Rima Abdul-Malak devrait réserver ses premières déclarations à TF1.

Rima Abdul-Malak devrait réserver ses premières déclarations à TF1.

Le 24 mai dernier, la nouvelle ministre de la Culture montait en fin d’après-midi, les marches du 75^e Festival de Cannes – passage obligatoire s’il en est – pour la séance de L’Innocent, de Louis Garrel, projeté hors compétition dans le Grand Théâtre Lumière.

Elle en profitait pour rencontrer une quinzaine de professionnels du 7^e art, représentant les producteurs, les distributeurs, les exploitants de salles, les réalisateurs, les industries techniques, les agents, les auteurs, les scénaristes, etc… lors d’un déjeuner organisé par le Centre national du cinéma et de l’image animée et évoquer, entre autres, la difficulté à faire revenir le public au cinéma ainsi que les problèmes d’exposition des films en salle après cette période de pandémie qui a fortement impacté le secteur.

La nouvelle locataire de la rue de Valois, observant comme tous les membres du gouvernement, une période de réserve avant les élections législatives, n’a fait aucune annonce ni déclaration publique.

C’est probablement pourquoi, les différentes éditions de France Télévisions n’ont pas jugé nécessaire de faire un sujet ou reprendre quelques images sur sa déambulation cannoise…Il semble que l’anecdote étant parvenue aux oreilles de  la ministre, il n’y aura pas grande surprise à ce que cette dernière réserve ses premières déclarations à TF1. 

Les exigences de Léa Salamé ont fini par faire partir Laurent Ruquier et monter Hugo Clémént.

Les exigences de Léa Salamé ont fini par faire partir Laurent Ruquier et monter Hugo Clémént.

Dans un message posté sur Twitter, confirmant une information de Télérama, Laurent Ruquier a annoncé vendredi qu'il arrêtait de présenter le talk-show diffusé le samedi soir sur France 2 "On est en direct".

"Je confirme que demain soir, ce sera ma dernière émission du samedi soir après 17 saisons passées ensemble depuis +On n'est pas couché+ jusqu'à +On est en direct+", écrit l’animateur sur le réseau social avant d’ajouter "C'est ma décision de quitter cette case horaire, n'étant pas à l'aise dans la coanimation pour un talk-show".

Laurent Ruquier enfonce le clou "J'ai essayé, mais malgré mon entente naturelle avec Léa Salamé, je trouve l'exercice trop frustrant" et poursuit "Je souhaite bonne chance à Léa Salamé ainsi qu'à son producteur et je travaille avec France 2 sur de nouveaux projets pour la rentrée".

C’est visiblement là que le bât blesse car lorsqu’en juin 2021 Léa Salamé annonçait son arrivée dans "On est en direct" aux côtés de Laurent Ruquier, le samedi soir sur France 2, elle exigeait de venir avec son producteur. Dès lors l’émission en plus d'être produite d’ADLTV par Winter Productions, la société de Régis Lamanna-Rodat et Hugo Clément. (*)

(* extrait ses 17 pages statutaires )

C’est un autre Hugo, Hugo Manos le compagnon de Laurent Ruquier qui avait dans TPMP People, l’émission où il est chroniqueur pour Matthieu Delormeau sur C8 « qu’avec le producteur de Léa…c’était moins facile et que tout ça le soûlait un petit peu… ».

France Télés a donc choisi son camp en privilégiant son producteur-animateur chouchou dont elle écrivait ce matin sur son site « Hugo Clément sur tous les fronts »…et d’expliquer « France Télévisions se mobilise pour la Journée mondiale de l’environnement du 5 juin où Hugo Clément enquête sur les menaces qui planent sur nos cigognes, nos chardonnerets et les plus belles espèces qui vivent en France. »

France 2 et les droits de diffusion du jubilé de platine de la reine Elizabeth II.

France 2 et les droits de diffusion du jubilé de platine de la reine Elizabeth II.

