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samedi 26 octobre 2019

Philippe Bailly conseilleur autoproclamé dont la boite NPA connait de grosses difficultés va-t-il aider le trio Riestero-Philippo-Errnottien ?

Philippe Bailly conseilleur autoproclamé dont la boite NPA connait de grosses difficultés va-t-il aider le trio Riestero-Philippo-Errnottien ?  


Le 24 octobre dernier, « La Lettre A » révélait les gros problèmes que connait actuellement « NPA Conseil, le cabinet spécialisé dans les média dirigé par Philippe Bailly » 


« Le commissaire aux comptes de NPA Conseil, cabinet spécialisé dans les médias, a refusé de certifier les comptes. Il estime qu'il y a un risque sur la continuité d'exploitation. La société dirigée par Philippe Bailly a aussi fait l'objet d'un redressement fiscal… ».
Philippe Bailly pas plus qu’NPA, ça ne dit sûrement pas grand-chose à beaucoup de monde mais il convient, ici, de rappeler comme le faisait le blog CGC Média le 17 octobre 2018 dans son article « Philippe Bailly de NPA au service d’Ernotte comme de Franck Riester ! » qu’à peine Franck Riester avait-il été nommé par Édouard Philippe il offrait ses services au nouveau ministre de la Culture, et ce au moment-même où sortait une enquête signée Jamal Henni qui pour BFM TV publiait une décision de Justice de 39 pages faisant référence à l’intéressé.

Il y était question « du compte twitter au nom de Didier Lombard et à l'adresse DidierLombard1, des  twittos qui s’étaient mais à gazouiller dès septembre 2014 sur les médias et surtout les télécoms, disant beaucoup de bien d'Orange et tapaient  régulièrement sur SFR (propriétaire de ce site web), mais surtout sur Free et son fondateur Xavier Niel….et surtout de "plusieurs adresses IP aboutissent à la société NPA Conseil", cabinet de conseil créé en 2003 avec à  sa tête, Philippe Bailly, également le principal actionnaire avec 95% du capital qui revendiquait 2,4 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2017…. » 

Celui qui conseillait Pflimlin comme l’ex-Orange et qui poussait également sans retenue Aurore Bergé mais aussi dressait quasiment la feuille de route de Franck Riester via LinkedIn dans une publication au titre sans ambiguïté « Pourquoi Franck Riester précisera bientôt les contours de la réforme audiovisuelle », (*) va-t-il reprendre du service et signer quelques nouveaux contrats de Conseil afin de pousser – vainement, soit dit en passant – l’ex-Orange pour qu’elle s’inscrive dans l’abracadabrante réforme Riestero-Philippienne qui veut recréer l’ORTF ?  

Cela parait aujourd’hui, tout de même peu probable !

Extrait :
(*) Pourquoi Franck Riester précisera bientôt les contours de la réforme audiovisuelle
( Voir l'intégralité du texte ici) 
Philippe Bailly Follow


Ce mardi 16 octobre, les communiqués « se réjouissant de », « se félicitant de » ou « saluant » la nomination de Franck Riester se sont multipliés de la part des organisations professionnelles de l’univers culture et médias [Lesquels et où l’intéressé les a –t-il vu ? ndlr] dans des termes assez proches de ceux qui avaient accueilli Françoise Nyssen il y a moins de 18 mois. 
Mais au-delà d’une forme de rite républicain que ces messages semblent reproduire, son arrivée rue de Valois contribue à préciser les orientations de la prochaine réforme de l’audiovisuel: comparer les sujets et projets qu’il a défendus en tant que parlementaire, les publications récentes (rapport Bergé (*), propositions du CSA), et les expressions publiques tenues lors du 28e Colloque NPA / Le Figaro par la députée Aurore Bergé (*), le sénateur Jean-Pierre Leleux, le Président de l’Hadopi Denis Rapone, ou encore celui du CSA Olivier Schrameck (pour accéder au replay vidéo de la journée c’est ici) fait bien ressortir les lignes de force qui devraient figurer dans le projet de loi...

Le cap qu’il suivra sur le sujet constitue donc l’une des incertitudes majeures de la prochaine réforme.
Le calendrier dans lequel celle-ci sera conduite représente l’autre question clé. Intervenant lors de la présentation du rapport Bergé, sa prédécesseure Françoise Nyssen avait évoqué un dépôt du projet de loi en conseil des Ministres en mars 2019, imposant que le texte en soit bouclé fin 2018. 

Il reviendra à Franck Riester de dire s’il endosse cet agenda. »

Est-ce bien cela à quoi pensait Emmanuel Macron lorsqu’il parlait de big bang ?

