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samedi 21 décembre 2024

Il faut interdire TikTok et X en Europe comme certains pays le font déjà….sinon il ne restera plus grand-chose de nos démocraties.

Il faut interdire  TikTok et X en Europe comme certains pays le font déjà….sinon il ne restera plus grand-chose de nos démocraties.

Au moment où survenait le terrible drame en Allemagne de cette voiture lancée dans la foule d’un marché de Noël¸ Elon Musk créait le malaise en twittant « Seule l’AfD peut sauver l’Allemagne. » Si ce n’est pas de l’ingérence, qu’est-ce que c’est ?

En pleine campagne pour les élections anticipées de février, chacun imagine les ravages qu’une telle adresse peur produire. « Nous n’en tenons pas compte, nous ne portons pas de jugement », a déclaré une porte-parole du gouvernement Christiane Hoffmann lors d’une conférence de presse régulière qui s’est dit  « inquiet concernant le développement de la plateforme X et ce qui s’y passe ».

Il n’est pas le seul en Europe et chacun voit le mal que cela peut faire. La Paix s’est bâtie en Europe après deux guerres mondiales dans les conditions que chacun connait  et que personne ne souhaite voir revenir. Certains ont-ils perdu la tête ou la mémoire et pensent-t-il que des régimes totalitaires pourraient apporter joies, prospérité et bonheur ?

Le number one américain a même exhorté le chancelier allemand Olaf Scholz à démissionner à la suite de cette attaque sur un marché de Noël de la ville de Magdebourg dans l’est du pays. De quoi je me mêle ? Musk a publié la déclaration sur les réseaux sociaux, qualifiant Scholz d’« idiot incompétent ».

Si les dirigeants européens ne réagissent pas très vite, il sera trop tard…Espérons qu’il ne le soit pas déjà. On cherche des moyens efficaces de lutter contre le désinformation, l'envoi massif de fausses nouvelles et la manipulation...on a  là une bonne partie de la solution: supprimer  l'accès à ces plateformes nocives. 

Il ne faut pas attendre à l’instar du Red Star qui a récemment annoncé son retrait du réseau social X, justifiant sa décision en déplorant une "dérégularisation totale de la plateforme, transformant X en un écosystème dédié à la prolifération de contenus toxiques… Une "plateforme désormais de plus en plus utilisée pour amplifier des discours haineux et polarisants, jouant ainsi un rôle clé dans la manipulation de l'opinion publique" que le club ne souhaite pas  cautionner.

Ce n’est pas les uns derrière les autres qu’il faut agir, ça prendrait trop de temps. C’est maintenant qu’il faut que les gouvernements interdisent ces vecteurs de haine.



vendredi 20 décembre 2024

Comment Sylvie Gengoul et évidemment Ernotte peuvent-elles encore être en poste après le jugement rendu suite au suicide de Gérard Guillaume ?

Comment Sylvie Gengoul et évidemment Ernotte peuvent-elles encore être en poste après le jugement rendu suite au suicide de Gérard Guillaume ?

Après le jugement rendu par un juge départiteur donc un magistrat professionnel s’agissant de la saisine faite par les deux enfants de Gerard Guillaume - leur père s’étant suicidé – il est clair que Gengoul et deux de ses thuriféraires (voir la page d’ouverture du blog CGC Média) doivent être débarqués sur le champ pour faute lourde et sans indemnités, à la lecture des attendus.

Le site Bondamanjak qui en publiait hier quelques lignes, via un courrier qu’il adressait à ces derniers Marvin et Denzel, titre tout simplement « GÉRARD GUILLAUME A GAGNÉ !!! » et met en lumière sans conteste :

« Ce jeudi 19 décembre 2024, le Conseil de prud’hommes de Paris a fait droit à la quasi intégralité des demandes des avocats de Gérard Guillaume dans l’affaire qui opposait le réalisateur originaire de Martinique à France Télévisions » indique le titre de presse qui ajoute « Nous publions ici un extrait de mail qui signifie clairement que l’honneur de GG est lavé. En sus France Télévisions a été financièrement sévèrement condamné. » 


Selon nos informations, le processus pénal se poursuit ...