C’est l’évènement de cette fin de semaine pour les Britanniques qui célèbrent les 70 ans de règne de leur monarque bien-aimée. Défilé militaire, course hippique, concert et parade… l’heure est à la fête pour les quatre prochains jours au Royaume-Uni, des festivités que TF1 et LCI seront les premières à retransmettre, ce jeudi 2 juin, grâce à un accord exclusif avec la BBC, détentrice des droits outre-manche.

Parmi les premières à prendre l’antenne, on retrouve Hélène Mannarino qui anime normalement la matinale de LCI aux côtés de Stefan Etcheverry. La journaliste arpente les rues de Londres depuis 6h du matin à bord d’un mythique bus londonien. Pour faire vivre cette première matinée de festivité au plus près des Britanniques, les deux chaînes du groupe Bouygues ont dépêché sur place une quinzaine d’équipes d’envoyés spéciaux.

En ce qui concerne le service public, France Télévisions qui « ne savait probablement pas que la reine Elizabeth II fêtait son jubilé de platine ce 2 juin 2002 » car selon nos informations, FTV aurait été obligé de racheter les droits à TF1 qu'il détenait grâce à l’ accord exclusif avec la BBC…Chacun peut aisément imaginer que TF1 n’a pas fait de cadeau pour l’occasion à savoir une édition spéciale à partir de 9h45.

L'occasion pour Julian Bugier de commenter le défilé militaire des Horse-Guards en direction de Buckingham Palace et la parade aérienne. Il sera bien évidemment accompagné de l’expert des têtes couronnées chez France Télévisions, Stéphane Bern, mais aussi d'Adélaïde de Clermont-Tonnerre, directrice de la rédaction du magazine Point de Vue.

Pour sa part, BFMTV sera dès ce jeudi 9h,  en édition spéciale pour couvrir la parade militaire mais la chaîne suivra également la cérémonie religieuse donnée à la cathédrale Saint-Paul ce vendredi. Les reporteurs de la chaîne info  seront présents à la course équestre du Derby d’Epsom Downs et au concert devant Buckingham Palace qui rythmeront la journée de samedi.

Si France 2 a bien été leader sur ces retransmissions, TF1 est cependant largement en tête sur l'ensemble de la journée avec une part d'audience de 23,8% (performance permise par le succès de "HPI" en prime time)...La Deux ne réalisant qu'une part d'audience de 16,0% sur cette journée de jeudi.

L’État bien parti avec l’ex-Orange pour enrichir Patrick Drahi pendant au moins 12 années à venir ?

L’État bien parti avec l’ex-Orange pour enrichir Patrick Drahi pendant au moins 12 années à venir ? 

Ce mardi matin, le blog le blog CGC Média relayait l’article de Satellifacts qui indiquait en EXCLUSIVITÉ que "les administrateurs ont approuvé à l’unanimité, mardi 31 mai, le projet immobilier qui consiste au rapprochement des 16 implantations franciliennes du groupe public autour de son siège dans le 15^ème arrondissement."

Le blog depuis la demi-douzaine d’article qu’il a écrit sur le sujet et qu’il qualifie d’écran de fumée à destination des Politiques, de la Représentation nationale, des Tutelles et du Pouvoir, s’interrogeait après les propos du dga de FTV   Christian Vion au titre de presse à qui il affirmait : « le projet permettrait à l’entreprise de réaliser des « économies d’exploitation significatives dès le 2^ème semestre 2025… » mais sans donner la moindre information sur  « les coûts de transition » [qui vont douiller, c’est clair] ou un éventuel chiffrage de « l’ impact significatif sur la trésorerie »

Cette question elle est simple et il convient de la rappeler :

« C'est curieux que Christian Vion ne parle pas des baux et plus particulièrement concernant celui de Quadrans (ex immeuble SFR, ça devrait en mettre plus d'un sur la piste!)  et surtout qui va encaisser sur une période de 12 ans à compter de janvier 2024 l'ensemble des loyers !? » 

en ajoutant « L’État va-t-il via l’ex-Orange enrichir Patrick Drahi pendant 12 années à venir ? »...et toutes celles à suivre car Quadrans comme le bâtiment Seine Ouest resteront tous deux en location dans les 5 sites que conservera très chèrement France TV et ce en totale contradiction avec la affirmations du dga ernottien qui parle "d'économies". 