Sera-t-il prêt ; le Chef de l’État, à garder comme le capitaine Haddock ce sparadrap de la 3ème coupure pub et du retour de l’ORTF flanqué de la couteuse et phraonique usine à gaz qui s’y rattache mais surtout de la question qui le poursuivra constamment, celle que pose entre autres cette semaine Télérama dans un article plutôt musclé: « L'exécutif voudrait-il mettre France Médias "en marche" pour la présidentielle de 2022 ? En tout cas, il ne s'y prendrait pas autrement » ?



vendredi 25 octobre 2019

L’ex-Orange cherche des boucs-émissaires aux changements de structure du bâtiment qu’elle a décidés.

L’ex-Orange cherche des boucs-émissaires aux changements de structure du bâtiment qu’elle a décidés.


Après le récent passage de la commission de sécurité qui s’est pointée à France Télévisions et y a découvert l’ampleur des travaux décidés un peu partout à France Télés par l’ex-Orange, particulièrement ceux qui touchent à la structure, cette dernière était invitée à répondre aux nombreuses questions restées sans réponse.

Le 4 octobre dernier, le blog CGC Média dans son article intitulé « La commission de Sécurité constate la non-conformité de travaux engagés à France Télés » indiquait d’ailleurs que la commission avait suspendu la poursuite des travaux et visiblement interdit le public sur les plateaux

A force de planter des open-spaces partout (en dehors de l’aspect anxiogène que cela provoque) donc d’élargir les espaces qui à l’origine n’ont jamais été conçus pour ça, l’ex-Orange qui en prend la responsabilité, fait peser de graves dangers sur les personnels avec de tels choix modifiant grandement la structure.

Il faut par exemple changer l’ensemble des moteurs d’extraction qui ne sont évidemment plus adaptés dans de telles conditions…entre autres problèmes.


Les dispositions légales en la matière sont pourtant claires «Dans le cas où les travaux envisagés ne nécessitent pas de permis de construire, l'exploitant (ou le maître d'ouvrage) de l'ERP (Établissent Recevant du Public) doit obtenir une autorisation de travaux auprès du maire, notamment si les travaux sont soumis à déclaration préalable. Dans ce cas, la déclaration préalable est demandée en parallèle à l'autorisation de travaux».

Seulement voilà, à France Télés les règles, on s’en bat l’œil…pas uniquement les dispositions sécuritaires, non, c’est plus largement l’ensemble des textes qui tout au long de l’année est galvaudé.  

Dire qu’Édouard Philippe, l’un des derniers à encore soutenir Ernotte – on se demande pourquoi ! –  rappelait ce matin en visite à Rouen sur le site de Lubrizol, l’impérieuse nécessité de respecter les règles pour éviter les risques mais aussi le devoir de sanctionner celles et ceux qui se rendent coupables d'infractions mettant en danger les personnes !


jeudi 24 octobre 2019

Le tandem candilo-ernottien fossoyeur de la télé publique, en route pour une procédure judiciaire signée Hondelatte !

Le tandem candilo-ernottien fossoyeur de la télé publique, en route pour une procédure judiciaire signée Hondelatte !  

C’est en tout cas, ce que Christophe Hondelatte qui coprésente «Faites entrer l’accusé»  avec  Frédérique Lantieri, annonce face à la décision du tandem candilo-ernottien qui depuis des mois déleste le ballon gonflable France Télés imaginant peut-être éviter l’inéluctable crash programmée prochainement.

Chacun se souvient encore des bobards de Caroline Got, la responsable exécutive de France 2 qui, lors de la conférence de rentrée de France Télévisions en aout 2018, avait annoncé la fin de «Faites entrer l’accusé», avant de se rétracter quelques heures plus tard par tweet interposé «Nous rassurons nos téléspectateurs: aucune suppression de “Faites entrer l’accusé” sur notre antenne».

Baratin évidemment qui fait réagir aujourd’hui Christophe Hondelatte et Frédérique Lantieri, au passage de «Faites entrer l’accusé» sur RMC Story.

Les deux présentateurs sont bien légitimement vent debout contre une telle décision dans la lignée de toutes les précédentes ineptes choix qui, depuis l’été 2015 avec le parachutage de l’ex-Orange, n’ont fait que tirer la télé publique vers le bas mais également casser l’outil de travail. 

« Elle fait le job » indiquent d’ailleurs quelques-uns qui, sous les ors de Matignon, essaient vainement de faire passer le message de son impossible maintien ! 

Les réactions de deux présentateurs du magazine de faits divers diffusé sur France 2 entre 2000 et 2019 (*), qui  déplorent que le groupe France Télévisions laisse filer leur émission, est un élément supplémentaire – si tant est que la barque ne soit pas déjà assez pleine ! – prouvant la casse globale engagée au quotidien avant la fin du compte-à-rebours qui déclenchera l’explosion. 

