#Ernottte#conseiller#MrY#Doligé#pornographie#LOL
Peu de titres de Presse évoque le
cas Doligé – à croire
que certains auraient été invités à ne pas trop en faire ! – qui comme le
confirme Grazia dans son article « Toutsauf LOL » (*) a « assuré une mission de
conseil d'un an et demi jusqu'à l'été 2018, à France Télévisions, au côté de
Delphine Ernotte ».
Grazia n’est pas tendre avec Doligé qui tente de minimiser ses agissements,
laisse entendre au magazine qu’il serait victime des réseaux "laisse faire le tribunal du
buzz". Ben voyons…l’arroseur
plus qu’arrosé !
Le magazine qui révèle « la main courante déposée à son
encontre par une blogueuse mode, Delphine Desneiges, alias @DeedeeParis, après
le déferlement d'attaques et d'insultes dont elle a fait l'objet sur le réseau
social, de 2007 à 2009. » dénonce « La légèreté tragique de
nombreux responsables de médias a permis à certains de se hisser au sommet de la
chaîne. C'est le cas du communicant et influenceur web Emery Doligé, connu sous
le pseudo de MrY, et grand amateur de pornographie. »
« Après avoir été chargé de la
communication digitale du président de Lagardère Active (Europe 1, le JDD,
Paris Match...) Denis Olivennes,
il a assuré une mission de conseil d'un an et demi, jusqu'à l'été 2018, à
France Télévisions, au côté de Delphine Ernotte » enchérit Grazia.
Et pendant ce temps-là sur le LinkedIn de France Télévisions on pouvait lire,
"[FRANCE TÉLÉVISIONS S'ENGAGE] contre le harcèlement sexuel et
sexiste dans les médias. Delphine Ernotte Cunci a signé ce mercredi 13/03 la
charte "Pour les femmes dans les médias" au Ministère de la Culture ,
en présence de Franck Riester".
Quel pitoyable jeu de dupes qui n’a qu’un
objectif « faire croire qu’on fait pour la cause…alors qu’on fait tout le
contraire !
« Les révélations autour de la
Ligue du LOL, un groupe de journalistes accusés de cyber-harcèlement, ébranlent
le milieu de la presse. Lequel s'interroge sur le système qui a permis de tels
actes.
La traînée de poudre de l'affaire "Ligue du
LOL", révélée par Libération le 8 février, n'en finit pas de mettre
le feu aux rédactions. Les ramifications de ce réseau d'une trentaine de
journalistes et communicants parisiens qui, à partir de 2009 et durant
plusieurs années, ont harcelé des consœurs, des blogueuses et parfois des
hommes, sont encore loin d'être totalement mises au jour.
Sur le même sujet
Six journalistes ont d'ores et déjà été mis à pied par
leurs directions et plusieurs collaborations ont été suspendues. Mais le grand
ménage est loin d'être fini car c'est tout un système de cooptation qui a
permis aux caïds du Net de prospérer. "Le harcèlement sous couvert
d'humour, qu'on ne serait pas assez cool pour comprendre, ça commence avant
même l'entrée dans les rédactions", alerte ainsi Marylène Iapichino,
une ancienne étudiante de l'école de journalisme de Grenoble (EjdG), où
sévissait ces dernières années un groupe Facebook appelé
"Ul-team-hate". Victime de moqueries, d'attaques sur son physique, la
jeune femme a vite quitté le groupe Facebook interpromo de l'EjdG.
Ils ont essaimés dans tous les
médias dits "progressistes"
Son cas est loin d'être isolé. Sur les réseaux
sociaux, d'autres incidents sont relatés par les jeunes femmes qui en auraient
été victimes, des années après les faits. Ils se seraient déroulés notamment au
sein de la prestigieuse école de Lille, l'ESJ. Ces dernières années, avec
l'essor des rédactions web, une nouvelle génération de journalistes - et leur
culture "boys club", sexiste, raciste et homophobe - a investi les
médias. Trentenaires, Blancs, parisiens, pionniers de Twitter, ultra-connectés,
ils fonctionnaient en supra-rédaction. Ils ont essaimé dans tous les médias
dits "progressistes", se cooptant les uns les autres. Maîtrisant
Internet mieux que personne à l'heure où la presse papier se meurt, ils ont
trouvé, dans plusieurs rédactions, des appuis en haut lieu. Parmi eux, Johan
Hufnagel, aujourd'hui à la tête de Loopsider.
Rédacteur en chef de Slate.fr en 2010, il a employé
Christophe Carron et Vincent Glad, respectivement membre actif et fondateur de
la Ligue du LOL. Nommé directeur des rédactions de Libé en septembre
2014, il fait venir Glad en qualité de pigiste, puis promeut au poste de chef
adjoint du Web Alexandre Hervaud, autre membre de la Ligue du LOL, après
l'avoir titularisé à l'été 2015. Johan Hufnagel - qui n'a pas répondu à nos
sollicitations - avait été averti des faits dès 2010 par une lettre rédigée par
des victimes de la Ligue du LOL. Il expliquait ces derniers jours sur Twitter :
"Je savais qu'il y avait une bande de potes à aimer les clashs, mais
j'ignorais tout de l'ampleur des harcèlements."
Des faits sous-estimés
Il n'est pas le seul à "ne pas avoir pris la
mesure" des faits. La légèreté tragique de nombreux responsables de
médias a permis à certains de se hisser au sommet de la chaîne. C'est le cas du
communicant et influenceur web Emery
Doligé, connu sous le pseudo de MrY, et grand amateur de pornographie.
Après avoir été chargé de la communication digitale du président de Lagardère
Active (Europe 1, le JDD, Paris Match...) Denis Olivennes, il a assuré une mission de conseil d'un
an et demi, jusqu'à l'été 2018, à France Télévisions, au côté de Delphine
Ernotte.
Or, une blogueuse mode, Delphine Desneiges, alias
@DeedeeParis, vient de révéler la main courante qu'elle a déposée à son
encontre après le déferlement d'attaques et d'insultes dont elle a fait l'objet
sur le réseau social, de 2007 à 2009.
Contacté, Emery Doligé, qui ne conteste pas les
accusations, "laisse faire le tribunal du buzz". Il est, pour
l'heure, très engorgé. »
Celuiqui a effacé très récemment plus de 4.000 tweets (bas de post) et conseillait donc Ernotte que le Pouvoir a largement pris en grippe, n’avait
pas hésité à railler France Télés lors de l’éphémère émission de Sophia Aram
qui avait fait un bide retentissant.
Le blog
CGC Média qui malgré les effacements de
MrY en a retrouvé quelques-uns, vous propose également
une de ses envolées lyriques de l’intéressé sur la circoncision (c’est cadeau)