Autrement dit, quel sera le montant total du loyer sur 12 ans à partir de janvier 2024 pour les presque 17.000m² de surface que représente le seul bail Quadrans (visiblement propriété de Patrick Drahi via un entrelacs de sociétés au Luxembourg dont la principale "SCI Quadrans Holding" ) que l’État va débourser donc le contribuable pour les frasques de l'infirmière TV ? 

Pour éclairer ses lecteurs, le blog CGC Média leur propose avec ce premier article de Capital intitulé « Comment Patrick Drahi et Alain Weill se sont enrichis avec l’immeuble de SFR, BFM TV et Libération » (*)

Lire également: Le patron du PMU a été débarqué à cause d’un immeuble - Figaro Immobilier (lefigaro.fr)

« Un impact significatif sur la trésorerie » pour l'écran de fumée immobilière que France Télés a fait voter en CA.

« Un impact significatif sur la trésorerie » pour l'écran de fumée immobilière que France Télés a fait voter en CA.

Comme le blog CGC Média le révélait dans ses différents articles concernant « Campus » le dernier projet en date de l'ex-Orange et de ses lieutenants ont présenté en Conseil d'Administration,  Satellifacts indique en EXCLUSIVITÉ que "les administrateurs ont approuvé à l’unanimité, mardi 31 mai, le projet immobilier qui consiste au rapprochement des 16 implantations franciliennes du groupe public autour de son siège dans le 15^ème arrondissement."

Validé d'ailleurs comme la cohorte des chantiers qui leur été présentés et qui sont tous passés à commencer par Salto qui devait concurrencer NETFLIX et qui a coûté une blinde pour se crasher lamentablement comme tout le reste peu de temps après.

« Ni charges, ni coût en 2022 » selon Christian Vion dga en charge de la gestion, de la production et des moyens à FTV qui indique toutefois que « la trésorerie [déjà exsangue, ndlr] sera significativement impactée » même s’il admet des « coûts de transition » [sans évoquer les millions que cela devrait coûter, ndlr] en affirmant que « ce projet permettra à l’entreprise de réaliser des « économies d’exploitation significatives dès le 2^ème semestre 2025 ».

Ben voyons ! Pas un des administrateurs n'a tiqué et ne s'est étonné qu'au bâtiment du Siège de l'entreprise unique dont la construction a commencé il y a près de 30 ans et qui devait accueillir tout le monde, 15 autres sites se soient ajoutés et pas des moindres en, mètres carrés comme Valin et EOS (*) 

C'est curieux que Christian Vion ne parle pas des baux et plus particulièrement concernant celui de Quadrans (ex immeuble SFR, ça devrait en mettre plus d'un sur la piste!)  et qui va encaisser sur une période de 12 ans à compter de janvier 2024 l'ensemble des loyers ! (cela fera l'objet d'un très prochain article sur le blog)

Quant au souk que cela va générer que Vion admet à demi mot « L’opération devrait toutefois toucher davantage de salariés, puisque des équipes installées au siège pourraient également être amenées à déménager », il devrait être maximal et intéresser au plus haut point la Préfecture de Paris.

Rendez-vous en 2025 pour constater que cet écran de fumée aura fait piout comme tout le reste, dernier exemple en date: la RCC vendue à la Représentation nationale pour soi-disant faire baisser la masse salariale et qui se termine en fiasco comme d'ailleurs l'ensemble des plans de départs précédents.

Le blog CGC Média vous propos de découvrir l'article "EXCLU - France TV : les administrateurs valident le projet parisien de regroupement immobilier

Selon nos informations, le conseil d’administration de France Télévisions a approuvé à l’unanimité, mardi 31 mai, le projet immobilier qui consiste au rapprochement des 16 implantations franciliennes du groupe public autour de son siège dans le 15^ème arrondissement.