(*)





Comment Sibyle Veil peut-elle se laisser dicter sa conduite par Ernotte ? Réveillez-vous madame !

Comment Sibyle Veil peut-elle se laisser dicter sa conduite par Ernotte ? Réveillez-vous madame !

Il y a eu récemment l’affaire « Jésus et Gabriel » du nom de cette agence proche de la Macronie avec qui Ernotte a contracté quasiment depuis son parachutage à l’été 2015. (*)

Le blog CGC Média a d’abord révélé, début octobre, dans son article « Un million et demi pour la campagne d’ICI ? Quand Ernotte en appelle encore très chèrement, à Jésus mais aussi Gabriel ! », le montant de la p’tite note présentée à Radio France par l’ex-Orange visant à promouvoir l’effacement du nom de France 3 des antennes régionales.

Bilan estimé de la répartition pour la campagne :  Radio France 1M€ et France Télés seulement 500.000€…pourquoi ? Parce que l’ex-Orange l'a dit ?!

La Lettre toujours à la pointe dans le domaine, écrivait « Alors que le coup d'envoi de la marque ICI, commune à Radio France et France télévisions, doit avoir lieu début novembre, les relations entre les deux groupes audiovisuels publics restent émaillées de tensions.

Dernier dommage collatéral en date de cette mésententela conférence de presse, qui devait précéder la vaste campagne de communication pour lancer le nouveau média, a été reportée.

Intitulée "Territoires" et programmée le 15 octobre, elle avait pour têtes d'affiche Delphine Ernotte Cunci, Sylvie Gengoul (directrice du pôle outre-mer)et Philippe Martinetti (directeur délégué des antennes et des programmes, chargé de l'offre régionale de France 3).

Pourtant, cinq jours avant la date prévue, la communication de France Télévisions a ajourné l'événement, en invoquant des "problèmes d'agenda" pour Delphine Ernotte Cunci…. »

Ce mercredi Le Canard enchaîné en remet une bonne couche (¤)

Dans un article signé Christophe Nobili « Radio France-France Télés, une fusion qui ne dit pas son nom mais qui exploite des sous-traitants payés au lance-pierre » (¤), le journal satirique informe tout un chacun de la procédure judiciaire lancée par des syndicats de Radio France qui veulent arrêter cette ridicule perte d’identité mais surtout les lamentables diktats de l’ex-Orange qui ne respecte rien et distille son baratin à longueur de temps.

(¤)

« Radio France-France Télés, une fusion qui ne dit pas son nom mais qui exploite des sous-traitants payés au lance-pierre. Celui ou celle qui s’oppose à cette union parle ou se taise à jamais.

Ce mardi 17, les élus du personnel de Radio France ont donné de la voix devant le tribunal judiciaire de Paris. Le juge des référés examinait leur recours contre le changement de marque du réseau France Bleu, appelé à devenir “Ici’’ en janvier. Une nouvelle bannière que les stations locales partagent déjà, en partie, chaque matin avec les chaînes de France 3.

“Ici’’, tout est permis A l’heure où «Le Canard » bouclait, la castagne au tribunal promettait d’être aussi belle que le faire-part de mariage. Depuis que l’audiovisuel public s’est lancé dans une fusion radio-télé qui ne dit pas son nom, Radio France et France Télévisions ont tendance à aller un peu vite.

Pour lancer “Ici’’ aucune étude d’impact sérieuse ni aucune expertise sur les changements éditoriaux et les conditions de travail n’ont été présentées aux comités sociaux et économiques (CSE), qui exigent désormais une vraie information-consultation.

Elle permettrait notamment d’aborder un sujet brûlant. Dans 37 régions sur 44, France Bleu et France 3 partagent aujourd’hui des matinales filmées, baptisées «Ici matin ». Pour mettre en musique leur «information de proximité » et permettre aux émissions de radio d’être diffusées en direct à la télé, les deux groupes publics ont lancé des investissements et des travaux maousses.

