la publicité au cabinet de Nicolas Sarkozy, ministre du Budget, chargé du ministère de la communication. En mai 1996, il est nommé au cabinet du ministre de la Culture, Philippe Douste-Blazy, au poste de conseiller chargé du cinéma, de l'audiovisuel et de la presse. Puis il devient conseiller technique au cabinet du Premier ministre en 1997. En novembre de la même année il intègre le groupe Lagardère, en tant que directeur à la direction générale, puis directeur délégué adjoint du pôle presse quotidienne régionale. En 1999, il est nommé directeur général du quotidien régional « La Provence ». En juillet 1999, il intègre le groupe France-Télévisions en tant que directeur général délégué de France 2. Il en est remercié à l'arrivée de P.de Carolis et est nommé quelques semaines plus tard secrétaire général des programmes de M6 à compter du 5 juin 2006]
Seulement voila, Télé Loisirs prévoit bien un retour à l'antenne pour Carolis mais rien pour Baldelli! "Nicolas de Tavernost, le président de M6, a peut-être déjà fait les yeux doux à Carolis pour qu'il reparte sur M6"....le titre de presse ne dit pas ce qu'il a murmuré en revanche à l'oreille du secrétaire général des programmes de la chaîne!!!!
Une chose parait acquise c'est le départ de Carolis de France Télévisions....la question reste : quand réellement?
Quoi que l'intéressé en dise et malgré les apparences, non les choses ne se passent pas bien à France Télévisions...mais alors là, pas bien du tout. L'équipe toujours en place continue de faire comme si tout allait bien et que la réorganisation du groupe selon le calendrier Caroliséen se passait dans les temps mais il n'en est rien.
Deux mois se sont écoulés, jour pour jour depuis la promulgation de la loi le 5 mars dernier et il n'y a aucun résultat et surtout aucune avancée contrairement à ce délai légal que prévoit bien l'article 87....C'est donc dans les faits, du pur "sur place" qu'effectue quotidiennement Carolis alors qu'il communique à l'inverse à toute la Presse....Et cela sans compter une série de 3 ou 4 assignations en Justice qui doivent arriver en cascade pour venir contredire ses pseudos affirmations ou encore l'inévitable fronde sociale qui monte...qui monte.
Le sport local est finalement devenu : gagner le maximum de temps. Il serait pragmatiquement et rationnellement irresponsable de laisser une telle situation perdurer une dizaine de mois encore...
Il n'y a de toute façon plus 15 mois, encore moins 14 pas même 13....ces délais sont irréalistes, irréalisables et intenables (ils ne l'ont du reste jamais été).
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