Ce projet dit «Campus France Télévisions» prévoit le regroupement sur cinq sites de l’ensemble des salariés de la région parisiennes, soit quelques 5000 « postes de travail », dans un rayon n’excédant pas 250 mètres, a précisé Christian Vion, dga en charge de la gestion, de la production et des moyens, à Satellifacts.

Les premières installations sont prévues pour le premier semestre 2024 avec des emménagements s’achevant jusqu’à mi-2025, a-t-il ajouté. Des négociations sont en cours pour des sites qui seraient Seine Ouest et Quadrans, selon l’avis du CSE Central, adopté à l’unanimité à l’issue de la procédure d’information-consultation du 25 mai.

Les implantations appelées à disparaître regroupent aujourd’hui un millier de personnes, dont les salariés des filiales france.tv studio (Issy-les-Moulineaux), France tv distribution (autre bâtiment à Issy-les-Moulineaux) et France tv publicité (Boulogne-Billancourt), ainsi que ceux du pôle Outre-mer (Malakoff). L’opération devrait toutefois toucher davantage de salariés, puisque des équipes installées au siège pourraient également être amenées à déménager.

La direction de France Télévisions se donne une année pour «co-construire le nouveau mode de fonctionnement » avec « les managers, les salariés et les représentants des salariés », a souligné Christian Vion. Dans son avis rendu à l’unanimité, les élus ont d’ailleurs « [pris] acte de cet engagement » et demandent « instamment » des négociations pour définir un « accord de méthode ». Sur la question des risques psycho-sociaux, ils souhaitent aussi un « plan d’accompagnement », notamment pour le personnel de Malakoff, particulièrement inquiet.

Le Campus France Télévisions ne générera « ni charges, ni coût en 2022 », selon Christian Vion. S’il implique des « coûts de transition », le projet permettra à l’entreprise de réaliser des « économies d’exploitation significatives dès le 2^ème semestre 2025 » et aura « un impact sur la trésorerie significatif », a-t-il poursuivi, sans plus de précisions. "

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L’État, le gouvernement d’Emmanuel Macron plus particulièrement la nouvelle ministre de la Culture en prennent pour leur grade avec Ernotte !

L’État, le gouvernement d’Emmanuel Macron plus particulièrement la nouvelle ministre de la Culture en prennent pour leur grade avec Ernotte !

Dans une hallucinante interview de l’ex-Orange que publiait hier Le Figaro, tout le monde y passe après la décision prise par la direction du tournoi de Roland-Garros de choisir le service Amazon Prime Vidéo pour diffuser le quart de finale opposant Rafael Nadal et Novak Djokovic. 

La nouvelle ministre de la Culture Rima Abdul-Malak tout d’abord  tout d’abord mais également Bruno Lemaire ainsi qu’à la Représentation nationale comme l’écrit le quotidien « Selon nos informations, Delphine Ernotte a clairement exprimé son mécontentement ce mardi matin lors d'un conseil d'administration auquel siégeaient des représentants du parlement, du ministère du Budget et de la Culture. » leur mottant sur le dos «Cette décision de la Fédération française de tennis qui l’a choque profondément ».

Celle qui déclare «Cette décision de la Fédération française de tennis me choque profondément » avant d’ajouter « C'est un bien mauvais coup porté à notre partenariat, alors que nous participons depuis des années à exposer et populariser le tournoi auprès de tous les Français» et de fulminer contre ce soi-disant mauvais coup dont elle serait victime !? 

Bien qu’étant à l’origine du partenariat que France Télés a signé avec Amazon et évidemment de ses conditions, l’ex-Orange « met en garde contre une privatisation des grands événements sportifs par les plateformes américaines » et admoneste tout ce petit monde avec des arguments totalement hors-sol en l’espèce «Je trouve extrêmement choquant de privilégier un acteur américain comme Amazon au détriment du service public, surtout sur un événement financé en tout ou partie par de l'argent public. L'inverse serait totalement inimaginable aux États-Unis».