Mais ils ont ensuite fait appel à un sous-traitant privé, Edenpress, pour employer des journalistes à moindres frais. Cette agence de presse, basée à Malakoff, emploie dans les 37 régions un journaliste low cost appelé «éditeur visuel ». Un nom inventé par Radio France pour des forçats chargés d’accomplir seuls le boulot d’au moins trois personnes.. Arrivée chaque matin dès 4 heures dans les studios de France Bleu pour confectionner la matinale : l’éditeur visuel épluche le conducteur, rédige les titres, les brèves et les bandeaux défilants, prépare les illustrations, collecte auprès de France 3 les reportages de la veille, vérifie les droits à l’image, recherche les photos... ouf !

Et, à 6 h 30, c’est parti pour deux heures et demie de direct : l’éditeur visuel est au four et au moulin en régie, il gère les cinq caméras du studio, les micros qui les déclenchent, envoie les pubs, balance la musique... Réalisateur, chef d’édition, assistant d’édition, il est partout ! Et ce, cinq jours par semaine, pour le salaire royal de 2 400 euros net par mois. Mais attention : seulement pendant dix mois.

Edenpress emploie en effet ses journalistes sous le régime des «contrats de grille », les fameux contrats à durée déterminée d’usage (CDDU). Une joyeuseté de l’audiovisuel : en juillet-août, c’est relâche, France Travail prend le relais et allonge un salaire riquiqui.

Pour Radio France, c’est le moyen de contourner l’interdiction d’embaucher des journalistes en CDDU.

Pour Edenpress, le partenariat n’est pas désagréable non plus l’agence encaisse 90.000 euros par région et par an pour ses services, selon les syndicats (elle n’a pas répondu au «Canard »). Saisie par celui des journalistes, le SN.J, à Radio France et par FO à France Télés, l’Inspection du travail enquête depuis plusieurs mois sur ce paradis Edenpress, une boîte qui refuse toute élection et représentation du personnel.

Les syndicats tentent aussi d’y mettre un pied pour parler primes de nuit, Médecine du travail, risques psychosociaux, etc. Mieux: les deux syndicats envisagent des poursuites contre Radio France pour «délit de marchandage » depuis que BFMTV a été condamnée, cette année, pour avoir embauché une journaliste au rabais via une agence de presse extérieure.

Les éditeurs visuels d’«Ici matin » ont «tous les attributs de journalistes de Radio France »% peste une élue du groupe : «Ils y bossent, c’est leur outil de travail et leur seul employeur mais ils ont une fiche de paie et un salaire Edenpress ! » Une nouvelle audience devant le tribunal.. et cette histoire d’amour va vraiment mal finir. »

Quand allez-vous arrêter madame Veil arrêter Ernotte de parler, décider et communiquer pour vous et dire NON à tous ces bobards qui s’accumulent du 1er janvier au 31 décembre, à commencer par ces soi-disant résultats à l’équilibre qui depuis 10 ans ne sont qu’un leurre ?

jeudi 19 décembre 2024

"Unis pour Mayotte" et c'est encore Mediawan qui s'y colle.

"Unis pour Mayotte" et c'est encore Mediawan qui s'y colle. 

Mardi 17 décembre, le jour du communiqué où Ernotte pleurait misère et annonçait la veille que le Conseil d'Administration avait voté un déficit et un emprunt, alors même qu'il ne se réunissait que 2 jours plus tard, France 2 annonçait bouleverser sa grille des programmes pour diffuser "Unis pour Mayotte", une soirée spéciale visant à venir en aide aux sinistrés de l'île département français touchée par le cyclone Chido. 

L'émission a réuni  6,8% du public (3,1% des 25-49 ans et 3,1% des femmes responsables des achats de moins de cinquante ans (FRDA-50) soit à peine plus peu plus du million de téléspectateurs. A part la bourde de François Bayrou, recadré par Nagui quelque peu choqué.

« C’est une population qui, du point de vue des papiers, est illégale mais ce sont des hommes et des femmes », a affirmé le Premier ministre à qui l'animateur a demandé du tac au tac  « Est-ce que c’est le sujet aujourd’hui de savoir si c’est légal ou pas légal ? », avant qu'il ne réponde « Justement, non ».

