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samedi 2 août 2025

Le parquet de Paris confirme analyser un signalement pour « outrage à magistrat » visant Rachida Dati l’ex pote de holding d’Ernotte.

Le parquet de Paris confirme analyser un signalement pour « outrage à magistrat » visant Rachida Dati l’ex pote de holding d’Ernotte. 

Rachida Dati encore ministre de la Culture dans me gouvernement Bayrou, putative maire de Paris et probable candidate «  libre » (toujours au moment où nous écrivons…donc sans investiture) à la législative partielle dans la deuxième circonscription de Paris contre Michel Barnier, fait l’objet d’un signalement déposé le 28 juillet 2025 auprès du parquet de Paris pour « outrage à magistrat » et « discrédit visant la justice », suite à des propos tenus le 22 juillet sur LCI.

Ces déclarations, critiquant violemment des magistrats dans le cadre de son renvoi en procès pour corruption dans l’affaire Carlos Ghosn, ont été jugées attentatoires à la dignité et à l’indépendance de la justice par Raymond Avrillier, un ex-élu grenoblois militant anticorruption. 

Le parquet de Paris confirme analyser actuellement ce signalement, ainsi que d’autres concernant des bijoux non déclarés et des honoraires perçus de GDF Suez comme l’avait révélé « complément d’enquête » diffusé sur La Deux, il y a peu, Sur les antennes de France Télévisions où Delphine Ernotte son ex pote de holding à présent, avait été parachutée à l’été 2015. 

Les avocats de Rachida Dati dont Me Olivier Pardo, ont exprimé leur « étonnement » face à cette démarche, tandis que le président du tribunal judiciaire de Paris, Peimane Ghaleh-Marz, a quant à lui dénoncé « l’opprobre jeté publiquement » sur la profession.

vendredi 1 août 2025

Nagui attaque les arènes d’Arles pour « parasitisme » (*) C’est assez cocasse lorsque l’on connaît la définition du mot.

Nagui attaque les arènes d’Arles pour « parasitisme » (*) C’est assez cocasse lorsque l’on connaît la définition du mot. 

(*) Parasitisme: 

1. Mode de vie du parasite.

2. État d’un être qui vit sur un autre parasite.

Alors que les critiques pleuvent sur la nouvelle vision d’Intervilles signée Nagui dont les audiences sont catastrophiques, à commencer par  Claude Savarit co-créateur historique du jeu, on apprend que la société Banijay Production Media, co-fondée par Nagui, a assigné en justice les arènes d’Arles pour « parasitisme » suite à l’organisation d’un spectacle intitulé « Le Choc des arènes » le 21 juillet 2025. 

Selon l’animateur-producteur, cet événement qui opposait Nîmes à Arles avec des jeux impliquant des vachettes et des structures gonflables, serait trop similaire au concept de l’émission «  Intervilles », dont il détient les droits mais dont il n’est evidemment pas à l’origine. La société réclame 270 000 euros de dommages et intérêts. Ben voyons! Ernotte et France Télévisions donc les Français ne le paieraient-ils pas assez ?

Lola Jalabert, directrice des arènes, conteste ces accusations, affirmant que « Le Choc des arènes » s’inscrit dans la tradition des jeux taurins du Sud de la France, bien antérieure à « Intervilles » . Elle précise avoir modifié le nom de l’événement (initialement Intervalles, puis Intravill’s) et les épreuves pour éviter toute confusion. L’audience est prévue le 9 octobre 2025. En attendant la décision, les arènes ont suspendu leurs projets pour 2026.

De son côté Claude Savarit envisagerait, lui aussi une action en justice contre Banijay pour la version relancée par Nagui, estimant qu’elle trahit l’esprit original du programme.

Cette affaire met en lumière un conflit entre la protection de la propriété intellectuelle d’un format télévisuel et la défense des traditions culturelles locales...À moins que ce soit la gourmandise de certains qui n’en ont jamais assez ?!


Xc



jeudi 31 juillet 2025

Les Français invités à supprimer l’Arcom depuis le 3eme parachutage d’Ernotte dans le doute.

Les Français invités à supprimer l’Arcom depuis le 3eme parachutage d’Ernotte « dans le doute ». 

La publication au Journal Officiel de la mascarade intervenue le 14 mai dernier soulignant « La volonté de privilégier la continuité dans un contexte marqué par des incertitudes majeures, notamment en raison du projet de création d’une holding pour regrouper les entités de l’audiovisuel public… » pour tenter de justifier le maintien de l’ex-Orange, est sûrement la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

La plainte que dépose la CGC audiovisuel pour faire annuler cette mauvaise blague et condamner pour complicité et recel les protagonistes de cette vaste fumisterie, conclut au même constat. 

L’Agence d’État budget dont le budget de 50 millions d'euros pour 2025, en infime baisse par rapport à 2024 (51,3 millions d'euros), principalement financé par des fonds publics via la loi de finances et des contributions des acteurs de l’audiovisuel, tels que les chaînes de télévision et les plateformes de streaming, à fini par agacer au plus haut point les Français.

A tel point que l’appel vient d’être lancé, via le site de l’Assemblée pour cette courroie de transmission du Pouvoir.

Ci-après le lien pour la signer (plus de 5000 signataires déjà au moment où nous écrivons.

https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-2017







mercredi 30 juillet 2025

Le feuilleton de M6 aux audiences catastrophiques pourrait s’arrêter et précipiter France Télévisions encore plus dans le rouge !