(*) Extraits du Figaro.fr qui relaie notamment les propos tenus auprès de Télé-Loisirs et du Parisien/Aujourd’hui en France

«Je trouve que cela serait dommage qu’une telle marque, qui possède une telle notoriété, disparaisse», avait réagi Frédérique Lantieri auprès de Télé-Loisirs. Le sursis du magazine de faits divers lancé en 2000 avec Christophe Hondelatte à la présentation sera en réalité de courte durée. Après deux numéros diffusés deux mercredis de suite en deuxième partie de soirée en janvier dernier, «Faites entrer l’accusé» a disparu des grilles de France 2 alors que plusieurs inédits étaient encore disponibles…


«Je ne comprends pas pourquoi France Télévisions laisse filer une marque aussi emblématique du service public, qui a été financée pendant vingt ans par de l’argent public, donc par les impôts des Français», a déploré [très justement, ndlr] Frédérique Lantieri auprès du Parisien / Aujourd’hui en France. La journaliste trouve «désolant» que France Télévisions «brade» les droits de près de 250 numéros de «Faites entrer l’accusé».

Même agacement du côté de Christophe Hondelatte qui s’est dit «furieux» de cette cession à RMC Story. «Je m’y opposerai par voie de droit», a-t-il assuré à nos confrères. Celle qui lui a succédé à la présentation du magazine de faits divers a également annoncé vouloir faire intervenir ses avocats. »


France Ô : « Non au précipice numérique, à l’uberisation des métiers et à stop à la casse programmée de la chaîne » lancent les élus SNPCA-CGC/UNSA.

France Ô : « Non au précipice numérique, à l’uberisation des métiers et à stop à la casse programmée de la chaîne » lancent les élus SNPCA-CGC/UNSA.

En liminaire du CSE de l’établissement France Ô-Malakoff, les élus SNPCA-CGC/UNSA lisent en séance, une fois encore, un texte soulignant entre autres l’écœurement des personnels face à l’invraisemblable fermeture de la chaîne ultramarine et plus largement au mépris de l’équipe encore en place pour l’instant qui continue de casser l’entreprise en dépit de pseudo discours prétendant fallacieusement le contraire !

Le blog CGC Média vous propose de découvrir ce texte.

« Ô, la fin d’une histoire !

A quelques mois de la fermeture annoncée définitive de France Ô, beaucoup de salariés de Malakoff continuent de s’inquiéter quant à leur avenir au sein de France Télévisions malgré les discours se voulant rassurant de la direction. 

Pour le SNPCA-CGC et l’UNSA, nous continuons de réaffirmer que la soi-disant « révolution numérique » ne doit pas conduire à l’uberisation de nos métiers et de notre travail. Il y a urgence à ralentir notre précipitation vers le tout numérique en maintenant et en continuant de travailler nos savoirs faire et nos processus actuels...au cas où !!! Le numérique n’est pas une fin en soi. Il est un moyen de poursuivre [au sens de relayer, ndlr] au sein de France Télévisions nos missions d’information, d’éducation et de divertissement de service public ! A partir du moment où le numérique n’offre pas POUR L’INSTANT les garanties nécessaires au retour sur investissement, il convient plus que jamais de ne SURTOUT PAS METTRE TOUS SES ŒUFS DANS UN MÊME PANIER! 

Autre point…Certains salariés vont quitter la société dans le cadre de la RCC. Combien d’entre eux vont être remplacés ? C’est l’incertitude totale !
Concernant tous ces départs, qu’est-ce qui est prévu pour les remercier de ces 10, 15, 20 voire 30 ans ou plus, de collaboration et de don de soi passées dans cette grande famille qu’est France Télévisions ?

Va-t-on simplement les accompagner vers la sortie avec un chèque et une simple poignée de main ?

Comment voulez-vous que parmi ceux qui restent beaucoup ne soient pas agacés, écœurés, démotivés par ce « simple » manque de reconnaissance ? Comment la direction souhaite-t-elle maintenir la motivation de ceux qui restent quand ces derniers découvrent cette forme de mépris ? 

C’est rompre d’une manière bien blessante le lien qui a uni celles et ceux qui se sont investis dans l’entreprise pour assurer les missions qui leur étaient confiées. C’est surtout, ici à Malakoff, rompre avec cette tradition ô combien essentielle et ô combien ultramarine d’honorer celles et ceux qui ont fait France Ô, Outre-mer la 1ere, AITV et RFO... 

mardi 22 octobre 2019

Chaises musicales à France 3 AURA…Faucon souffle le chaud et le froid avant la très prochaine explosion au siège de France Télévisions.

Chaises musicales à France 3 AURA…Faucon souffle le chaud et le froid avant la très prochaine explosion au siège de France Télévisions.