« Roland Garros un événement financé en tout ou partie par de l'argent public » …En voilà une révélation. Ce serait donc selon Ernotte, le contribuable qui paierait en tout ou partie le tournoi de tennis ?! 

En plus de Rima Abdul-Malak à la Culture, Bruno Lemaire au budget, c’est aussi Elisabeth Borne la Première ministre comme la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra qui a fort à faire depuis le weekend dernier qui ne vont pas en revenir pas plus qu’Emmanuel Macron le Chef de l’État. 

Echange parlementaire 

« Alexis Kohler lui sauvera la mise une fois de plus » lance ce sénateur qui connait bien le secteur ! « Pas cette fois-ci » répond un de ses collègues.

Cerise sur le gâteau – il en faut toujours une – voici ce que prétend faire avaler l’infirmière TV aux membres du Conseil d’Administration, au titre de presse comme à l’ensemble du monde politique pour tenter une ridicule justification de cette colère on ne peut plus feinte : « En réalité, même si la rencontre est bien diffusée gratuitement, il faudra néanmoins s'inscrire à Amazon Prime Vidéo, en indiquant son identité ainsi que son mail. Dès lors, la diffusion en gratuit par Amazon est un leurre : il ne sert qu'à générer de l'abonnement et de la data. Et c'est une vraie rupture d'égalité alors que tous les Français n'ont pas accès à l'Internet haut débit». 

Non mais allo quoi !!!

« Il faut d’abord s'inscrire à Amazon Prime Vidéo, en indiquant son identité ainsi que son mail avant d’accéder au Service…d’où les datas que récupère le groupe »…Mais au fait, n’est-ce pas ce que fait exactement France Télés qui impose aux internautes de s’inscrire avant d’accéder à ses services ! (*)

 (*)

Le saccage de France Télés se poursuit…Le Siège de l’Outremer vendu par étages !

Le saccage de France Télés se poursuit…Le Siège de l’Outremer vendu par étages !

Le 18 mai dernier, le blog CGC Média révélait les dessous de la gabegie immobilière qui n’a cessé d’enfler à France Télés Siège depuis 2015.

Le projet – nom de code Campus – que « La direction de France télévisions a présenté au CSE central extraordinaire du 25 mai comme un projet de mutualisation de ses sites parisiens, à l'horizon 2025 », relève à l’évidence d’un incroyable enfumage à l’adresse des Pouvoirs publics et de l’actionnaire.

Alors qu’il y quasiment 30 ans, commençait la construction du nouveau siège de France Télés situé derrière l’hôpital Georges Pompidou qui devait réunir dans un unique bâtiment, France 2, France 3, la présidence commune ainsi que la régie publicitaire (ce qui dans les faits n’a pas été le cas), la multiplication des établissements parisiens pour arriver à 16 sites (sans la pub ou Le Studio) semble bien avoir été le sport favori des directions année après année.

Des 61 694 m²  du Paquebot (C’est le surnom du Siège sur les quais de Seine), l’ensemble des surfaces de ces 16 sites est passé à plus du double (avec près de 150.000m²) que l’ex-Orange prétend réduire de 15% sur trois ans, !  

En 2022, FTV pour faire croire à l’État actionnaire qu’elle agirait, lui fait le coup du magasin affiche ses soldes après avoir gonflé ses prix auparavant.

Deux nouveaux baux viennent d’être signés dans des locaux proches du Siège de France Télés (1.116 m²) situés dans l’immeuble dit Quadrans (ex-SFR) et le Seine-Ouest (ex-PMU)  pour des durées d’engagement, respectivement de 9 et 12 ans, avant que n’intervienne la vente par étages du siège de France Ô à Malakoff.

En effet selon nos informations, c’est par étages que l’infirmière TV voudrait vendre le bâtiment !

Une question le cas échéant : Que deviennent les régies situées au 3^ème étage de l’immeuble, bourrées de serveurs ultramodernes, destinés à la diffusion de programmes pour les stations d’Outremer et conçus, faut-il le rappeler, pour être les secours de FTV Siège en cas de coups durs ?  

