Carolis continue sa politique de désinformation sur l’air de « vous voyez avec moi, il n’y a pas de vague »...la période de survivance de la CONVENTION COLLECTIVE c’est 3 ans et 3 mois [article 2-3]
Dans les nouveaux CDD conclus avec les salariés intermittents des chaînes de France Télévisions sous le logo « france télévisions », la direction écrit notamment au 2ème paragraphe de l’article 1 « statut collectif » :
« Il est rappelé qu’à la date du 7 mars 2009, la société France Télévisions a absorbé les sociétés France 2, France 3, France 4, France 5 et RFO, en application de la loi du 5 mars 2009. Conformément aux dispositions de l’article L.2261-14 du Code du travail, les accords et conventions applicables au sein de ces sociétés ont été mis en cause de plein droit et des négociations sont en cours en vue de la conclusion d’un statut collectif commun pour l’ensemble du personnel.
Pendant la période de survie applicable à chacun desdits accords et conventions, le(la) contractant(e) est informé(e) qu’à titre transitoire et exceptionnel, les dispositions appliquées antérieurement au personnel intermittent du service où il(elle) est affecté(e) lui seront également appliquées aux conditions qu’elles prévoient.
A l’expiration du délai de survie, le(la) contractant(e) ne pourra en aucun cas conserver le bénéfice des dispositions antérieurement appliquées. »
Le délai de survie après l’expiration de la convention collective, ce sont les 15 mois que Carolis a donnés à toute la presse et aux organisations syndicales: "Nous avons devant nous 15 mois, pas plus, pour parvenir à un accord collectif sur nos nouveaux statuts sociaux"
Pour être le plus convaincant possible, il mentionne donc dans les contrats l’article L.2261-14 du Code du travail en vigueur depuis la 1er mai 2008 qui indique que : « toute convention ou accord continue de produire effet jusqu'à l'entrée en vigueur de la convention ou de l'accord qui lui est substitué ou, à défaut, pendant une durée d'un an à compter de l'expiration du délai de préavis prévu à l'article L. 2261-9. »
Seulement comme à sa bonne habitude, Carolis a volontairement fait passer à la trappe la fin de la phrase : « pendant une durée d'un an à compter de l'expiration, sauf clause prévoyant une durée supérieure. »
Une durée supérieure (plus favorable aux 12 mois du Code du travaildonc)…Voila donc où le bât blesse, Carolis évoque en permanence les 15 mois et presse tout le monde de se conformer à son calendrier pour conclure un accord (a minima sans aucun doute) qui sera substitué à la Convention Collective. Ceci est totalement faux et correspond à une entreprise de désinformation à grande échelle.
Le soi-disant délai de 15 mois que Carolis met fallacieusement est en réalité, en plus des trois mois suivant la mise en cause, de 3 ans minimum. De fait, le calendrier imposé par Carolis n’est pas le bon. C’est à dessein que ce dernier essaie de la faire croire. Il existe en réalité une véritable impossibilité pour Carolis de parvenir à organiser la « suite » sans provoquer un réel télescopage totalement incompatible avec les diverses échéances à venir.
La CGC Médias rappelle à tous, salariés, délégués, Organisations Syndicales et à la Presse qui ne l’auraient pas en tête, le dernier paragraphe de l’article « 2-3 » de la Convention : « A défaut d'accord sur un nouveau texte à la date d'expiration de la Convention, celle-ci continue à produire ses effets pendant une période de trois ans au-delà de sa période de validité. »
Fort de cette information qui remet largement les pendules à l’heure et nonobstant le rapport de la Cour des comptes dont les auditeurs ont livré leur prérapport aux dirigeants de France Télévisions. Il s’agirait selon les premiers éléments, d’un document apparemment explosif, où, après que les marges des producteurs du service public aient été analysées sous toutes les coutures, la conclusion pourrait être que certains producteurs travaillant pour France 2 et France 3 affichent des marges de plus de 70 %...L’intégralité du rapport connue, la Cour révélera-t-elle une nouvelle affaire des animateurs /producteurs !?