Le feuilleton de M6 aux audiences catastrophiques pourrait s’arrêter et précipiter France Télévisions encore plus dans le rouge ! 

Chacun se souvient du projet d’extension des studios  de France Télévisions lancé en novembre 2024 à Vendargues avec deux nouveaux bâtiments comprenant quatre plateaux de 300 à 800 m², soutenus par le plan France 2030. 

Projet qui visait à doubler la capacité de tournage et à accueillir davantage de productions, y compris celle de M6, « renforçant l’attractivité de la région Occitanie pour l’industrie audiovisuelle » selon l’ex-Orange.

La Six a décidé, l’an dernier, de louer à l’année l’un des plateaux de 1 133 m² pour sa série, faisant d’un groupe public payé par les contribuables, un prestataire du Privé, en l’occurrence de métropole TV. Le tournage avait du reste débuté au printemps 2025.

La filiale de France Télévisions qui y produit la série quotidienne « Un si grand soleil » ayant chèrement investi pour y construire ces nouveaux studios, ne peut que constater les audiences catastrophiques qu’enregistre « Nouveau jour » avec des scores de pire en pire, passant même sous la barre des 700.000 téléspectateurs le vendredi 18 juillet dernier. L’éphémère embellie des 23 et 24 juillet, avec plus d’un million de téléspectateurs réunis, n’a rien changé au global !

Diffusé à 20h40, le programme «n’a pas été à la hauteur des attentes» ou bien «n’a pas encore trouvé son public» peut-on entendre, ici et là. A tel point que la chaîne, a été contrainte de rappeler « En famille » à la rescousse.

De récents posts sur la toile souligne les dégâts :

Par exemple, un post du 25 juillet 2025 sur X qui indique que le feuilleton quotidien de M6 a atteint tout juste un million de téléspectateurs avec 6% de part de marché, ce qui est relativement faible. 

Un autre post du 16 juillet 2025 souligne que M6 n’a pas dépassé les 2 millions de téléspectateurs en prime time depuis un mois, signalant des difficultés globales pour la chaîne.

L’arrêt de la série quotidienne pour M6 qui utilise france.tv studio à Vendargues., serait donc un nouveau coup dur pour France Télévisions, déjà fortement dans le rouge qui viendrait alourdi la liste suite des hasardeux  choix ernottiens comme Salto, Nowu, etc…sur lesquels l’Arcom écrit « avoir fondé sa décision ».



mardi 29 juillet 2025

Quand Ernotte aura fini de tout refiler à Mediawan, Brut et Banijay, le groupe public aura vécu !

Quand Ernotte aura fini de tout refiler à Mediawan, Brut et Banijay, le groupe public aura vécu !

Le blog CGC Média l’a écrit des centaines de fois depuis le premier parachutage d’Ernotte exfiltrée d’Orange alors que la justice était amenée à se prononcer sur la vague de suicides qui avait touché l’entreprise de téléphonie, si le groupe est aujourd’hui exsangue, Il est le fait des contrats signé depuis une décennie, trois groupe de production amis: Mediawan, Brut et Banijay.

Depuis l’été 2015, l’ex-Orange a fait de la sous-traitance à France Télévisions, son cheval de bataille. France Télévisions a effectivement accru sa collaboration quasi exclusive avec le trio de producteurs amis, notamment Mediawan et Banijay, qui dominent le marché de la production audiovisuelle en France. En 2023, Mediawan a généré 109 millions d’euros de chiffre d’affaires avec France Télévisions, représentant 40 % de ses activités de production en France, tandis que Banijay a réalisé 87 millions d’euros, avec des émissions phares comme « N’oubliez pas les paroles, Fort Boyard ou Taratata ». Brut, vient quant à lui, en plus du Festival de Cannes et  des pastilles « vidéo » chèrement, vendues à la chaîne d’info en continu pour un résultat d’audience qui oscille depuis 10 ans entre 0,5 et 0,9%, vient de se voir confier la totalité delle gros FranceTV Slash avec un juteux contrat visant la refonte de l’offre du média ciblé réseaux sociaux et jeunes publics.

France Télévisions chante que c’est en raison de contraintes budgétaires importantes, notamment une baisse de 86 millions d’euros des dotations publiques prévues pour 2024-2028 et un déficit net estimé à 72 millions d’euros en 2025, qu’il a recours à cette externalisation galopante.

Quant à Michel, 72 ans passés et toujours là Pour l’un des plus gros salaire du groupe, il raconte à qui veut encore l’entendre qu’il aurait demandé aux producteurs - Tous les autres, pas ceux qui ont signé avec Ernotte les contrats avant que l’Arcom organise son 3eme parachutage ! - de réduire leurs budgets de 5 %, tout en maintenant un investissement de 440 millions d’euros dans la production, dont 80 millions pour la production interne via France TV Studio….

Ben voyons…et à quel titre d’ailleurs ? 

Le leitmotiv rachido-ernottien qui prône le retour de l’ORTF dans une même usine à gaz, S’il venait à devenir réalité, permettrait à tous ces milliards de l’argent des Français dépensés avec ces boites de prod’ De ce fond, on va dans la masse et d’entraîner dans sa chute avec France Télévisions, les deux autres entreprises Radio France et l’INA. 