"Bravo aux équipes d'Electron Libre et de FTV" dit le texte...pourtant les personnels de La Fabrique à France Télévisions qui auraient sûrement aimé participer à cette soirée spéciale pour les mahorais, n’ont pas été sollicités. 

Comme d’habitude et encore très récemment, c’est "Électron libre" la filiale de Mediawan  qui s'est retrouvé à la manœuvre après avoir très vite signé le contrat avec l’ex-Orange pour ce faire !

Hallucinant.. comme l'est d'ailleurs le classement d'Ecran Total qui écrit "Avec plus de 1260 heures produites cette saison, france.tv studio est à nouveau en tête de sociétés de production de flux, devant Endemol et H2O Productions et se place 3ème du classement des groupes derrière Banijay France et Mediawan"...Autrement dit, les quasi actionnaires du groupe de télés pourtant public et propriété de l'État à 100% donc des Français 



Un budget insincère peut-il constituer un faux en écriture publique ? La question va se poser avec le vote d’un budget déficitaire qui a eu lieu hier à France Télés.

Un budget insincère peut-il constituer un faux en écriture publique ? La question va se poser avec le vote d’un budget déficitaire  qui a eu lieu hier à France Télés.

Le communiqué mis en ligne le 16 décembre sur le site de France Télévisions (*), concernant la séance du CA qui n’interviendra que 2 jours plus tard, ainsi rédigé "Pour la première fois depuis neuf ans, le Conseil d’Administration de France Télévisions, réuni ce mercredi 18 décembre 2024, a approuvé un budget 2025 en déficit. Il est le premier exercice budgétaire du mandat de Delphine Ernotte Cunci, à présenter une perte d'exploitation, liée à une baisse des concours publics et une diminution des recettes publicitaires", en est le premier élément et consacre visiblement la préméditation.

 (*)

Sur le fond, comme le blog CGC Média l’a expliqué dans ses dernières publications, ce soi-disant déficit de 86M€ lié à une baisse des concours publics (dixit Ernotte) n’a rien à voir avec la réalité.

Rappel 

Même en prenant en compte les économies qui étaient demandées par le gouvernement pour l’Audiovisuel public  (35M€  pour France Télévisions) comment peut-on déclarer un déficit de quasiment 2,5 fois ce montant avec 86M€ ?

Venir raconter aujourd’hui que ce déficit serait dû au fait que les dispositions du COM 2024-2028 avec la partie transformation  donc hypothétique et n’ayant, de toute façon, aucune existence légale – il faut quand même oser !

Passer de 35M€ à 86M€ ce n’est tout simplement pas possible quelles que soient les bobards servis aux administrateurs, sauf à avoir intégrer une bonne part de la poussière qui était sous le tapis !

Lorsqu’on vous demande de faire 35M€ d’économies, on ne peut pas raconter ensuite qu’il manque 86M€ et qu’on va, de surcroit faire un emprunt pour « absorber cette supposée baisse de 86 millions d'euros de la dotation de l'État » (dixit Ernotte). Emprunt que l’on prétend garantir avec une trésorerie dont l’ex-Orange a annoncé a ses 200 Top managers qu’elle pourrait même être négative :

« Ça ne veut pas dire que puisqu’on est en déficit, on lâche les chevaux ! On est sur un premier sujet, la trésorerie . La rigueur de gestion sera toujours là mais on a un sujet de trésorerie. 

Pour la première fois, elle risque d’être négative en fin d’année. Certes, on a des lignes de crédit mais qui ne sont pas extensibles. On risque fort de se retrouver dans un problème de cash, en plus de se retrouver dans le problème d’équilibre » (sic)

C'est donc vers une procédure judiciaire que l'on s'oriente où toutes celles et ceux qui ont permis la mise en place d'une telle pantalonnade, seront tous complices donc passibles des mêmes peines que leur auteur(e).

En effet, le faux en écriture publique commis par une personne dépositaire de l’autorité publique est un crime, au sens pénal, comme l’indique le dernier alinéa de l’article 441-4 du Code pénal :

« Le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l’autorité publique est puni de dix ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende.

« L’usage du faux mentionné à l’alinéa qui précède est puni des mêmes peines.

« Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d’amende lorsque le faux ou l’usage de faux est commis par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public agissant dans l’exercice de ses fonctions ou de sa mission.»

mercredi 18 décembre 2024

Et si Rachida Dati était la première des ministres à faire chuter François Bayrou !

Et si Rachida Dati  était la première des ministres à faire chuter François Bayrou !

Ce qui s’est passé ce matin au Conseil d’Administration de France Télévisons est grave et de surcroît pénalement répréhensible mais surtout, avait été publié le 16 décembre sur le site de France Télés, soit 2 jours avant que la séance ait eu lieu.  (*)

Le vote qui est survenu ce matin, est donc hors la loi…Pas parce qu’il a fait l’objet d’une communication au moins 36 heures avant le pseudo-vote mais surtout parce qu’il est basé sur des salades (voir les nombreuses données publiées sur le blog CGC Média "Ernotte communique aux salariés que le CA de France Télés a gobé toutes ses craques et voté un budget en déficit...Il seront évidement tous coresponsables devant la loi." 

La ministre proche de Nicolas Sarkozy, démissionnaire du gouvernement Attal puis de celui de Michel Barnier a laissé de facto, la DGMIC (La Direction Générale des Médias et des Industries Culturelles qui définit et met en œuvre et évalue la politique de l'Etat) qui dépend donc de son ministère, adopter sans broncher un budget en déficit alors même que l’État est actionnaire de l’entreprise 100% publique et que les arguments qui ont  été apportés sont totalement fallacieux, documents à l’appui (*)

Cerise sur le gâteau, l’ex-Orange est même allée jusqu’à "garantir un emprunt à court terme de deux ans d'une cinquantaine de millions d'euros auprès de l'agence France Trésor"  par la trésorerie de l'entreprise dont elle pourtant annoncé à ses 200 tops managers « qu’il n’y a plus de cash, qu’elle était à zero avec même le risque d’être négative en cette fin d’année. »

Comment garantir un prêt avec plus un fifrelin dans les caisse ?

Celles et ceux qui ont permis ce délit – c’est bien de cela dont il est question – auront tous à en répondre devant la Justice car c’est bien du Pénal dont il sera question.

Le fait que son nom figure bien dans la liste des 27 noms de ministres en plus de celui du Premier ministre - le document circulant de façon très confidentielle – au poste qu’elle a occupé à 2 reprises, aux côtés par exemple de François Rebsamen aux territoires ou encore de Marc Ferracci à l’Industrie, ne lui confèrera aucune immunité dans une telle procédure comme dans aucune autre d’ailleurs.

Ernotte communique aux salariés que le CA de France Télés a gobé toutes ses craques et voté un budget en déficit...Il seront évidement tous coresponsables devant la loi.

Ernotte communique aux salariés que le CA de France Télés a gobé toutes ses craques et voté un budget en déficit...Il seront évidement tous coresponsables devant la loi.

La papier de ce mercredi 18 décembre publié par le blog CGC Média "Ernotte s’apprête àmbobiner les administrateurs de France Télés avec ses habituelles fables mais là, le risque d’une saisine de Cour de Justice budgétaire bien réel." acte le fait que le vote du Conseil d'Administration de France Télés aura de très graves conséquences judiciaires et pénales pour celles et ceux quelle que soit leur charge de la Tutelle dont la DGMic fait partie, qui ont choisi de cacher la poussière sous le tapis et défié l'État avec de fausses déclarations.



L'ex-Orange a, entre autres, raconté aux administrateurs qu' "Après avoir été contrainte, d'absorber une partie, du déficit de 86M€ via la suppression notamment de 180 équivalents temps plein au sein (ETP), soit au total environ 36 millions d'euros. Le reliquat sera compensé par un emprunt à court terme de deux ans d'une cinquantaine de millions d'euros auprès de l'agence France Trésor" ajoutant "Le budget est présenté aujourd'hui au conseil d'administration Ce dernier sera garanti par la trésorerie de l'entreprise qui atteignait au 31 décembre 2023 [ll y a un an, ndlr] 100,5 millions d'euros, en baisse de 23,9 millions sur un an, selon le bilan financier du groupe. Ce dernier sera garanti par la trésorerie de l'entreprise qui atteignait au 31 décembre 2023 100,5 millions d'euros, en baisse de 23,9 millions sur un an, selon le bilan financier du groupe. Une parade qui ne pourra être utilisée qu'une seule fois"