Quand à Carolis qui depuis 4 ans a laissé le système se développer, il ne pourra pas dire….pas responsable mais maintenant je vais me servir du rapport pour mettre de l’ordre !!!!
vendredi 27 mars 2009
jeudi 26 mars 2009
CE France Télévisions SA : Carolis aux abonnés absents comme l’ensemble de l’équipe de direction.
CE France Télévisions SA : Carolis aux abonnés absents comme l’ensemble de l’équipe de direction.
Une séance extraordinaire du CE de France Télévisions SA s'est tenue la 24 mars 2009 avec comme seul représentant de la direction le nouveau DRH Adjoint Laurent Benhayoun. Pas de Carolis, pas de Cuier, pas de Maisonneuve, pas de Siacci qui pourtant s’était annoncé….Juste Laurent Benhayoun qui s’est contenté de lire le texte qu’il avait sous les yeux pour tenter d’expliquer en 12 points la « suite des «évènements ».
Bel exemple de respect des salariés mais aussi du respect des engagements de Carolis qui écrivait, fin 2008, par mail à tous les personnels pour expliquer qu’il serait présent aux prochains CE et CCE des instances du groupe !!
Séance sans intérêt sauf le dérapage d’une élue du CE qui a contesté l’appartenance aux effectifs de l'entreprise de 2 représentants syndicaux, ceux de la CGC et du SNJ journalistes de leur état, figurant bien sur les listes des « électeurs » et « éligibles » de France Télévisions SA.
Lors d'une séance précédente, cette même élue avait, du reste, estimé que le rôle des organisations syndicales était "trop important au sein de France Télévisions ".
Cette déclaration avait alors amené le président de séance, à rappeler à cette élue que le rôle des Organisations Syndicales était encadré par la loi et qu'il s'agissait donc de s'y conformer.
Laisser de tels dérapages prospérer au sein même d’une entreprise n’est vraiment pas digne a fortiori s’agissant d’un groupe de Service Public.
Une séance extraordinaire du CE de France Télévisions SA s'est tenue la 24 mars 2009 avec comme seul représentant de la direction le nouveau DRH Adjoint Laurent Benhayoun. Pas de Carolis, pas de Cuier, pas de Maisonneuve, pas de Siacci qui pourtant s’était annoncé….Juste Laurent Benhayoun qui s’est contenté de lire le texte qu’il avait sous les yeux pour tenter d’expliquer en 12 points la « suite des «évènements ».
Bel exemple de respect des salariés mais aussi du respect des engagements de Carolis qui écrivait, fin 2008, par mail à tous les personnels pour expliquer qu’il serait présent aux prochains CE et CCE des instances du groupe !!
Séance sans intérêt sauf le dérapage d’une élue du CE qui a contesté l’appartenance aux effectifs de l'entreprise de 2 représentants syndicaux, ceux de la CGC et du SNJ journalistes de leur état, figurant bien sur les listes des « électeurs » et « éligibles » de France Télévisions SA.
Lors d'une séance précédente, cette même élue avait, du reste, estimé que le rôle des organisations syndicales était "trop important au sein de France Télévisions ".
Cette déclaration avait alors amené le président de séance, à rappeler à cette élue que le rôle des Organisations Syndicales était encadré par la loi et qu'il s'agissait donc de s'y conformer.
Laisser de tels dérapages prospérer au sein même d’une entreprise n’est vraiment pas digne a fortiori s’agissant d’un groupe de Service Public.
France Télévisions: La CGC Médias saisit la Justice en référé en contestation de la composition du Comité de Groupe
Le 18 mars 2009, la CGC adressait un courrier recommandé AR au DGA/DRH de France Télévisions René Maisonneuve, contestant l’actuelle composition du Comité de Groupe et faisant suite à une précédente lettre en date du 11 mars et aux courriers des syndicats CFDT et SNJ sur le même sujet.
Sans réponse de la part de la direction de France Télévisions – quoi de plus habituel ! – et en fonction de l’accord du 23 janvier 2004 sur la composition de ce Comité, ni dénoncé, ni modifié, ni amendé et qui est donc bien toujours en application dans tous ses aspects, particulièrement s’agissant de «la durée du mandat des membres de la délégation salariale est de deux ans», nous saisissons la Justice sous forme d’un référé.