Il se murmure que leur gestion serait d’ores et déjà confiée à un prestataire extérieur (encore un)…sans même que l’État ait son mot à dire !

C’est sûrement en supprimant la redevance (CAP) qui va en réalité, sanctionner les personnels comme les téléspectateurs,  que toutes ces dérives vont disparaître !  

 

« Qui vend Denis » s'interroge « Mr. T » avec sa nouvelle charade ?

« Qui vend Denis » s'interroge « Mr. T » avec sa nouvelle charade ?

Il faut dire que la question a de quoi déconcerter mais il est probable que « Mr. T » nous éclaire sur ce dossier qu'il a décidé  cette fois-ci, de traiter sous forme de charade.

« Mon 1^er » c’est « Denis »…C'est le prénom que livre ce haut cadre de FMM que visiblement, plus personne n’arrête.

« Avenir radieux pour lui »…voilà « Mon 2^ème   » précise celui « n’a plus l’intention de se la fermer » avant son départ !

Pas facile de savoir ce que cherche « Mr. T » et surtout, un peu juste pour comprendre de quoi il retourne ! Il en faut plus...

Mon tout, concerne un système de connexion sans fil pour lequel « Mr. T » tient à livrer un tas d’explications particulièrement au sujet du contexte :

«Nous n'avons que 1000 licences Wifi au sein du bâtiment FMM alors que nous sommes beaucoup plus nombreux. Ce qui fait que, les collaborateurs de la boîte ne peuvent se connecter au Wifi tous en même temps. Il faut souvent attendre qu’une personne se déconnecte pour récupérer le signal » balance d’entrée de jeu « Mr. T » qui poursuit « Problème récurrent, connu depuis environ 2 ans, mais, la société ayant installé le Wifi à FMM n’existant plus, Thierry (?) avait lors décidé de faire réaliser une étude en février 2021 auprès comme toujours d’un prestataire extérieur, un cerveau du Network (?) »

Thierry, un cerveau du Network, dur, dur pour trouver !

Qu’à cela ne tienne, notre gorge profonde se soulage un peu plus : « Changement de cap en avril 2022. Clustech une société d’audit, est finalement choisie cette fois-ci pour étudier ce problème qui n’en est pas un puisqu’il suffit, en réalité, d’ajouter le nombre de licences manquantes au système Wifi pour que cela fonctionne. Pas besoin d’audit donc ! »

« Mr. T » enfonce le clou « Clustech société fondée par un certain Olivier qui se trouve être aussi le fondateur de Connect 3 C et d’autres entreprises avec lesquelles travaille FMM est arrivé à la conclusion, pour la modique somme de 57.000€, qu’il fallait changer le système Wifi. ». Waouh....

« Devinez où donc été achetés les supports pour les bornes ? Chez Connect 3 C » s’étrangle notre homme sur un ton rageur qui pose sa cerise sur le gâteau « Le câblage, lui, a été fait lui par la société dont l’ancien directeur adjoint de la DTSI à FMM, est l’actuel directeur ». Ce qui nous renvoie à « Mon1^er » pouffe-t-il enfin!

Le blog CGC Média qui certes n’a pas encore trouvé la réponse, reste persuadé que quelqu’un aux Tutelles ou à l’IGF pourrait certainement aider à résoudre cette énigme médiatique.

La direction de France Télés au grand complet à Cannes avec l’Opération ‘’Brut’’ de Le Van Kim.

La direction de France Télés au grand complet à Cannes avec l’Opération ‘’Brut’’ de Le Van Kim.

Samedi 28 mai, l’édition 2022 du Festival de Cannes fermait ses portes avec une nouvelle consécration pour le réalisateur suédois Ruben Östlund qui remportait  la prestigieuse Palme d'or avec son film "Sans filtre" ("Triangle of Sadness"), une comédie acerbe sur la lutte des classes …le prix d'interprétation masculine revenant à l'acteur sud-coréen Song Kang-Ho pour son rôle dans le film Broker du réalisateur Kore-Eda Hirokazu et le prix d'interprétation féminine pour l'Iranienne Zar Amir Ebrahimi pour son rôle dans Les Nuits de Mashhad.