Enorme problème tout de même, ceci n'est que pipeau "La trésorerie  est négative en cette fin d'année" comme elle l'a confirmé aux 200 Top managers lors du dernier webinaire:

« Ça ne veut pas dire que puisqu’on est en déficit, on lâche les chevaux ! On est sur un premier sujet, la trésorerie . La rigueur de gestion sera toujours mais là on a un sujet de trésorerie. 
Pour la première fois, elle risque d’être négative en fin d’année. Certes, on a des lignes de crédit mais qui ne sont pas extensibles. On risque fort de se retrouver dans un problème de cash, en plus de se retrouver dans le problème d’équilibre » (sic)

Tous ces membre de l’encadrement à qui elle envoie un nouveau mail après cette invraisemblable épisode où elle fait fois encore référence au COM 2025 qui n’existe juridiquement pas : « Alors que le Parlement vient de pérenniser par l’affectation d’une ressource spécifique, le mécanisme de financement des sociétés de audiovisuel public, le budget 2025 de France Télévisions - déficitaire donc -  sera construit de façon à ne pas mettre en péril nos missions de service public et nos objectifs stratégiques pour 2025, tels que définis dans le projet de COM  [qui n'existe pas, ndlr]»


Ernotte s’apprête à embobiner les administrateurs de France Télés avec ses habituelles fables mais là, le risque d’une saisine de Cour de Justice budgétaire bien réel.

Ernotte s’apprête à embobiner les administrateurs de France Télés avec ses habituelles fables mais là, le risque d’une saisine de Cour de Justice budgétaire bien réel.

Tout part de ce communiqué de la direction de France Télés  publié sur le site de l’entreprise le lundi 16 décembre dans l’après-midi intitulé « Approbation du budget 2025 en déficit » soit 2 jours avant que le C.A. ne se soit réuni, ainsi rédigé "Pour la première fois depuis neuf ans, le Conseil d’Administration de France Télévisions, réuni ce mercredi 18 décembre 2024, a approuvé un budget 2025 en déficit. Il est le premier exercice budgétaire du mandat de Delphine Ernotte Cunci, à présenter une perte d'exploitation, liée à une baisse des concours publics et une diminution des recettes publicitaires."

Communiqué qu’Ernotte a retiré illico presto, dès que le blog CGC Média qui en avait heureusement  fait une capture d’écran, l'a publié. (#)

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Aujourd’hui, prise la main dans le pot de confiture, « la dame du Majestic » (*) tente  vainement de corriger le tir avec des énormités toujours plus grosses

Dans La Correspondance de la presse, (#) elle accuse l’État d’un soi-disant déficit de 86M€ qu’elle n’aurait d’autre choix que de faire adopter par les administrateurs.

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"J'ai eu beau retourner dans tous les sens, je n'arrive pas à présenter un budget 2025 à l'équilibre sans toucher à nos missions de service public"a déclaré Ernotte devant bon nombre d’instances de représentation internes et plus particulièrement lors d'un comité social et économique (CSE) central extraordinaire, où elle a indiqué « devoir présenter un budget prévisionnel 2025 qui sera pour la première fois en déficit après neuf années à l'équilibre. En cause : la baisse de 86 millions d'euros de la dotation de l'Etat qui était pourtant repartie à la hausse en 2024 ».

Foutaises…Avec ces  imaginaires 86M€ de déficit, on  est plus ici dans baratin de boutiquière dont certains sont aujourd’hui juridiquement les complices, que dans la réalité des faits !

Donc en gros, puisque les COM 2024-2028 (prenant en compte le plan de transformation), n’ont pas été validés par le Parlement, Ernotte ne peut s’en prévaloir.

Autrement dit, même en prenant en compte les économies qui étaient demandées autour de 50M€ pour l’Audiovisuel public  (dont 35M€  pour France Télévisions) comment peut-on déclarer un déficit de quasiment 2,5 fois ce montant avec 86M€ ?