Nous mandatons donc très officiellement un cabinet d’avocats spécialisé, lui laissant le soin de mener en Justice toute action nécessaire pour la défense des intérêts du syndicat dans le cadre de cette contestation, pour :
- faire constater la perte des mandats des membres du Comité de Groupe depuis le 21 février 2009
- et par voie de conséquence, faire annuler toute délibération, résolution et/ou autre acte connexe faits depuis cette date, plus particulièrement dans le cadre des réunions de la commission économique qui en est l’une des émanations.
Sans réponse de la part de la direction de France Télévisions – quoi de plus habituel ! – et en fonction de l’accord du 23 janvier 2004 sur la composition de ce Comité, ni dénoncé, ni modifié, ni amendé et qui est donc bien toujours en application dans tous ses aspects, particulièrement s’agissant de «la durée du mandat des membres de la délégation salariale est de deux ans», nous saisissons la Justice sous forme d’un référé.
Nous mandatons donc très officiellement un cabinet d’avocats spécialisé, lui laissant le soin de mener en Justice toute action nécessaire pour la défense des intérêts du syndicat dans le cadre de cette contestation, pour :
- faire constater la perte des mandats des membres du Comité de Groupe depuis le 21 février 2009
- et par voie de conséquence, faire annuler toute délibération, résolution et/ou autre acte connexe faits depuis cette date, plus particulièrement dans le cadre des réunions de la commission économique qui en est l’une des émanations.
mercredi 25 mars 2009
Les syndicats de Radio France demandent dans un communiqué commun le report des élections des DP et CE.
Les syndicats de Radio France demandent dans un communiqué commun le report des élections des DP et CE.
L'ensemble des organisations syndicales de Radio France - CFDT, CFTC, CGC, CGT, FO, SNJ et Sud - ont demandé hier à la direction du groupe de « proroger tous les mandats et donc de reporter les élections des élus du CE et DP (délégués du personnel, ) ».
Aprrès une suspension de la séance de discussions, la direction de retour, a repoussé la demande.
« Cette demande unanime répond à une situation exceptionnelle créée à Radio France par la remise en cause des conventions collectives »; rappelons que la dissolution de l'Association des Employeurs de l'Audiovisuel Public (AESPA) a été annoncée la semaine dernière au CCE de Radio France apr le PDG.
Cette disparition remettrait de facto en cause les conventions collectives de l'audiovisuel public dont l'AESPA est signataire.
« Face à la gravité des enjeux : la défense des Conventions collectives et des acquis, la direction a choisi la précipitation et le rapport de force », jugent les syndicats dans leur communiqué.
Ce matin à 10 h, direction et organisations syndicales se sont réunies sur la question du protocole électoral. « réunion sur la finalisation des négociations sur le protocole électoral prévue de longue date », a précisé Martin Ajdari, directeur général délégué à la gestion et à la production du groupe à Satellifax.
La direction du groupe campe sur ses positions concernant la non prorogation des mandats : « nous redirons que nous sommes défavorables à un report des élections », entonne-t-elle systématiquement. Elle a même induit la notion d'une forme "d'abus de pouvoir" en indiquant : "c'est comme si un député ne voulait pas rendre son mandat à l'heure de l'échéance..." (aucun rapport bien évidemment car la prorogation des mandats est prévue par les textes et ne représente en rien, vu le contexte, un quelconque "abus de pouvoir", ndlr)
Cette question serait à l'ordre du jour du prochain conseil d'administration, qui doit se tenir le 27 mai, mois retenu pour les élections des DP et du CE mais aussi mois théorique d'arrivée de Jean-Luc Hees en remplacement de Jean-Paul Cluzel.
Autrement dit, en refusant une prorogation de ces éléctions vu le contexte précité, l'actuelle direction choisirait de pratiquer la politique de la terre brûlée en commençant par "plomber" d'entrée de jeu le mandat du nouveau PDG avec 2 dossiers explosifs, qu'elle ne s'y prendrait pas autrement!!!!
Les tribunaux trancheront....à moins que le départ de Jean-Paul Cluzel se fasse bien avant l'échéance de mai...qu'il quitte le navire avec panache et de son propre chef dans les prochains jours (vu les circonstances) avant d'avoir à le faire contraint et forcé.
