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samedi 11 octobre 2025

Après le suicide de Gérard GUILLAUME et une 1ère procédure déposée par ses enfants, France Télévisions très lourdement condamnée fait appel. A vomir…

Après le suicide de Gérard GUILLAUME et une 1ère procédure déposée par ses enfants, France Télévisions très lourdement condamnée fait appel. A vomir…  

A France Télévisions l’abjection n’a plus de limite.

Alors que l'arrêt de la Cour de cassation permet de « faire condamner le management pour sa toxicité », l’entreprise de télévisons publique qui vient d’être très lourdement sanctionnée après une 1ère action en Justice introduite par les deux fils de Gérard GUILLAUME suite au suicide de leur père, l’entreprise clairement responsable a décidé de faire appel du jugement.

Alors qu’Ernotte et sa suite devrait déjà avoir démissionné après les 2 rapports au vitriol, celui de l’IGF en mars 2024, puis celui de la Cour des comptes en mai dernier, la mise en lumière par un juge départiteur de toute une chaine de responsabilités clairement établies à France Télévisions - ces gens sont toujours là, aucun n’a encore démissionné, à commencer par Ernotte qui en est toujours la responsable légale - la société a décidé de faire appel alors même que le jugement précise :

« Il y a lieu d'ordonner l'exécution provisoire de la présente décision, qui n'est pas incompatible avec la nature de l'affaire et en raison de l'ancienneté du litige, par application de l'article 515 du code de procédure civile. 

La société France Télévisions assumera la charge des dépens, en respect de l'article 696 du code de procédure civile. » 

Cet indigne appel n'empêchera evidemment pas le procès au Pénal de se tenir...

Le blog CGC Média vous propose de découvrir l’intégralité du jugement en fin d’article (*) jugement  dont voici un extrait :

En effet, d'une part, il ressort des éléments ci-dessus relevés, dans un contexte où la société France Télévisions ne produit aucune pièce dans le cadre de cette instance afin de justifier sa décision, qu'alors que Monsieur Gérard GUILLAUME a été débauché de son poste à WALLIS et FUTUNA afin d'occuper le poste de Directeur régional à compter du mois de mars, soit durant la période de crise sanitaire, et sans qu'aucun reproche ne lui soit notifié durant cette période, qu'aucune demande ne soit formalisée par la hiérarchie, Monsieur Gérard GUILLAUME a été brutalement convoqué dans les locaux de Malakoff sans qu'aucun ordre du jour ou motif ne lui soit notifié au préalable pour se voir informer de sa démise. 

Monsieur AMET ne pouvait donc méconnaître que la méthode employée par Madame Gengoud, alors que Monsieur Gérard GUILLAUME disposait d'une ancienneté très longue et d'un parcours remarquable au sein de la société, avait eu des répercussions sur Monsieur Gérard GUILLAUME et sur sa clarté d'esprit afin d'appréhender la suite des événements. 

D'autre part, il ressort des échanges mêmes ci-dessus relevés que Monsieur Gérard GUILLAUME était en détresse psychologique au point de solliciter à l'attention de son employeur un suivi à ce titre. 

Or, c'est dans ce contexte que Monsieur Gérard GUILLAUME s'est vu annoncer par voie téléphonique par Monsieur AMET qu'un licenciement était envisagé, en lien avec un revirement de positionnement de la Direction de l'Outre-mer, au titre de sa réaffectation annoncée sous délai de trois mois. 

A ce titre, Monsieur AMET a pu se prévaloir d'une décision de licenciement avec de faibles indemnités à attendre dans le cadre d'une instance judiciaire, à défaut de transaction souscrite par Monsieur Gérard GUILLAUME, alors qu'au vu de l'ancienneté, et des circonstances de la démise, ces informations sont fausses. 

Par conséquent, la société France Télévisions a, par le truchement de l'action de Madame GENGOUL et Monsieur AMET, commis des violences morales sur Monsieur Gérard GUILLAUME afin de l'amener à souscrire le protocole d'accord transactionnel en l'induisant au surplus en erreur dans un contexte où il n'était pas en état de s'adjoindre d'un Conseil, et où il apparaît clairement qu'il était sous l'emprise de Madame GENGOUL et Monsieur AMET à la suite de cet entretien. 

Par ailleurs, Monsieur AMET a usé de manœuvres dolosives en indiquant à Monsieur Gérard GUILLAUME qu'il ne pouvait escompter que la somme de 120 000 euros devant une Juridiction. 