Cette dépendance pour n’è pas dire addiction à cette poignée de producteurs privés - La forte dépendance envers Mediawan et Banijay, dénoncée par certains médias (OFF INVESTGATION par exemple ) comme un « système d’oligarchie » favorisant un petit cercle de producteurs bien connectés, soulève d’ailleurs des questions sur l’indépendance éditoriale et financière de France Télévisions. 

 Cette externalisation, initiée dès les années 1990 sous Jean-Pierre Elkabbach et poursuivie sous Ernotte, est critiquée pour avoir réduit la capacité de production interne du groupe public, au profit de sociétés privées souvent liées à certaines personnalités proche du Pouvoir.

2. L’impact sur le service public de cette sous-traitance massive est d’affaiblir l’identité du service public en déléguant la création de contenus à des acteurs privés, dont les priorités peuvent diverger de la mission culturelle et éducative de France Télévisions. (cf franceinfo tv reposant sur des partenariats privés et une mutualisation excessive des moyens dont Brut avec Rodolphe Saadé en tant qu’actionnaire)

3. Système en proie à toutes les critiques, l’opacité étant la première d’entre elles. Des voix, comme celles relayées par Le Canard Enchaîné ou des posts sur X, dénoncent un « management toxique » et un système opaque depuis l’été 2015, où des contrats avantageux accordés à Mediawan, Banijay et Brut, le sont très presque toujours  au détriment de petits producteurs et surtout des salariés du groupe. Ces critiques suggèrent une concentration des ressources publiques entre les mains de quelques acteurs puissants, proches des cercles politiques et économiques.

4. La production interne s’est réduite comme peau de chagrin. Pas avec sa perpétuelle propagande sur France TV Studio, sa filiale de production interne, dont le chiffre d’affaires est passé de 40 millions d’euros en 2015 à 90,5 millions en 2023, notamment grâce à des productions comme « Un si grand soleil » et bientôt le feuilleton de M6 que France Télévisions imaginé faire à croire à un surcroît d’activité alors que dans toutes les régions, comme dans les territoires ultramarins mais aussi au siège, le travail est devenu une denrée rare! 

Si la sous-traitance continue à ce rythme, France Télévisions risque de devenir un diffuseur plutôt qu’un producteur, ce qui pourrait compromettre gravement sa capacité à remplir ses missions de service public voire à la voire disparaître.


lundi 28 juillet 2025

L’Ukraine : les autres chaînes d’info y sont mais pas France Télés dont l’ex-Orange a vidé les caisses.

L’Ukraine : les autres chaînes d’info y sont mais pas France Télés dont l’ex-Orange a vidé les caisses.

Toujours pas de départ d’équipe en Ukraine… Ce ne sont pas les vacances d’été qui sont en cause - Il n’y en a pas pour les ukrainiens qui se prennent des bombes au quotidien depuis trois ans - mais les caisses de France Télés qui en dix ans se sont vidées. Pas d’équipe de FTV depuis un mois. Rien, nada. Il reste encore quelques fonds de tiroirs pour les micro trottoir, évidemment mais c’est tout. 

Quant  à l’Ukraine 🇺🇦 Ernotte doit certainement penser malgré se pathétiques propagandes que la mission du service public audiovisuel ce n’est pas d’y être et de toute façon qu’une seule équipe de FTV pour alimenter toutes les antennes serait largement suffisant…enfin s’il y en avait une !

Il faut bien payer le grand salaire de Léa Salamé…et du trio de sociétés productions amies qui squatte toutes les cases antennes. 

Seulement voilà, la grogne continue de monter chez les  JRI et les rédacteurs. 

Nouvel effet entre autres des micros tendus aux passants dans un Paris encombré par la circulation : la difficulté de se garer. Les équipes de reportages prennent donc beaucoup le taxi et évidemment la direction n’a pas mis en place un abonnement avec la G7…toujours à cause des pépettes histoire de réduire encore les coûts. 

Mais là, c’est plein pot…donc comme ça représente beaucoup d’argent. Cerise sur le gâteau, est demandé de justifier pourquoi l’équipe n’a pas pu prendre les transports en commun plutôt que le taxi ?! 

Une blague…vivement le holding, pour que tout soit noyé dans la masse, et que les pauvres salariés de Radio France et de l’INA en prennent pour leur grade.

Réduction des coûts à tous les étages 

Même les plus debiles

dimanche 27 juillet 2025

Censure, 49.3 ou dissolution ?

Il n’y a plus aucun intérêt pour l’ex-Orange et sa garde rapprochée à défendre aujourd’hui le holding France Medias, sachant que celle qui prônait tous azimuts son impérieuse mise en place, n’en sera pas aux commandes.

Le chaos paraît donc être la seule solution pour que Delphine Ernotte continue sa casse réglée de l’entreprise. La dénonciation de l’accord d’entreprise en est l’un des axes principaux. Le but : contraindre Sibyle Veil, la présidente de Radio France et le président de l’INA à dénoncer leur accord d’entreprise respectif.

Il n’est en effet pas possible par exemple, au sein d’une même entité d’avoir plusieurs collaborateurs par différentes couverture sociales. Les salariés des trois entités devront être traité de la même façon et leur pédégé respectif subit la même fronde que celle qui va s’abattre sur Ernotte et France Télés dès septembre.

Quant à la toujours ministre de la culture qui prétend que cette fusion se fera sans casse et qu’avant le débat  sur le budget 2026 à l’Assemblée nationale, cette reforme sera adoptée grâce au soutien des sénateurs et ce malgré ses démêlées judiciaire et sa campagne pour la législative dans la deuxième circonscription de Paris ainsi que celle pour la mairie au municipal de 2026, le chemin à quelques milliards d’euros est encore long car ayant un impact majeur sur le vote du budget. 