Jean-Luc Hees pourrait alors, en tant que nouveau patron de Radio France préférer le report et le dialogue, plutôt que l'affrontement dans la gestion d'un voire deux contentieux qu'il n'aura pas générés.
L'ensemble des organisations syndicales de Radio France - CFDT, CFTC, CGC, CGT, FO, SNJ et Sud - ont demandé hier à la direction du groupe de « proroger tous les mandats et donc de reporter les élections des élus du CE et DP (délégués du personnel, ) ».
Aprrès une suspension de la séance de discussions, la direction de retour, a repoussé la demande.
« Cette demande unanime répond à une situation exceptionnelle créée à Radio France par la remise en cause des conventions collectives »; rappelons que la dissolution de l'Association des Employeurs de l'Audiovisuel Public (AESPA) a été annoncée la semaine dernière au CCE de Radio France apr le PDG.
Cette disparition remettrait de facto en cause les conventions collectives de l'audiovisuel public dont l'AESPA est signataire.
« Face à la gravité des enjeux : la défense des Conventions collectives et des acquis, la direction a choisi la précipitation et le rapport de force », jugent les syndicats dans leur communiqué.
Ce matin à 10 h, direction et organisations syndicales se sont réunies sur la question du protocole électoral. « réunion sur la finalisation des négociations sur le protocole électoral prévue de longue date », a précisé Martin Ajdari, directeur général délégué à la gestion et à la production du groupe à Satellifax.
La direction du groupe campe sur ses positions concernant la non prorogation des mandats : « nous redirons que nous sommes défavorables à un report des élections », entonne-t-elle systématiquement. Elle a même induit la notion d'une forme "d'abus de pouvoir" en indiquant : "c'est comme si un député ne voulait pas rendre son mandat à l'heure de l'échéance..." (aucun rapport bien évidemment car la prorogation des mandats est prévue par les textes et ne représente en rien, vu le contexte, un quelconque "abus de pouvoir", ndlr)
Cette question serait à l'ordre du jour du prochain conseil d'administration, qui doit se tenir le 27 mai, mois retenu pour les élections des DP et du CE mais aussi mois théorique d'arrivée de Jean-Luc Hees en remplacement de Jean-Paul Cluzel.
Autrement dit, en refusant une prorogation de ces éléctions vu le contexte précité, l'actuelle direction choisirait de pratiquer la politique de la terre brûlée en commençant par "plomber" d'entrée de jeu le mandat du nouveau PDG avec 2 dossiers explosifs, qu'elle ne s'y prendrait pas autrement!!!!
Les tribunaux trancheront....à moins que le départ de Jean-Paul Cluzel se fasse bien avant l'échéance de mai...qu'il quitte le navire avec panache et de son propre chef dans les prochains jours (vu les circonstances) avant d'avoir à le faire contraint et forcé.
Jean-Luc Hees pourrait alors, en tant que nouveau patron de Radio France préférer le report et le dialogue, plutôt que l'affrontement dans la gestion d'un voire deux contentieux qu'il n'aura pas générés.
Patrice Papet le toujours DGA/DRH de Radio France se sent pousser des ailes!
Il ne cachait pas sa satisfaction, le toujours DGA/DRH de Radio France Patrice Papet ex DRH de France 3 du temps de Rémy Pflimlin, de l'article posté sur le site web du journal "L'alsace" "e-alsace", intitulé: "Rémy Pflimlin à la tête de France Télévisions ? "
Il se voyait vraisemblablement déjà dans les pantoufles de son homlogue également DGA/DRH de France télévisions. Il s'est surement délecté à la lecture de l'article où son ex patron serait le choix de l'Elysée pour succéder très prochainement à Carolis. Cela n'a probablement pas été le cas à la lecture du post à ce sujet figurant sur le blog de la Fédération CGC des Médias.
Qu'a-t-il bien pu penser?
Que le nom de Rémy Pflimlin qu'il glisse à tout un chacun depuis des mois et des mois comme celui de "l'élu" avait fini par "payer"?!
