France Télévisions
en situation de faillite agonise et les manœuvres en coulisses continuent...
objectif 2017! ...Nathalie Collin pour remplacer Pflimlin!
Les mardi 21 et mercredi 22 avril prochains, ont lieu à huis-clos les auditions des quelques noms retenus par le CSA pour prendre la tête d’une télé publique que cinq ans de mandature Pflimlin laisse en miette et tout comme Presstalis qu’il avait quitté à l’été 2010 nommé par Sarkozy, en situation de faillite.
Le jeudi 23 avril, l’instance devrait se réunir en plénière pour se prononcer.
Le vendredi 24 avril, le CSA devrait rendre public le nom du remplaçant de Pflimlin...
Nathalie Collin !...
La ficelle n'est-elle tout de même pas un peu grosse?
Nathalie Collin qui « arrivée il y a un an pour prendre la direction de la communication de La Poste, désignée de surcroît pour piloter la direction du numérique de l'établissement… » (dixit « La Lettre A ») tout comme Delphine Ernotte « ne connait rien à la télé » mais qu’importe !!!!!
Qu’importe également le gouffre financier de près de 10 millions d’euros qu’elle laissait au Nouvel Obs, le premier news magazine français avec près de 500.000 exemplaires par semaine que son fondateur Claude Perdriel avait dû brader pour éviter sa disparition, annonçant au passage le départ du tandem. Lire à ce sujet «Le Nouvel Observateur» avec ses filiales dont le site « Rue 89 » devenu un véritable gouffre financier - il avait perdu 9,8 millions d'euros en 2013 »
Laurent Joffrin actuellement directeur de la rédaction du quotidien Libération, réputé proche de François Hollande, qui certes démentirait un ticket avec Nathalie Collin pour remplacer Pflimlin à la tête de France Télévisions mais pas un poste au Conseil d’Administration…sait-on jamais !!!!!
Les mardi 21 et mercredi 22 avril prochains, ont lieu à huis-clos les auditions des quelques noms retenus par le CSA pour prendre la tête d’une télé publique que cinq ans de mandature Pflimlin laisse en miette et tout comme Presstalis qu’il avait quitté à l’été 2010 nommé par Sarkozy, en situation de faillite.
Le jeudi 23 avril, l’instance devrait se réunir en plénière pour se prononcer.
Le vendredi 24 avril, le CSA devrait rendre public le nom du remplaçant de Pflimlin...
Nathalie Collin !...
La ficelle n'est-elle tout de même pas un peu grosse?
Nathalie Collin qui « arrivée il y a un an pour prendre la direction de la communication de La Poste, désignée de surcroît pour piloter la direction du numérique de l'établissement… » (dixit « La Lettre A ») tout comme Delphine Ernotte « ne connait rien à la télé » mais qu’importe !!!!!
Qu’importe également le gouffre financier de près de 10 millions d’euros qu’elle laissait au Nouvel Obs, le premier news magazine français avec près de 500.000 exemplaires par semaine que son fondateur Claude Perdriel avait dû brader pour éviter sa disparition, annonçant au passage le départ du tandem. Lire à ce sujet «Le Nouvel Observateur» avec ses filiales dont le site « Rue 89 » devenu un véritable gouffre financier - il avait perdu 9,8 millions d'euros en 2013 »
Laurent Joffrin actuellement directeur de la rédaction du quotidien Libération, réputé proche de François Hollande, qui certes démentirait un ticket avec Nathalie Collin pour remplacer Pflimlin à la tête de France Télévisions mais pas un poste au Conseil d’Administration…sait-on jamais !!!!!
Et
puis elle est soutenue… à gauche, à gauche et encore à gauche….Fillippetti l’ex
ministre de la Culture, Laurence Engel
son ex directrice de cabinet, Aquilino Morelle son époux et ex conseiller
présidentiel de François Hollande…et Jean-Louis Missika actuel conseiller de Paris
et même à droite !