L’absence de majorité, des divergences idéologiques marquées et les choix budgétaires controversés, notamment l’année blanche et la réduction des dépenses sociales, nonobstant le risque d’un recours au 49.3 et d’une censure subséquente menace la stabilité du gouvernement. 

D’où l’hypothèse d’une nouvelle dissolution après les grandes vacances pour essayer de rebattre les cartes et minimiser les tensions actuelles ou les alliances inattendues entre oppositions qui compliquent la recherche d’un compromis. 


samedi 26 juillet 2025

L'État injecte 100 fois moins à Radio France qu’à France Télévisions en 2023.

L'État injecte 100 fois moins à Radio France qu’à France Télévisions en 2023. 

L'État vient de procéder a une nouvelle augmentation de capital de Radio France de près de 300 000 euros. C’est 100 fois moins que les près de 32 millions d’euros qui ont servi à recapitaliser France Télés en juin 2023.

Cette nouvelle augmentation de capital de Radio France, selon un arrêté du 13 juin dernier du ministère de l'Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, paru le 22 juillet au "Journal officiel" serait nécessaire à la transformation de l’entreprise 

Après 6,5 millions d'euros en 2023 et 800 000 euros en 2024 (cf. CP des 13/07/2023 et 27/06/2024), ce sont près de 300 000 euros (294 840 euros exactement) que l'Etat injecte dans Radio France via l'émission de 7 560 nouvelles actions ordinaires de 39 euros de valeur nominale chacune. Le capital social de l'entreprise publique s'élève donc désormais à 56 560 023 euros.

Et Dati qui racontait à qui voulait l’entendre que la holding France Medias ne coûterait pas un centime aux Français… Alors qu’en réalité ce seront probablement des milliards qui seront engloutis dans cette nouvelle usine à gaz

vendredi 25 juillet 2025

Le procureur du PNF publie un communiqué démentant catégoriquement les allégations de Rachida

Le procureur du PNF publie un communiqué démentant catégoriquement les allégations de Rachida Dati.

Qu’est-ce qu’il demandait exactement François Bayrou à Bruno Retailleau après sa récente interview après que la porte-parole du gouvernement a affirmé que Rachida Dati, elle "est libre de ses propos"? "Respect et mesure" c’est bien ça ! 

Le 22 juillet 2025, lors d'une interview sur LCI, Rachida Dati renvoyée en procès pour des accusations de corruption et de trafic d'influence dans l'affaire Carlos Ghosn, avait vivement critiqué la justice, dénonçant une procédure "émaillée d'incidents" et accusant certains magistrats de bafouer les droits de la défense. 

Elle avait, entre autres, affirmé que Jean-François Bohnert, procureur du Parquet national financier (PNF), lui aurait dit en privé que son parquet "dysfonctionnait" et que les accusations contre elle "ne tenaient pas". 

En réponse, le 23 juillet 2025, Jean-François Bohnert a publié un communiqué (*) démentant catégoriquement ces allégations. Il a réaffirmé son "total soutien" aux magistrats du PNF et précisé qu'il avait personnellement validé l'analyse de son équipe demandant le renvoi en procès de Dati, contredisant ainsi ses déclarations. 

(*) 

Rappelons juste avant que le président du tribunal judiciaire de Paris, Peimane Ghaleh-Marzban, a dénoncé "l’opprobre jeté publiquement sur des magistrats" par Dati, soulignant que ses propos portaient atteinte à la confiance dans l’institution judiciaire.

jeudi 24 juillet 2025

Ernotte et les 25.000€ de Léa Salamé pour présenter le 20h alors que les caisses de France Télés sont un trou béant et que tombe la couverture des salariés.

Ernotte et les 25.000€ de Léa Salamé pour présenter le 20h alors que les caisses de France Télés sont un trou béant et que tombe la couverture des salariés.

Toute la toile s'indigne aujourd'hui après l'article de Libération signé Sophie des Déserts,  du salaire mensuel que va percevoir Léa Salamé pour présenter le JT de 20H à la place d'Anne-Sophie Lapix dont Ernotte a annoncé le départ dans la presse. (*)

(*)

Le salaire de la future présentatrice du journal télévisé de France 2 a été révélé par le quotidien qui indique : "BFM lui proposait l'équivalent, chaque soir, pour un salaire proche de 50 000 euros par mois. Salamé a préféré le JT de France 2, qui alignait deux fois moins, à condition de garder Quelle Epoque ! Le show, l'info, elle veut tout, Ernotte a cédé, persuadée qu'elle seule saurait relever l'audience du JT, dépassée par 'TF1."

Hallucinant...Imaginez la tête des salariés de France Télés dégoutés des 10 ans qu'ils viennent de subir !

Que BFM propose à la compagne de Raphaël Glucksmann un salaire proche de 50 000 euros par mois, ça le regarde...c'est du Privé mais que l'ex-Orange alors qu'elle a menti à l'Arcom pour  dénoncer l'accord d'entreprise - histoire de mettre le chaos dans l'entreprise publique - c'est une honte...

Surtout qu'à ce salaire s'ajoute ce qu'elle touche pour Quelle Epoque ! qu'elle conserve en plus de ces incroyables émoluments. 