Tout commence par une information officieuse circulant dès hier jeudi 17 octobre : le rédacteur en chef Jean Forneris de France 3 Auvergne, en poste depuis sept ans, le premier à s’être activement illustré dans l'affaire du fichage occulte des salariés, va donc (enfin) quitter son poste. Pas de cause à conséquences cela va sans dire !! 

André Faucon le lieutenant régional de l’ex-Orange en AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) lui a choisi un nouveau point de chute: Orléans...les journalistes sur place en font déjà des bonds de quinze mètres !
L’annonce de sa mutation fut officiellement faite à l'ensemble de la Rédaction clermontoise ce 18 octobre avec en prime, la confirmation simultanée du nom qui circulait depuis la veille du remplaçant de 'l'infortuné" Forneris (qui se serait bien vu terminer sa carrière à Chamalières) Stéphane Moccozet.

Délégué au numérique pour AURA, quadra aux dents acérées, arrivé sur place comme simple pigiste vingt auparavant et propulsé rédacteur en chef d'une antenne qui l'a vu grandir, allait donc enfin connaître l’air des sommets !

Seulement voilà, la Rédaction n'est pas d'accord mais alors là...pas du tout d’accord ! Les journalistes, pourtant peu habitués à se mobiliser contre les excès de leur direction préviennent : Si Moccozet est nommé : "ce sera le feu à la Rédaction". 

Quelques heures plus tard, Faucon, déjà empêtré dans l'affaire de la tentative de suicide à Grenoble, recule et fait marche arrière : non, finalement il ne nommera Moccozet à la place de Forneris devant une telle levée de boucliers... arvernes ! 

Alors ? Quid de Forneris ? Restera-t-il finalement à Chamalières? Que nenni ! ll laissera sa vie clermontoise à deux heures quarante de route. Sur place, chacun s'est déjà renseigné sur le zélé des ficheurs où l'attend de pied ferme Valérie Giacomello. Il se murmure que flirtant avec la soixantaine, l’intéressé n’a guère eu le choix "c'était Orléans ou la sortie" !

Et Moccozet dans tout ça ? Pas de chance pour le favori de Faucon qui avait selon nos informations déjà acheté un appartement à Clermont-Ferrand, prêt à s'y fixer pour un moment..il n’ira pas. Son mentor le lâche pour ne pas dire le sacrifie !

Conclusion : 

Voilà notre Faucon des Alpes, d'Auvergne et des Monts du Lyonnais - il a sévi sur les trois antennes - contraint de nommer...à titre provisoire un adjoint sur place: Sébastien Naissant. 
De leur côté, deux de ses concurrents doivent patienter, peut-être piaffer voire intriguer au cas où: Pierre-Olivier Belle et le très zélé également Kamel Tir délégué syndical CGT juste avant d’être promu « cadre de l’Encadrement local »…Espérons qu’il se remettra vite – il est en arrêt maladie depuis quelques jours – et que le fait ne pas avoir été désigné immédiatement comme successeur de son ami de toujours Jean Forneris n'interfèrera aucunement avec son rétablissement !

Décidément, les guerres de succession n'ont pas lieu si souvent dans la région et plus précisément à Chamalières mais lorsqu’elles arrivent, comme l’aurait dit Audiard, la meilleure des tactiques c’est bien de "défourailler le premier" !


lundi 21 octobre 2019

Nouvelle méga claque pour Ernotte et son numérobis Takis qui avec la diffusion La course des champions n'attire que 6,5% du public, un samedi soir !


Nouvelle méga claque pour Ernotte et son numérobis Takis qui avec la diffusion La course des champions n'attire que 6,5% du public, un samedi soir !

Ils se sont crus plus malins que tout le monde, celle qui avec l’aide de l’abracadabrante réforme Riestero-Philippienne et 2022 en ligne de mire veut continuer de casser la télé publique mais aussi celui qui sillonne tout Paris pour la faire prolonger dans cette entreprise, en achetant un prix d’or avant même sa diffusion aux États-Unis un programme que CBS déprogrammait dès sa première diffusion.

Pas besoin pourtant d'être grand clerc pour imaginer la gamelle qu’allait se ramasser le tandem d’anti visionnaires donné sur le départ !

Le blog CGC Média avait dès mai dernier, relayé les gros soucis de la Warner qui changeait de créneau, d’horaire et de jour la demi-douzaine d’émissions en boîte pour tenter de sauver les émissions restantes !


Samedi 19 octobre, La course des champions n’a pas remonté la pente avec un deuxième rendez-vous particulièrement boudé par les Français qui n’ont été cette fois-ci que 6.5% à suivre l’émission, en chute libre avec 2,2 points de moins d’une semaine sur l’autre.
France 2 dégringole en passant à la 5ème position derrière France 5.

L'émission pourrait encore descendre en audience...jusqu'où ? La question c'est France 2 qui se la pose avec le slogan du programme: Jusqu'où irez vous?