Cette année, la gaudriole aura coûté 2 millions d’euros aux contribuables, c’est ce que révèle Marianne cette semaine dans son article signé Emmanuel Lemieux et intitulé « Brut, C dans l'air, C à vous... Renaud Le Van Kim, nouvel empereur de la télécratie ». (*)

Dans son enquête sous-titrée « Opération Brut : la revanche du chinois », le magazine révèle en effet dans son paragraphe « ALLIANCE BRUT-FRANCE TÉLÉVISIONS » que « Pour cette première collaboration sur la Croisette, les deux partenaires ont investi 2 millions d’euros, à parts égales. C’est beaucoup… très peu en comparaison des retombées escomptées, notamment les recettes publicitaires générées sur YouTube, Facebook et Snapchat. »

Pour l’occasion, quasiment toute la direction de France Télés a défilé cette année sur La Croisette, certains pendant presque toute la durée du Festival ce qui a considérablement augmenté la facture payée par les Français.

L’ex-Orange sur France.tvpro déclarait d’ailleurs « C’est avec une grande fierté et un immense enthousiasme que France Télévisions devient le partenaire média officiel du Festival de Cannes, à l’occasion de sa 75^e édition. Du 17 au 28 mai, toutes nos antennes seront mobilisées pour partager avec tous les Français la passion du cinéma qui investira la Croisette. »

4 millions au total (2+2) pour quelques minutes de minutes de programmation quotidienne sur 9 jours (du 17 au 28 mai), sans compter l’ensemble des milliers d’euros dépensés pour les séjours des nombreux membres de la direction de France Télés, il ay de quoi être fière et enthousiaste !

S’agissant du Chinois puisque c’était son surnom sur Canal + dont il a été viré, c’est un producteur qui ouvre le bal dans les colonnes du titre de presse :

« Le Van Kim, un pionnier de la nouvelle télé ? Vous rigolez ! C’est un homme d’affaires avant tout. Franchement, Brut, vous estimez que c’est de l’image ? Leur came, c’est le selfie » peste ce producteur important de documentaires (de qualité), fournisseur de chaînes du service public. »

« En quelques mots, tout est dit. Expédié. » poursuit Marianne  qui ajoute « La vérité, c’est que ce type fait peur. Il a un gros carnet d’adresses, c’est un réseauteur fou de la télécratie, poursuit notre interlocuteur, particulièrement en verve. Intouchable, quoi : il ne faut pas trop chatouiller "le Chinois", sinon gare ! » 

« En cinq ans, Renaud Le Van Kim, réalisateur de télévision à l’ancienne, s’est bâti un véritable empire « multi-écrans » : « C dans l’air », « C à vous » et « C politique », qu’il produit pour « France 5 », restent des incontournables de la « télé de flux », mais c’est au succès de « Brut » que le producteur doit son statut d’empereur redouté…Le « Chinois » est en vérité d’origine vietnamienne. Il aura 64 ans en novembre. Sous ses airs bonhommes, le sourire généreux, c’est un empereur des multi-écrans, un redoutable businessman dont la success story mériterait sa petite saga Netflix… En attendant, tapis rouge. Au groupe France Télévisions qui vient de lui confier, à lui et sa société Brut, la couverture du Festival de Cannes en qualité de producteur exécutif, tout nouveau partenaire cathodique du grand raout cannois, Renaud Le Van Kim a promis un « traitement post-Covid ». Comprenez : des contenus courts qui se regardent aussi (et surtout ?) sur son smartphone !...» souligne encore l’enquête de 6 pages (*) d'une grande qualité.

Voilà surement pourquoi l’Exécutif veut supprimer la redevance (CAP) pour prendre sur le budget de l’État tout ce fric que claque la télé publique qui n’a fait depuis 2015 que de tomber de Charybdes en Silla jusqu’à se voir qualifiée en 2017 de « Honte de la République », il y a déjà 5 ans !