Il serait d’ailleurs tout à fait étonnant que l’agence française du trésor, fasse un prêt, pour couvrir ces frasques après qu'Ernotte ait mis encore une fois l’État au pied du mur, avant son départ en 2025.

Quant on vous demande de faire 35M€ d’économies, on ne peut pas raconter ensuite qu’il manque 86M€ et en plus qu’on va emprunter près de 100 millions pour « absorber la soi-disant baisse de 86 millions d'euros de la dotation de l'État » selon elle dont elle chante à qui veut l’entendre que cette dernière  « était pourtant garantie à la hausse en 2024 ».

Après les suppressions de postes en interne - bien au-delà des  150 avancées par Ernotte comme la écrit le blog CGC Média à manets reprises - La Correspondance de la Presse détaille  «  Le reliquat sera compensé par un emprunt à court terme de deux ans d'une cinquantaine de millions d'euros auprès de l'agence France Trésor.

Le budget est présenté aujourd'hui au conseil d'administration Ce dernier sera garanti par la trésorerie de l'entreprise qui atteignait au 31 décembre 2023 100,5 millions d'euros, en baisse de 23,9 millions sur un an, selon le bilan financier du groupe.. »

Ça veut bien dire que tout un tas de choses n’avaient évidemment pas été prise ne compte avant, ce qui est encore plus grave après les 32M€ d’argent public remis au pot avec la recapitalisation de France Télévisons en juin 2023.

Il est totalement aberrant vouloir la partie qui était liée au plan transformation qui n’a jamais été votée puisque remis en cause en février 2024 par l’État et venir prétendre qu’on aurait déjà tout dépensé !

Ce pseudo déficit de 86M€ est donc le fait la gestion chaotique ernottienne que les perpétuelles propagandes lancées depuis l’été 2015, ne peuvent plus masquer !

Elle ne peut pas venir raconter aujourd’hui qu’elle n’a pas l'argent du COM 2024-2028 avec la partie transformation puisque tout cel était hypothétique et de toute façon pas validé  et dire qu'en janvier 2025 ou fin 2024, elle a 86M€ millions de pertes, sauf à ressortir dans un paquet mal ficelé avant Noël des pertes cachées bien avant ! Qui plus est avec un COM qui aurait couvert la période 2024-2028ce qui tendrait à dire qu'elle en aurait déjà dépensé l'intégralité !

Enfin ce n’est pas aux salariés de payer cette incurie qui dégouline aujourd’hui de partout, lorsque l’ex-Orange déclare pout se dédouaner comme l’écrit la Correspondance de la Presse : « Contrainte, elle a affirmé pouvoir en absorber une partie, via notamment la suppression de 180 équivalents temps plein au sein (ETP), soit au total environ 36 millions d'euros. »

Ces amis de la CGT qui la soutiennent depuis la première heure il est utile de rappeler que comme FO avec qui ils sont associés ils ont voté quasiment tous ses textes même s’ils continue d’accuser encore et toujours l’État de supposés maux ernottiens  (histoire de la soulager un peu tout de même !) lui renvoient d’ailleurs comme un boomerang ses responsabilités en pleine figure. (ci-après)


NB : Si les administrateurs au Conseil d’Administration valident de telles salades, ils seront pénalement coresponsables dans la Justice de ce Pays qui devraient être saisie devant de faits graves.

(*)


mardi 17 décembre 2024

Ernotte victime du vortex temporel (**)qu’elle a, elle-même, généré !

Ernotte victime du vortex temporel (**)qu’elle a, elle-même, généré !

(**) Le vortex du temps est une faille dans le continuum espace-temps (qui peut être ouverte artificiellement) permettant à un vaisseau de voyager d'un point du temps à un autre. Le point d'arrivée dans le temps peut être ajusté et atteint avec précision.

A France Télés, c’est « Retour vers le futur ».  

(¤)

Dans la voiture à voyager dans le temps de la trilogie hollywoodienne, Ernotte dans la DeLoreanparce qu’elle le vaut bien ! – communiquait ce jour, le mardi 17 décembre 2024, sur le vote d’une réunion du C.A. qui ne se réunit pourtant que le lendemain, le 18 donc, comme le blog CGC Média l’a raconté avec la capture d’écran à l’appui (¤).