Que la demande dissolution de l'AESPA dans un premier temps officieuse comme le révélait dès le 6 février 2009 la CGC Médias sur ce blog dans un article intitulé: "l'Association des Employeurs du Service Public de l'Audiovisuel sans Président" faite conjointement avec le DGA/DRH de France Télévisisons (à qui il espère succéder) et qu'il a soufflée dernièrement - peut-être pour le faire trébucher - à l'oreille de Jean-Paul Cluzel avec en prime la perte des Conventions Collectives dont elle est signataire, a produit ses effets?!
Que le site web de "L'alsace" où il a certains contacts, était tout comme celui du journal « Le Monde » quand il annonçait "La candidature de Jean-Luc Hees choix de l'Elysée pour succéder à Jean-Paul Cluzel sur Radio France ", bien renseigné?! ...Allez savoir. D'ailleurs qui dit que Jean-Luc Hees a l'intention de demander la dissolution de l'AESPA dès sa nomination (à moins que celle-ci ressemble plus à un cadeau empoisonné qu'à une "promo")?!
Il est surement utile de calmer les ardeurs de Patrice Papet en précisant que ce n'est pas parce que le nom qu'il a choisi a été cité une fois sur le net hier (avec un gros point d'interrogation) que c'est gagné.
Il se voyait vraisemblablement déjà dans les pantoufles de son homlogue également DGA/DRH de France télévisions. Il s'est surement délecté à la lecture de l'article où son ex patron serait le choix de l'Elysée pour succéder très prochainement à Carolis. Cela n'a probablement pas été le cas à la lecture du post à ce sujet figurant sur le blog de la Fédération CGC des Médias.
Qu'a-t-il bien pu penser?
Que le nom de Rémy Pflimlin qu'il glisse à tout un chacun depuis des mois et des mois comme celui de "l'élu" avait fini par "payer"?!
Que la demande dissolution de l'AESPA dans un premier temps officieuse comme le révélait dès le 6 février 2009 la CGC Médias sur ce blog dans un article intitulé: "l'Association des Employeurs du Service Public de l'Audiovisuel sans Président" faite conjointement avec le DGA/DRH de France Télévisisons (à qui il espère succéder) et qu'il a soufflée dernièrement - peut-être pour le faire trébucher - à l'oreille de Jean-Paul Cluzel avec en prime la perte des Conventions Collectives dont elle est signataire, a produit ses effets?!
Que le site web de "L'alsace" où il a certains contacts, était tout comme celui du journal « Le Monde » quand il annonçait "La candidature de Jean-Luc Hees choix de l'Elysée pour succéder à Jean-Paul Cluzel sur Radio France ", bien renseigné?! ...Allez savoir. D'ailleurs qui dit que Jean-Luc Hees a l'intention de demander la dissolution de l'AESPA dès sa nomination (à moins que celle-ci ressemble plus à un cadeau empoisonné qu'à une "promo")?!
Il est surement utile de calmer les ardeurs de Patrice Papet en précisant que ce n'est pas parce que le nom qu'il a choisi a été cité une fois sur le net hier (avec un gros point d'interrogation) que c'est gagné.
Le journal « La Tribune » pense que Rémy Pflimlin succèdera sous peu à Carolis
Dans un article publié sur le site web "e-alsace", le site dans un post publié le 24 mars 2009 écrit: "Rémy Pflimlin à la tête de France Télévisions ? " ( en prenant quand même le soin de mettre un point d'interrogation)
Voila ce qu'écrit la rédaction de "e-alsace" sur le soi-disant choix du président de la République sur celui qui va succéder à Carolis (le point d'interrogation s'impose effectivement): "L’Alsacien Rémy Pflimlin, ancien directeur du quotidien régional « L’Alsace » et ancien directeur général de France 3, sera-t-il le prochain président de France Télévisions ?
Selon le journal « La Tribune », le président Nicolas Sarkozy aurait choisi Rémy Pflimlin, actuel président des Nouvelles messageries de la presse parisienne (NMPP), et ex-directeur général de France 3, comme candidat à la présidence de France Télévisions. Rappelons que le mandat de Patrick de Carolis se termine normalement à l’été 2010, mais que ses relations avec le président de la République sont pour le moins difficiles. Beaucoup pensent que de Carolis aura du mal à aller au terme de son mandat.