Le vice du consentement est caractérisé. L'accord transactionnel est nul.

La rupture caractérise dès lors un licenciement. 

Sur les agissements de harcèlement moral, leurs effets sur la rupture du contrat de travail et sur l'exécution déloyale du contrat de travail : 

L'article L.1152-1 du code du travail dispose qu'aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de travail susceptibles de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d'altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel. 

Aux termes de l'article L.1152-3 de ce code, toute rupture du contrat de travail intervenue en méconnaissance des dispositions du précédent article est nulle. 

L'article L.1154-1 du même code dispose que, en cas de litige, le salarié présente des éléments de fait laissant supposer l'existence d'un harcèlement. Si cette présomption est établie, il incombe à la partie défenderesse de prouver que ces agissements ne sont pas constitutifs d'un tel harcèlement et que sa décision est justifiée par des éléments objectifs étrangers à tout 

harcèlement. 

La rupture de la relation de travail caractérise un licenciement nul, la violence ayant été répétée à plusieurs reprises et caractérisant des faits de harcèlement moral. 

En l'espèce, en convoquant Monsieur Gérard GUILLAUME en urgence au sein des bureaux parisiens à Malakoff pour lui notifier sans préavis la démise de ses fonctions en lien avec des reproches formulés sous la forme orale uniquement, en lui adressant, dans la suite de cet entretien, une lettre l'informant de la démise de ses fonctions au motif vague de "divergences de point de vue et de vos difficultés à s'inscrire dans la politique générale de la direction du pôle outre-mer" sans autre précision, en lui adressant un appel téléphonique le 11 février 2021 afin de lui notifier par le truchement de Monsieur AMET qu'il ne se verrait pas proposer un poste et qu'il serait contraint de transiger,

la société France Télévisions, par le truchement de Madame GENGOUL et de Monsieur AMET, a commis des agissements répétés de violence ayant eu pour effet et pour objet de porter atteinte aux droits et à la dignité de Monsieur Gérard GUILLAUME, d'altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel. 

Aucune pièce n'étant produite par la société France Télévisions afin de déterminer sa position, le harcèlement moral est caractérisé. 

Le licenciement est nul. 

En respect des articles 4 et 5 du code de procédure civile, Monsieur Denzel Menelik GUILLAUME et Monsieur Marvin Wyllys GUILLAUME se verront allouer la somme de 76 166,82 euros, pour exécution déloyale du contrat de travail, en application de l'article L. 1222-1 du Code du travail qui dispose que " le contrat de travail est exécuté de bonne foi ". 

La demande à titre de dommages et intérêts pour "circonstances brutales et vexatoires ayant précédé la rupture du contrat de travail" recouvre les mêmes faits et relève du même moyen de droit que celui tiré de l'exécution déloyale du contrat de travail, si bien que Monsieur Denzel Menelik GUILLAUME et Monsieur Marvin Wyllys GUILLAUME seront déboutés de leur demande au titre des circonstances brutales et vexatoires. 

Sur le manquement à l'obligation de sécurité de France Télévisions 

L'article L. 4121-1 du Code du travail dispose: 

"L'employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. 

Ces mesures comprennent: 

1° Des actions de prévention des risques professionnels, y compris ceux mentionnés à l'article L.4161-1; 

2o Des actions d'information et de formation; 

3° La mise en place d'une organisation et de moyens adaptés. 

L'employeur veille à l'adaptation de ces mesures pour tenir compte du changement des circonstances et tendre à l'amélioration des situations existantes. 

Il résulte de cette disposition que l'employeur a une obligation de prévention des risques professionnels.

En l'espèce, il est clairement établi par la chronologie même des événements ci-relatés que la société France Télévisions a manqué à son obligation de prévention des risques professionnels en procédant à une convocation brutale de Monsieur Gérard GUILLAUME en dehors de tout fait imputable à ce dernier caractérisé à titre de preuve, en lui promettant un poste, en se rétractant sans motif valable établi, en lui faisant notifier par téléphone son revirement et son intention de le licencier, en lui faisant savoir qu'il ne pourrait percevoir que la somme de 120 000 euros environ, en ne donnant pas suite à sa demande afin de soutien psychologique...

Avec toutes les sommes aux quels France Télévisions sera condamnée en conséquences du licenciement nul....

(*)
























vendredi 10 octobre 2025

La cocotte-Ernotte a fini par faire exploser l'Élysée.

La cocotte-Ernotte a fini par faire exploser l'Élysée.