Prise en flagrant délit d’essayer de tordre le fil du temps, elle a cru adéquat de  supprimer la page du site où le compte-rendu est fait avant le vote, afin de faire croire qu’elle n’aurait jamais existé.


Ben voyons…France Télés depuis l’été 2015, n’en est pas à une manipulation près !

Hersement « la dame du Majestic » (*) pourra toujours reprogrammer très vite, une date sur son tableau de bord afin de retourner dix ans en arrière vers un futur plus téléphonique qui malheureusement laissera un continuum-temps actuel des plus dégradés, tant sur le plan financier que sur le plan social.

Niveau déplacement temporel et dans la même veine donc, le blog CGC Média ne résiste pas à vous faire découvrir l’article de Pierre-Yves Paque publié le 11 décembre dans la Libre (Belgique) « Viré il y a 5 ans, Patrick Sébastien est de retour sur France Télévisions : "Je viens d'enregistrer une émission spéciale avec Michel Drucker ».

En voici un extrait

« Blacklisté durant 5 ans de France 2, l'animateur de 71 ans nous révèle avoir enregistré un "Vivement dimanche" spécial sur ses 50 ans de carrière, hier, avec Michel Drucker.Celui celui qui publie "Le carnaval des ambitieux" va aussi lancer son "Plus petit cabaret du monde".

Pierre-Yves Paque - Publié le 11-12-2024 à 19h36

Dans son livre "Le Carnaval des ambitieux" (XO Éditions), le révélateur de talents balance des anecdotes inavouées sur quelques célébrités ou casse du sucre sur l'ex-patronne de France Télévisions, Delphine Ernotte… »

C’est cette fois-ci vers le printemps prochain que nous envoie ainsi le journaliste qui parle d’elle au passé.  

Ah ! si quelqu’un avait les clés du bolide intersidéral pour trafiquer d’ores et déjà le compteur afin de nous propulser fin août 2025 !

(*)


Énorme scandale à France Télés, ce 17 décembre le Conseil d'Administration adopte un budget en déficit un jour avant de se réunir le 18 !!

Énorme scandale à France Télés, ce 17 décembre le Conseil d'Administration adopte un budget en déficit un jour avant de se réunir le 18 !! 



Hier lundi 16 décembre 2024 à 17h, le blog CGC Média publiait dans son article "Les recherches d’économies demandées par l’État, Ernotte s’assoie dessus...Elle fait voter un budget en déficit !" la dernière propagande ernottienne qui impliquait le Conseil d'Administration de France Télés et le vote d'un budget en déficit qu'il venait d'adopter !

Ce mardi 17 décembre 2024 au matin, sur la site pro de France télés Approbation du budget 2025 | FranceTvPro.fr , chacun peut lire "Pour la première fois depuis neuf ans, le Conseil d’Administration de France Télévisions, réuni ce mercredi 18 décembre 2024, a approuvé un budget 2025 en déficit. Il est le premier exercice budgétaire du mandat de Delphine Ernotte Cunci, présidente de France Télévisions, à présenter une perte d'exploitation, liée à une baisse des concours publics et une diminution des recettes publicitaires."

TOTALEMENT HALLUCINANT ET QUI PLUS EST HORS LA LOI...le Conseil d'Administration où est représentée la Tutelle donc le gouvernement via la DGMIC (La Direction Générale des Médias et des Industries Culturelles qui définit et met en œuvre et évalue la politique de l'Etat), ne s'est pas encore réuni puisque le 18 décembre c'est demain mais pourtant Ernotte a déjà communiqué sur l'adoption d'un déficit et ce, alors que la crise financière touche de plein fouet notre Pays !

Sauf à dire que la CA de FTV n'est qu'un bureau d'enregistrement ou bien qu'il s'agit d'un faux...Comment "La dame du Majestic" (*) peut-elle écrire dès le 16/12 ou tout du moins la veille que le Conseil d’Administration de France Télévisions, s'est réuni ce mercredi 18 décembre 2024 ???

(*)