"Respect et mesure" demande François Bayrou à Bruno Retailleau après sa récente interview mais Rachida Dati, elle "est libre de ses propos".

"Respect et mesure" demande François Bayrou à Bruno Retailleau après sa récente interview mais Rachida Dati, elle "est libre de ses propos".

Alors qu'hier Sophie Primas la porte-parole du gouvernement interrogée sur les déclarations de Rachida Dati, la veille sur le plateau de LCI, dénonçant une "procédure émaillée d'incidents" et accusant "J'accable les magistrats qui refusent de faire leur travail selon le code de procédure"ajoutant ils "marchent" sur les droits de la défense."l'opprobre jeté sur les magistrats", indiquait aux journalistes qui lui demandaient de réagir :  « Elle "est libre de ses propos" » (*) François Bayrou demande à Bruno Retailleau "Respect et mesure".

Même Borne ministre de l'Éducation donne des leçons de conduite à son collègue du gouvernement.

Comme suite à l'annulation du rendez-vous avec Emmanuel Macron qui a demandé à François Bayrou de recevoir l'intéressé à sa place, l'actuel ministre de l'Intérieur et par ailleurs président d'un parti politique (LR)  - ce que n'est pas Dati ! - il est donc lui rappelé à l'ordre mais pas sa collègue de la Culture au gouvernement.

Lunaire...Le Pays est au bord de l'explosion quasi ingouvernable mais le triste spectacle que donne aux Français ces gens, attise chaque jour qui passe la vindicte qui va risque de s'abattre sur la Nation dans quelques mois si ça continue...

Et l'on reparle de dissolution après l'été...probablement le seule et unique solution ?!

mercredi 23 juillet 2025

Rachida Dati à la tête du ministère de l’Information, s’en prend à « ces magistrats qui refusent de faire leur travail » !

Rachida Dati à la tête du ministère de l’Information,  s’en prend à « ces magistrats qui refusent de faire leur travail » !  

Renvoyée en procès pour corruption, la toujours ministre de la Culture Rachida Dati s’en est prise  violemment aux magistrats mardi soir sur le plateau de LCI.

Dénonçant une "procédure émaillée d'incidents"elle lance "J'accable les magistrats qui refusent de faire leur travail selon le code de procédure", ajoutant ils "marchent" sur les droits de la défense.

Cela dit pour marcher sur les droits de la défense, il faut être accusé(e) !!

Rachida Dati est même allée jusqu'à dénoncer une "instrumentalisation honteuse" de l'affaire par ses adversaires politiques.

Rachida Dati a également affirmé que le procureur financier lui avait confié que les accusations contre elle "ne tenaient pas"

Des affirmations rejetées en bloc par le procureur financier, qui assure son total soutien aux magistrats.

Le président du tribunal judiciaire de Paris, dénonce pour sa part "l'opprobre" jetée sur les magistrats par l'ancienne ministre de la Justice de Nicolas Sarkozy. Le monde de la justice quant à lui, s'indigne des propos de l'ancienne garde des Sceaux, elle-même magistrate de formation.

Des propos tenus en dehors de toutes les règles républicaines qui plus est par une ministre et une ancienne gardes de l'ancienne garde des Sceaux.

Et Sophie Primas la porte-parole du gouvernement interrogée sur cette énième sortie  de route qui déclare ce matin devant les journalistes qui lui demandent de réagir aux propos de  de la ministre de la Culture :  « Elle "est libre de ses propos" ».

Lunaire…totalement lunaire. Allo la terre. 

Les réactions indignées des Français sur les réseaux sociaux après l'intervention de Rachida Dati sont légions. Ils en ont plus que marre de ce marigot de l'entre soi dans lequel certain(e)s se vautrent et viennent ensuite parler de "Moralisation de cette République que certains annonçait mais qui chaque jour est piétinée un peu plus.

Le blog CGC Média en a sélectionné quelques unes, observées et principalement tirées des posts sur X et des sources web pertinentes :

1. "Critiques sur son comportement en plateau":

 

 - Plusieurs observateurs ont qualifié l'intervention de Rachida Dati de "pitreries" et de prise en otage du plateau de LCI. Après la fin de son interview, son retour sur le plateau pour corriger un intervenant, Guillaume Roquette, directeur du Figaro magazine, qui évoquait l'affaire de corruption, en a consterné plus d'un. Ce réapparition alors qu'elle était restée en régie, a été perçue comme une tentative de contrôler le récit médiatique autour de son renvoi en correctionnelle.



Voir la vidéo :

“Je reste en régie” : Rachida Dati sidère le présentateur de LCI après avoir fait irruption sur son plateau | Télé 7 Jours

- Un utilisateur sur X a dénoncé une attitude "absolument aberrante", soulignant qu'elle est restée en régie pour surveiller ce qui se disait à son sujet, une démarche jugée inappropriée pour une ministre.

2. "Accusations de victimisation et de confusion":

- Rémi Féraud, sénateur socialiste, a critiqué sur X l'attitude de Dati, la décrivant comme une "victimisation" accompagnée de "menaces voilées" et de "justifications très confuses". Il a suggéré que ses multiples recours judiciaires pour retarder le procès ne trompent plus personne.

3. "Soutien politique limité mais invraisemblable" :

- Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a exprimé un soutien public à Dati, déclarant sur TF1 souhaiter "ardemment" qu'elle devienne maire de Paris en 2026, tout en rappelant le principe de présomption d'innocence. 