Résultat sans surprise suite à l’énorme forfaiture de l'ex-dircab d'Ernotte qui a validé l’interruption de la cérémonie de panthéonisation de Robert Badinter pour laisser la place au JT de Léa Salamé à 20h sur France 2 : la cocotte a fini par exploser. 

L'individu vous dira probablement que France télévisions a diffusé la fin de la cérémonie en différé après le JT Imaginez la même chose avec un match de football de l’équipe de France !? Impossible. On n’arrête pas le match pour le journal 18% d'audience seulement ...Cela ne changera pas les faits 

Sur les réseaux sociaux les critiques pleuvent :

La retransmission a été interrompue sans aucune excuse ni transition .Inadmissible…

Une honte, un scandale, un outrage, manque de respect, incompétence,  mécontentement, insulte à la famille Badinter...

Une Incorrection totale vis à vis de la famille et des téléspectateurs français mais également étrangers qui suivaient cette retransmission...

Le conducteur l’émission était pourtant connu, le temps de l’émission était prévu et cette coupure d’antenne est inadmissible...

Le groupe TF1 l'avait bien intégré puisqu'il retransmettait en direct la cérémonie sur sa chaîne Info en continu :  LCI.

Chacun se demande finalement à quoi sert franceinfo: et pourquoi l'ex-primo dircab ernottien qui se verrait toujours calife à la place de la califette, n'a pas prévu en amont, un tel scénario.

L’Élysée attend, en premier lieu, la démission de l'intéressé comme avait démissionné le patron de TDF en 1981 suite à l’affaire de Latché où il manquait une parabole et une grue pour la retransmission d’un discours du président François Mitterrand.

Il attend de concert la démission de l'ex-Orange responsable éditoriale légalement, au niveau du groupe, qui demandait encore à l'Arcom il y a peu, après une décennie de turpitudes : la différence entre neutralité et impartialité.

Le château ne veut plus voir la France telle qu'Ernotte souhaite la voir mais telle qu'elle est  !


Ils savaient tous mais ont menti pendant plus d'un an pour attendre le 3ème parachutage d'Ernotte.

Ils savaient tous mais ont menti pendant plus d'un an pour attendre le 3ème parachutage d'Ernotte.

C'est un nouveau scandale d'État que la commission d'enquête mise en place à l'Assemblée nationale sous la houlette du député Charles Alloncle, aura tôt fait de faire exploser;

Ainsi, l’argument bidon d'Ernotte qui fait aujourd'hui l'objet comme 8 des 9 membres de l'Arcom dont son Président Martin Ajdari, d'une plainte pénale déposée par la CGC de l'Audiovisuel  demandant l'annulation de son  3éme parachutage à France Télés, qui prétend justifiersa dénonciation de l'accord d'entreprise « Je me conforme à ce que me demande la Cour des comptes » est totalement bidon.

Tout le monde savait depuis mars 2024 date de la parution du rapport de l'IGF mais chacun, attendait le parachutage de Delphine Ernotte, pour finir la casse sociale qu’elle avait prévu s’exécuter. 

Il suffit la le constater à la page 4 dudit rapport : "Définir un calendrier et une méthode pour faire évoluer globalement l’accord collectif de 2013, pour plus de polyvalence, l’automatisation de certaines tâches, et la révision de la rémunération et du temps de travail des nouveaux employés."

Accord d'entreprise qu'Ernotte dit avoir soumis au Conseil d'Administration qui l'a validé, selon elle, avant son annonce du  le 10 juillet 2025.

Accord dont la supposée première réunion sur sa renégociation n'a pas eu lieu.

Il parait de plus en plus clair que les attaques lancées par contre le groupe Bolloré en particulier CNews dès le 19 septembre par Ernotte dernier avec son interview à Aude Dassonville dans le Monde : "Il faut admettre que CNews est un média d’opinion. Qu’ils assument d’être une chaîne d’extrême droite !", ne sont à l'évidence qu'un trompe-l'œil.

La complicité de l'Arcom qui ose écrire pour tenter de justifier l'injustifiable que "C'est en raison des incertitudes qu'Ernotte est reconduite mais aussi en raison d'un dialogue social actif visant à associer l'ensemble des salariés de l'entreprise à l'évolution de son accord collectif..." est, dès lors, flagrante.

Avoir dénoncé l'accord d'entreprise dès la publication du rapport de l'IGF au début du printemps 2024 - qu'elle a présenté comme une simple révision mensongère dans ses 30 pages de "Réconciliation des France" adressées à l'Agence  acquise bien en amont, aurait provoqué le chaos à France Télés et une crise sociale qu'il convenait d'éviter à tous prix. 