Certains l’ont même vue à l’Opéra, il y a quelques jours, en compagnie de Raymond Soubie ex-conseiller social de Nicolas Sarkozy mais aussi ex pédégé d’Altédia qui rachetait en 2001 la société JLM Conseil, dirigée par Jean-Louis Missika (*), ancien Chef du Service d'Information et de Diffusion du Premier Ministre, et ancien Directeur Général de BVA et actuel conseiller socialiste de Paris qui – le hasard fait bien les choses – conseille justement Nathalie Collin ! (voir l’article de « La lettre de l’Expansioné du 30/04/15 « NATHALIE COLLIN, directrice de la communication de La Poste, a constitué une équipe pour sa candidature… » )
Certains l’ont même vue à l’Opéra, il y a quelques jours, en compagnie de Raymond Soubie ex-conseiller social de Nicolas Sarkozy mais aussi ex pédégé d’Altédia qui rachetait en 2001 la société JLM Conseil, dirigée par Jean-Louis Missika (*), ancien Chef du Service d'Information et de Diffusion du Premier Ministre, et ancien Directeur Général de BVA et actuel conseiller socialiste de Paris qui – le hasard fait bien les choses – conseille justement Nathalie Collin ! (voir l’article de « La lettre de l’Expansioné du 30/04/15 « NATHALIE COLLIN, directrice de la communication de La Poste, a constitué une équipe pour sa candidature… » )
Le blog CGC Média dans son article du 2 avril dernier « Vincent Meslet sur le départ d'Arte, mise sur
l'élection de Nathalie Collin à France Télé, la candidate de "La
Poste" mais pas que...! » reprenait à ce sujet les quelques lignes de Jamal Henni dans
BFM Businness sur deux des soutiens de Nathalie Collin de
"La Poste" candidate pour remplacer Pflimlin à France
Télé.
Extrait:
« Selon
une source industrielle, l'équipe figurant dans le dossier de candidature de
Nathalie Collin (de la poste) est composée de:
Vincent Meslet (directeur
éditorial d'Arte, ex-directeur des programmes de France 3) et d'une responsable
de la BBC. [Si son nom n'est donné, Catherine Smadja qui a travaillé dans les
cabinets des ministres socialistes de la Culture et de la
Communication, mesdames Catherine Tasca et Catherine Trautmann,
correspond bien...ndlr]
Au fait le chèque qu’a touché Vincent Meslet, , en 2011, il y 4 ans – on parle de plusieurs centaines de milliers d’euros - à son départ de France Télévisions, après avoir occupé de 2000 à 2005 le poste de directeur adjoint des programmes de France 3 puis jusqu’à fin 2010 celui de directeur de l’unité fiction de France Télé, ne va-t-il pas lui poser un problème ?
(*) extrait du site boursier « edubourse.com » du 10 mai 2001
« Par ailleurs, Altedia vient d'acquérir 100% de la société JLM Conseil, dirigée par Jean-Louis Missika, ancien Chef du Service d'Information et de Diffusion du Premier Ministre, et ancien Directeur Général de BVA. Jean-Louis Missika et son équipe viennent renforcer les savoir-faire d'Altedia dans le domaine de la communication et d'internet. JLM Conseil a réalisé en 2000 un chiffre d'affaires de 1,1 million d'euros....
Fondée et dirigée par Raymond Soubie, Altedia regroupe 470 personnes dont 320 consultants. Cotée au Second Marché de la Bourse de Paris depuis juin 2000, Altedia a eu l'une des meilleures performances parmi les introductions de l'année 2000, et a reçu dans sa catégorie le « Prix de la meilleure introduction en Bourse 2000 » décerné par le Journal des Finances et Euronext.
Jean-Louis Missika et son équipe viennent renforcer les savoir-faire d'Altedia dans le domaine de la communication et d'internet. JLM Conseil a réalisé en 2000 un chiffre d'affaires de 1,1 million d'euros. »
Par ailleurs, le blog CGC Média a relu avec sidération le papier que Renaud Revel signait le 19 février 2014 : « Manœuvres et tripatouillages autour de la présidence de Radio France »
L’article débutait ainsi "C’est une élection à la française. Comme on les connait. Avec ses « combinazione », ses liens de consanguinité insupportables, entre politiques aux abois et responsables de médias sur le qui-vive. Avec ses manœuvres aussi. Et ses jeux de couloirs ; ses chausse-trappes et interventions en tous genres, enfin; et ses coups bas et pressions politiques."