Il ne s'agit en rien de respecter la présomption d'innocence. Il s'agit d'engagements qu'avaient pris le candidat Emmanuel Macron devant les Français pour être élu à la magistrature suprême comme l'avait clairement mis également dans son program(c'était dans leur programme respectif), à savoir de édicter comme règle que "    Tout responsable politique mis en examen ou renvoyé devant un tribunal correctionnel devrait démissionner de ses fonctions." 

Cette mesure s'inscrivait dans le programme du candidat devenu Premier minsitre et de celui  devenu Président de  République qui fixait comme priorité "La moralisation de la vie publique"' un thème ce

En parfaite opposition avec ce proche d'Emmanuel Macron, qui a confirmé que Dati resterait au gouvernement, soulignant qu’un renvoi en correctionnelle n’équivaut pas à une condamnation. 

4. Polémique sur les propos concernant la Justice" :

- Rachida Dati a affirmé sur LCI qu’un ancien procureur de la République financier lui aurait assuré, lors d’une rencontre de deux heures et demie, être en désaccord avec les charges retenues contre elle. Cette déclaration a suscité des interrogations sur son bien-fondé et a été relayée comme une tentative de discréditer la procédure judiciaire.

   - Ses accusations contre des magistrats, qu’elle a accusés de ne pas respecter les droits de la défense, ont été perçues comme une attaque directe contre l’institution judiciaire, renforçant l’image d’une ministre en posture !

5. "Réactions sur son ambition politique" :

- Certains commentaires, comme celui d’Olivier Beaumont sur X, ont relevé que Dati a tenté de lier son renvoi en correctionnelle à l’annonce de sa candidature à l’élection législative partielle dans la 2e circonscription de Paris, qualifiant cette connexion de "fausse coïncidence". Cela suggère une tentative de politiser l’affaire pour galvaniser ses de soi-disant soutiens.

- Malgré ce renvoi en correctionnelle, Rachida Dati a réaffirmé son intention de ne rien abandonner, ni son poste de ministre, ni ses ambitions pour la mairie de Paris en 2026, ce qui a été interprété comme une posture de défi face aux accusations.

En résumé, la quasi intégralité des posts sur X reflètent un sentiment d’indignation chez certains observateurs qui oscille entre critiques de son comportement jugé théâtral et inapproprié, dénonciations de sa victimisation et de ses attaques contre la justice, indignes d'un(e) ministre et d'un giouvernement.


Le chantage de certains affidés ernottiens pour contraindre les représentants syndicaux à signer la dénonciation de leur accord collectif...

Le chantage de certains affidés ernottiens pour contraindre les représentants syndicaux à signer la dénonciation de leur accord collectif... 

Dans son article "Voilà à quoi les mensonges de l’Arcom aboutissent…La plainte pénale que dépose la CGC de l’Audiovisuel pour faire annuler la mascarade du 14 mai dernier, le prouvera." , le blog CGC Média rendait publique la missive adressée dans l'ensemble des régions et territoires leur expliquant comment faire pour obtenir la signature des délégués syndicaux à la DÉNONCIATION de l'accord d'entreprise France Télévisions.

Il manquait probablement un chapitre que certains affidés ernottiens sont en train d'écrire: "Ceux qui ne signent pas contre décharge cette dénonciation, ne participeront pas aux prochaines négociations". Ben voyons !!

A part quelques syndicalistes zélés pro Ernotte, il ne devrait pas y avoir grand monde pour parapher la mise en place de cet énorme et énième mensonge fait dans les 30 pages très aérées, intitulées "RÉCONCILIER" que cette dernière a adressées à l'Arcom (toujours consultables sur leur site) qui indique en moins de 15 lignes sur une page quasi blanche "Réviser l'accord collectif" et non Dénoncer.

La décharge c'est très certainement l'ex-Orange qui devrait la ressentir avec la plainte déposée par la CGC Audiovisuel visant à faire annuler son 3ème parachutage avec toutes les conséquences de droit que cela implique. 

Arcom - candidature à la présidence de France Télévisions - Projet stratégique de Delphine Ernotte Cunci




Voilà à quoi les mensonges de l’Arcom aboutissent…La plainte pénale que dépose la CGC de l’Audiovisuel pour faire annuler la mascarade du 14 mai dernier, le prouvera.

Voilà à quoi les mensonges de l’Arcom aboutissent…La plainte pénale  que dépose la CGC de l’Audiovisuel pour faire annuler la mascarade du 14 mai dernier, le prouvera.

Le mercredi 9 juillet, les élus et représentants syndicaux sortaient d’un CSE central défaits après l’annonce faite par l’ex-Orange de dénoncer l’accord d’entreprise signé en mai 2013. La presse relayait l’intéressée qui sans la moindre discussion de quel sorte que ce soit  et alors que la point n’était pas à l’ordre du jour, « Une attaque d’une rare violence sociale visant à la couverture conventionnelle de ses employés, en arguant d’un nécessaire virage numérique, véritable alibi pour en virer un max »

Les administrateurs qui avaient l’air au courant depuis longtemps, ont voté en faveur de la dénonciation de l’accord collectif comme l’écrit notamment Satellifacts «Rappelons par ailleurs que le dernier conseil d’administration de France Télévisions a donné son feu vert à la dénonciation de l’accord collectif de 2013 de l’entreprise, s’attirant les foudres des syndicats (Satellifacts, 10 juillet). »

Seulement voilà, cela ne répond en aucun cas au dispositions du Code du travail justement rappelé dans ledit accord (*) et encore moins à celles du Législateur. Ce n’est pas le Conseil d’Administration qui décide et encore moins qui valide !