Après un début de carrière à Jour de France, Rémy Pflimlin avait ensuite été directeur commercial des "Dernières Nouvelles d’Alsace", avant de prendre la direction du journal « L’Alsace ». Il avait ensuite été nommé directeur général de France 3 où il avait développé un ambition projet appelé « Horizon 2008 », dont l’objectif était de doubler le temps d’antenne des programmes régionaux et de faire de France 3, un vrai réseau de télévision régionale publique.
Il n’avait pas eu le temps de mener son projet à terme, puisqu’à son arrivée à la tête de France Télévisions en juillet 2005, Patrick de Carolis lui avait indiqué la direction de la porte et avait fait stopper le développement des programmes régionaux."
S'agissant du soi-disant nom choisi par le Chef de l'Etat, ce n'est pas parce certains dont Patrice Papet le toujours DGA/DRH de Radio France qui a soufflé à l'oreille de Jean-Paul Cluzel l'annonce de la dissolution de l'AESPA avec en prime la perte des conventions collectives et qui a été DRH de France 3 du temps de Rémy Pflimlin, ont tout intérêt à le véhiculer et à le promouvoir, que cela serait la réalité.
S'agissant maintenant du remplacement anticipé de Carolis qui avait qualifié de "stupide" l'analyse et publiquement critiqué les choix de Sarkozy quand celui-ci a réformé le service public, allant même jusqu'à affirmer : "Il est temps de dire que la télévision, c'est un métier fait par des professionnels, qui obéit à des règles", c'est bien selon nos informations une chose qui semble entendue.
Seulement, n'en déplaise à Patrice Papet, ce pourrait bien ne pas être le nom retenu.
Voila ce qu'écrit la rédaction de "e-alsace" sur le soi-disant choix du président de la République sur celui qui va succéder à Carolis (le point d'interrogation s'impose effectivement): "L’Alsacien Rémy Pflimlin, ancien directeur du quotidien régional « L’Alsace » et ancien directeur général de France 3, sera-t-il le prochain président de France Télévisions ?
Selon le journal « La Tribune », le président Nicolas Sarkozy aurait choisi Rémy Pflimlin, actuel président des Nouvelles messageries de la presse parisienne (NMPP), et ex-directeur général de France 3, comme candidat à la présidence de France Télévisions. Rappelons que le mandat de Patrick de Carolis se termine normalement à l’été 2010, mais que ses relations avec le président de la République sont pour le moins difficiles. Beaucoup pensent que de Carolis aura du mal à aller au terme de son mandat.
Après un début de carrière à Jour de France, Rémy Pflimlin avait ensuite été directeur commercial des "Dernières Nouvelles d’Alsace", avant de prendre la direction du journal « L’Alsace ». Il avait ensuite été nommé directeur général de France 3 où il avait développé un ambition projet appelé « Horizon 2008 », dont l’objectif était de doubler le temps d’antenne des programmes régionaux et de faire de France 3, un vrai réseau de télévision régionale publique.
Il n’avait pas eu le temps de mener son projet à terme, puisqu’à son arrivée à la tête de France Télévisions en juillet 2005, Patrick de Carolis lui avait indiqué la direction de la porte et avait fait stopper le développement des programmes régionaux."
S'agissant du soi-disant nom choisi par le Chef de l'Etat, ce n'est pas parce certains dont Patrice Papet le toujours DGA/DRH de Radio France qui a soufflé à l'oreille de Jean-Paul Cluzel l'annonce de la dissolution de l'AESPA avec en prime la perte des conventions collectives et qui a été DRH de France 3 du temps de Rémy Pflimlin, ont tout intérêt à le véhiculer et à le promouvoir, que cela serait la réalité.
S'agissant maintenant du remplacement anticipé de Carolis qui avait qualifié de "stupide" l'analyse et publiquement critiqué les choix de Sarkozy quand celui-ci a réformé le service public, allant même jusqu'à affirmer : "Il est temps de dire que la télévision, c'est un métier fait par des professionnels, qui obéit à des règles", c'est bien selon nos informations une chose qui semble entendue.
Seulement, n'en déplaise à Patrice Papet, ce pourrait bien ne pas être le nom retenu.
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