Et d’ajouter "L’élection du prochain président de Radio France donne ainsi lieu à une bataille feutrée des plus détestables. Car l’enjeu du moment n’est pas simplement la désignation d’un nouveau patron pour la Maison ronde, mais c’est aussi, dans son prolongement, (à l’hiver 2015), la nomination du successeur de Rémy Pflimlin à la tête de France Télévisions: deux scrutins étroitement liés, totalement imbriquées, presque indissociables dans l’esprit de ceux qui tentent d’en être aujourd’hui les artificiers et chefs d’orchestre: c’est-à-dire au premier chef, Aurélie Filippetti et l’Élysée….Tous les coups semblent bons dans ce climat d’opacité absolu, l’objectif étant de flinguer tel ou tel candidat potentiellement dangereux…."
Le journaliste d’enfoncer alors le clou "C’est dans ce contexte, contrasté et affriolant, que le CSA rendra sa décision : entre le 5 et le 7 mars prochain. Et ce après avoir auditionné, à huis-clos, les six candidats en lice : Une confidentialité des auditions éminemment contestable, compte tenu de ce que je viens d’écrire plus haut. Comment en effet ne pas s’interroger, demain, sur les conditions de la nomination de telle ou tel, sachant que personne n’aura pu juger sur pièces des qualités de la personnalité désignée? Le CSA, qui a beaucoup à perdre dans cette élection, aura sans doute à cœur de marquer à la fois son territoire et son indépendance. Car une chose est certaine : Quelle que soit sa décision, celle-ci sera examinée et décryptée à la loupe. Et à l’aune des pressions amicales et autres interventions, dont chacun de ses membres aura fait forcément l’objet....
Un CSA sous surveillance : car tout soupçon de faiblesse de sa part l’entachera durablement. Tout soupçon de connivence, supposée, avec tel ou tel, au plus haut niveau de l’Etat, serait désastreux pour ce Conseil que préside aujourd’hui Olivier Schrameck… "
Chacun connait la suite…Peu de temps après l’article, Mathieu Gallet a été désigné par le CSA à la tête de Radio France : le vert pédégé essuie une des grèves les plus longues de Radio France sinon la plus longue (un mois au total), les révélations du « Canard enchaîné » se succèdent, la confiance est définitivement rompue entre le personnel et le président, quant au CSA qui l’a nommé quelques mois auparavant, il demande un médiateur !
Un an plus tard, les contribuables français à qui France Télévisions coûte pas loin de 3 milliards d’euros par an, vont-ils connaître un scénario à la Radio France ?
Une question se pose….la seule du reste! Celle que la CFDT Média avec l’envoi de sa lettre ouverte au CSA en date du 20 mars 2015 a clairement énoncée : Ca va durer encore longtemps et France Télé dans tout ça ????
Les jeux politiques, les « manœuvres et tripatouillages », les non-dits avec 2017 en ligne de mire, les 10.000 et quelques salariés de France Télé, ils en ont la nausée.
Ils veulent pour tenter de sauver ce qui reste de l’entreprise, quelqu’un qui a "De l’expérience, des références dans le métier, le sens de l’intérêt général, la volonté de réformer dans un souci d’honnêteté et d’équité pour la société et ses salariés, l’enthousiasme pour la création, la loyauté et la bienveillance humaniste et par-dessus tout l’indépendance. » ....
Au fait le chèque qu’a touché Vincent Meslet, , en 2011, il y 4 ans – on parle de plusieurs centaines de milliers d’euros - à son départ de France Télévisions, après avoir occupé de 2000 à 2005 le poste de directeur adjoint des programmes de France 3 puis jusqu’à fin 2010 celui de directeur de l’unité fiction de France Télé, ne va-t-il pas lui poser un problème ?
(*) extrait du site boursier « edubourse.com » du 10 mai 2001
« Par ailleurs, Altedia vient d'acquérir 100% de la société JLM Conseil, dirigée par Jean-Louis Missika, ancien Chef du Service d'Information et de Diffusion du Premier Ministre, et ancien Directeur Général de BVA. Jean-Louis Missika et son équipe viennent renforcer les savoir-faire d'Altedia dans le domaine de la communication et d'internet. JLM Conseil a réalisé en 2000 un chiffre d'affaires de 1,1 million d'euros....
Fondée et dirigée par Raymond Soubie, Altedia regroupe 470 personnes dont 320 consultants. Cotée au Second Marché de la Bourse de Paris depuis juin 2000, Altedia a eu l'une des meilleures performances parmi les introductions de l'année 2000, et a reçu dans sa catégorie le « Prix de la meilleure introduction en Bourse 2000 » décerné par le Journal des Finances et Euronext.