Cette annonce est donc totalement illégale comme le sont les licenciements annoncés dans la presse et qu’apprennent par ce biais les personnels concernés (dernier en date celui d’Anne-Sophie Lapix)

La dénonciation de l'accord collectif doit être notifiée à l'ensemble des syndicats signataires  par lettre recommandée.

L'information des seuls représentants syndicaux au CE ne vaut pas dénonciation.

Il faut qu'elle soit adressée soit au délégué syndical, soit à l'organisation signataire.

(*) « 1.3 Durée Le présent accord est conclu pour une durée indéterminée, Il est conclu avec les organisations syndicales représentatives dans l’entreprise dans les conditions de majorités prévues à l’article L. 2232-12 du Code du travail.

Il peut être dénoncé dans les conditions prévues par le Code du travail. Le délai de survie de 15 mois prévu par le Code du travail est porté à 24 mois.

Il peut être révisé si une partie signataire ou adhérente en fait la demande. Cette demande doit être motivée, adressée aux autres parties signataires ou adhérentes par lettre recommandée avec avis de réception

C’est pour cela qu’elle adresse, à présent, des directives aux territoires qui prouvent toute l’illégalité de sa première adresse urbi et orbi !

« Vous trouverez, ci-joint, les courriers à remettre aux délégués syndicaux de l’établissement établissement pour leur signifier la dénonciation de l’accord collectif d’adaptation de 2013 et de ses avenants. 

Il y a autant de courrier à remettre aux destinataires que de DS.

1 - Nous vous laissons donc le soin de remettre en main propre contre décharge ces courriers (et de doubler d’un courriel avec accusé de lecture et de réception).

Afin que nous puissions conserver la preuve de la remise du courrier, le délégué syndical doit mettre sur un exemplaire la mention suivante : « Courrier remis en main propre contre décharge, le XX juillet 2025 + Prénom et Nom du DS et sa signature».

Il convient de faire une copie au DS de l’exemplaire signé par ses soins avec la mention indiquée ci-dessus, mais nous conservons l’original que nous vous remercions de nous scanner dès que possible pour notre bon suivi du dossier.

2 - En cas de refus du DS de prendre le courrier ou de signer, vous devez impérativement l’adresser en lettre recommandée avec accusé de réception.

Dans cette hypothèse, il faudra mentionner sur le courrier le numéro de la lettre recommandée avec AR.

Pour notre bon suivi du dossier, je vous remercie de nous adresser par mail le courrier complété du numéro de la LRAR et la copie du bordereau de LRAR de la Poste.

Sur les différents courriers, il y a les destinataires en copie. Vous n’avez rien à faire pour eux. Comme ils sont à Paris, nous nous chargeons de leur adresser les copies pour plus de facilité.

3 - S’ils sont absents ou en congés, vous devez impérativement l’adresser en lettre recommandée avec accusé de réception.

Nous vous remercions et restons à votre disposition pour toute question. » 

Les DS où qu’ils soient et à quelque établissement qu’ils appartiennent n’ont donc pas à signer quoi que ce soit contre décharge, qui vise à mettre à mort leur couverture sociale collective. Surtout pas !

La CGC Audiovisuel a déjà pour sa part, mandaté un cabinet d’avocats bien connu d’Ernotte pour déposer plainte contre cette déclaration de guerre, en écho à la procédure pénale qu’elle entame pour faire condamner et invalider juridiquement ce 3ème parachutage organisé bien en amont.   

mardi 22 juillet 2025

François Bayrou qui fait l’unanimité contre lui, n'a d'autre choix que de démissionner Rachida Dati renvoyée en Correctionnelle?

François Bayrou qui fait l’unanimité contre lui, n'a d'autre choix que de démissionner Rachida Dati renvoyée en Correctionnelle? 

Lors de sa candidature à l'élection présidentielle de 2017, François Bayrou avait inclus dans son programme une proposition selon laquelle "tout responsable politique mis en examen ou renvoyé devant un tribunal correctionnel devrait démissionner de ses fonctions." 

Cette mesure s'inscrivait dans son engagement pour la moralisation de la vie publique, un thème central de sa campagne. 

Il avait notamment défendu cette idée dans le contexte de l'affaire Fillon, soulignant l'importance de l'exemplarité des élus. Lui-même avait été mis en examen en 2019 dans l'affaire des assistants parlementaires européens du MoDem, ce qui a conduit à l'époque à sa démission du gouvernement où il était ministre de la Justice. 

De la même façon en 2017, Emmanuel Macron, alors candidat à la présidence, avait  effectivement prôné pour une "République exemplaire"

Cette position s'inscrivait dans son discours de campagne axé sur la transparence et la probité en politique, notamment à travers la loi sur la moralisation de la vie publique qu'il a portée après son élection. (Cependant, cette promesse est vite devenue une illusion, notamment avec les cas où des ministres ont été maintenus malgré des enquêtes et autres controverses)

Ce mardi 22 juillet, Rachida Dati toujours ministre du gouvernement Bayrou est renvoyée devant le tribunal correctionnel comme Carlos Ghosn pour corruption et trafic d’influence. Les  juges d’instruction parisiens en charge du dossier ont effectivement ordonné, ce mardi 22 juillet, le renvoi en correctionnelle de la ministre de la culture, maire (Les Républicains) du 7e arrondissement de Paris et putative maire de Paris, ainsi que de l’ancien patron de Renault-Nissan réfugié au Liban, bien que les deux continuent de contester les faits.