Jean-Louis Missika et son équipe viennent renforcer les savoir-faire d'Altedia dans le domaine de la communication et d'internet. JLM Conseil a réalisé en 2000 un chiffre d'affaires de 1,1 million d'euros. »
Par ailleurs, le blog CGC Média a relu avec sidération le papier que Renaud Revel signait le 19 février 2014 : « Manœuvres et tripatouillages autour de la présidence de Radio France »
L’article débutait ainsi "C’est une élection à la française. Comme on les connait. Avec ses « combinazione », ses liens de consanguinité insupportables, entre politiques aux abois et responsables de médias sur le qui-vive. Avec ses manœuvres aussi. Et ses jeux de couloirs ; ses chausse-trappes et interventions en tous genres, enfin; et ses coups bas et pressions politiques."
Et d’ajouter "L’élection du prochain président de Radio France donne ainsi lieu à une bataille feutrée des plus détestables. Car l’enjeu du moment n’est pas simplement la désignation d’un nouveau patron pour la Maison ronde, mais c’est aussi, dans son prolongement, (à l’hiver 2015), la nomination du successeur de Rémy Pflimlin à la tête de France Télévisions: deux scrutins étroitement liés, totalement imbriquées, presque indissociables dans l’esprit de ceux qui tentent d’en être aujourd’hui les artificiers et chefs d’orchestre: c’est-à-dire au premier chef, Aurélie Filippetti et l’Élysée….Tous les coups semblent bons dans ce climat d’opacité absolu, l’objectif étant de flinguer tel ou tel candidat potentiellement dangereux…."
Le journaliste d’enfoncer alors le clou "C’est dans ce contexte, contrasté et affriolant, que le CSA rendra sa décision : entre le 5 et le 7 mars prochain. Et ce après avoir auditionné, à huis-clos, les six candidats en lice : Une confidentialité des auditions éminemment contestable, compte tenu de ce que je viens d’écrire plus haut. Comment en effet ne pas s’interroger, demain, sur les conditions de la nomination de telle ou tel, sachant que personne n’aura pu juger sur pièces des qualités de la personnalité désignée? Le CSA, qui a beaucoup à perdre dans cette élection, aura sans doute à cœur de marquer à la fois son territoire et son indépendance. Car une chose est certaine : Quelle que soit sa décision, celle-ci sera examinée et décryptée à la loupe. Et à l’aune des pressions amicales et autres interventions, dont chacun de ses membres aura fait forcément l’objet....
Un CSA sous surveillance : car tout soupçon de faiblesse de sa part l’entachera durablement. Tout soupçon de connivence, supposée, avec tel ou tel, au plus haut niveau de l’Etat, serait désastreux pour ce Conseil que préside aujourd’hui Olivier Schrameck… "
Chacun connait la suite…Peu de temps après l’article, Mathieu Gallet a été désigné par le CSA à la tête de Radio France : le vert pédégé essuie une des grèves les plus longues de Radio France sinon la plus longue (un mois au total), les révélations du « Canard enchaîné » se succèdent, la confiance est définitivement rompue entre le personnel et le président, quant au CSA qui l’a nommé quelques mois auparavant, il demande un médiateur !
Un an plus tard, les contribuables français à qui France Télévisions coûte pas loin de 3 milliards d’euros par an, vont-ils connaître un scénario à la Radio France ?
Une question se pose….la seule du reste! Celle que la CFDT Média avec l’envoi de sa lettre ouverte au CSA en date du 20 mars 2015 a clairement énoncée : Ca va durer encore longtemps et France Télé dans tout ça ????
Les jeux politiques, les « manœuvres et tripatouillages », les non-dits avec 2017 en ligne de mire, les 10.000 et quelques salariés de France Télé, ils en ont la nausée.
Ils veulent pour tenter de sauver ce qui reste de l’entreprise, quelqu’un qui a "De l’expérience, des références dans le métier, le sens de l’intérêt général, la volonté de réformer dans un souci d’honnêteté et d’équité pour la société et ses salariés, l’enthousiasme pour la création, la loyauté et la bienveillance humaniste et par-dessus tout l’indépendance. »