"La ministre sera jugée pour « recel d’abus de pouvoir et d’abus de confiance », « corruption et trafic d’influence passifs par personne investie d’un mandat électif public au sein d’une organisation internationale », le Parlement européen" indique la dépêche AFP. L'Agence de presse poursuit  "Rachida Dati est soupçonnée d’avoir perçu 900 000 euros – entre 2010 et 2012 – pour des prestations de conseil actées dans une convention d’honoraires signée le 28 octobre 2009 avec RNBV (filiale de l’alliance Renault-Nissan), mais sans avoir réellement travaillé, alors qu’elle était avocate et députée européenne (2009-2019). Les investigations ont aussi cherché à déterminer si cette convention d’honoraires avait pu servir à masquer une activité de lobbying au Parlement européen, interdite à tout élu".

Celle qui pourrait possiblement être déclarée inéligible dans le cadre d'un procès dont la première audience, prévue le 29 septembre, doit permettre de fixer la date du procès, qui pourrait se tenir après les élections municipales, prévues en mars 2026, ne peut  au nom de la République mais surtout de l'étique, ni porter, ni défendre le projet de loi pour le retour de l'ORTF qui ne sera qu'une couteuse usine à gaz ressuscitée.

Ce même jour, une  semaine après les annonces de François Bayrou sur le budget 2026 (entre autres, la suppression de deux jours fériés, la réforme du chômage, le gel les pensions...), les huit syndicats de salariés (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT,  FSU, FO, Solidaires et UNSA ,) lancent ce mardi 22 juillet une « expression syndicale commune » sous la forme d’une pétition intitulée « Budget Bayrou : ça suffit ! »

« L’ensemble des organisations syndicales appelle à refuser ce musée des horreurs, à défendre ensemble notre modèle social et la dignité au travail », dit le texte postée sur le site de change.org, qui dénonce « une litanie de mesures là encore, brutales, injustes et inefficaces ! ».

Pour les syndicats qui pointent aussi les graves conséquences pour les personnes en affection longue durée, les boursiers, les personnes au RSA, les retraités, il est « temps d’accepter d’ouvrir la discussion sur la progressivité de la fiscalité, la contribution des hauts revenus ou des patrimoines, et la légitimité de l’optimisation fiscale ! ». Lundi, Marylise Léon la secrétaire générale de la CFDT dénonçait en sortant d’une réunion au ministère du Travail un « carnage total » en évoquant la réforme du chômage mise sur la table par le gouvernement.

Comment François Bayrou avec seulement 18% d'opinion favorables - un des taux les plus bas de la 5ème République, à peine plus d'un français sur 10, entraînant quasiment un score quasi identique pour Emmanuel Macron (¤) -  imagine-t-il prendre toujours plus dans les poches des Français, sans jamais se remettre en cause ou montrer l'exemple

(¤) 


lundi 21 juillet 2025

Après le suicide de Gérard Guillaume et la lourde condamnation de France Télés, l'arrêt de la Cour de cassation va pouvoir faire condamner le management.

Après le suicide de Gérard Guillaume et la lourde condamnation de France Télés, l'arrêt de la Cour de cassation va pouvoir faire condamner le management. 

La com' sur les réseaux de Christian Bos "Intervenant en Prévention des Risques Professionnels / Enquêteur Harcèlement / Auditeur RPS/ Médiateur / Formateur" devrait en faire trembler certains à France Télévisions.

Après  le suicide de Gérard Guillaume cadre de France Télés, voilà un an (*) et la lourde condamnation de l'entreprise, par le Conseil des Prud'hommes en formation de départage, reconnaissant ainsi les responsabilités du groupe public et le condamnant,  le récent arrêt de la Cour de cassation qui permet la condamnation de  faire condamner le management toxique de certain(e)s. 

France Télévisions ayant fait appel de ce jugement que maître Pierre-Olivier Lambert se félicité d'avoir obtenu pour les enfants de Gérard Guillaume, il est clair que tout comme au pénal, les conséquences pourraient être énormes car ce n'est donc plus seulement l'entreprise qui devra répondre de ses méthodes à l'encontre de salariés en souffrance mais le ou les managers dont le management comme c'est ici le cas, a conduit  à l'irréparable. 

La décision aura bien évidemment un incroyable impact sur les méthodes de certains tordus qui prennent un malin plaisir à humilier leurs collaborateurs qu'ils soient journalistes ou PTA, virés pour des fautes imaginaires parce qu'ils ne collaient pas au moule !

(*)

La Cour de cassation (Cass. soc., 6 mai 2025, n° 23‑14.492) interdit clairement "Le management toxique au sien de l'entreprise" et dispose "Un manager — même au top dans son métier — ne peut plus prétendre ignorer l’impact de ses méthodes de management."

La haute juridiction a donc tranché "Un mauvais management causant une souffrance avérée, signalée par des collaborateurs ou le médecin du travail, justifie un licenciement pour faute grave ."

📌 Le message aux managers et autres dirigeants dirigeants, est clair:

"Vous avez accepté une mission : encadrer, motiver, protéger vos équipes. Si vous n’avez pas la formation, c’est à vous de la demander. Le tribunal ne vous croira pas si vous invoquez l’ignorance. Ce n’est plus valable."