Pour être le plus complet possible, lorsque l’IGF demandait  justement de trouver une méthode (intelligente) et un calendrier afin de  « faire évoluer vers », cela ne signifiait absolument pas « Dénoncer ». Dès lors, le fallacieux argument de l’Arcom pour maintenir Ernotte d’un dialogue social de tous les instants qu’elle revendiquait soi-disant comme celui de « faire vivre le dialogue social » malgré « l’activation d’un droit d’alerte économique » avant son troisième parachutage, est une fumisterie sans nom que la Justice n’aura pas de mal à constater. L’Agence est donc gravement responsable… 

D'où le délai d'attente indispensable de plus d'un an, l'inversion du calendrier de la Cour des comptes qui publie son rapport sur Radio France (sans réel enjeu) avant celui de France Télés afin de "ne pas télescoper la procédure de désignation ou encore de ne pas avoir comme en 2016, la mort sur la conscience, du pédégé du groupe "  !!


Si cette dénonciation avait eu lieu alors ou que le rapport de la rue Cambon retardé soit sorti à la même époque, l'ex-Orange n'aurait pas pu se présenter et mascarade du 14 mai dernier honteusement orchestrée par l'Agence, n'aurait pas eu lieu. 
France Télés serait probablement déjà dans "Une dynamique d'Avenir", les titre des 30 pages de l'incroyable projet stratégique que présentait la candidate Frédérique Dumas, le seul à pouvoir remettre le groupe publique de télévisons, sur les rails et dans les clous.

L'AFP a eu beau contacté la Cour des comptes qui a déclaré que la publication du rapport n'avait "rien à voir" avec ce processus de nomination, dont les magistrats de la rue Cambon "ne se mêlent pas".

Taratata...Les documents, enregistrements et enchainements des faits prouvent le contraire comme ce qu'écrivait par exemple La Correspondance de la Presse au moment de la parution du rapport au vitriol de l'IGF (ci-après - Dernier paragraphe plus précisément)

















jeudi 9 octobre 2025

Ernotte taille dans les petites productions avant d’étrangler les salariés dont elle a dénoncé la couverture.

Ernotte taille dans les petites productions avant d’étrangler les salariés dont elle a dénoncé la couverture. 

Au regard accablant du rapport de la cour des contes qui souligne « l’insoutenabilité financière de France Télévisions » et va même évoquer sa dissolution en 2026, l’ex-Orange reniant ses engagements- une constante ! - taille un maximum dans les petites et moyennes productions mais, surtout pas dans les énormes contrats passés avec les Mediawan, Banijay ou Brut ! 

Après avoir déjà réduit à sa plus simple expression « Questions pour un champion », elle supprime dans  un premier temps « Commissaire Magellan », « Les Pennac(s) »…Elle divise par deux « Candice Renoir » avec un épisode inédit suivi d’une rediffusion.

Pour « Silence, ça pousse », c’est encore plus énorme: un numéro récent diffusé contre deux anciens.



Ernotte devant les sénateurs se perd dans un métavers complotiste

Ernotte devant les sénateurs se perd dans un métavers complotiste

Auditionnée par la commission des affaires culturelles du Sénat, mardi après-midi, l’ex-Orange a renouvelé son dénigrement systématique des médias de Vincent Bolloré, CNews et Europe 1, en tête.

«CNews est une chaîne d’opinion et non pas une chaîne d’information comme LCI, BFMTV et Franceinfo»  affirme-t-elle, portant son supposé combat politique devant la Chambre haute car c’est bien de cela qu’il est question. Une posture et rien d’autre. Comme le disait Edgar Faure, Premier ministre de la France en 1952 puis de nouveau entre 1955 et 1956, « Ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est le vent »… et s’il en avait besoin d’une confirmation, le holding France Médias dont elle espérait prendre la tête, histoire de planquer sous le tapis ses dérives financières avec ses nombreux échecs, qu’elle prônait tous azimuts mais qu’elle explique aujourd’hui ne plus soutenir.

Ernotte va jusqu’à chanter que le timing n’est plus le bon : «Dans l’état actuel des finances publiques, je ne vois pas comment on peut réussir la holding»renouvelant sa demande à l’État donc au Français d’allonger plus de thunes  pour qu’elle continue de « claquer un fric de dingue ». Elle vient donc avec cette phrase, contredire frontalement Rachida Dati qui affirmait que le holding se ferait pour « un coût quasi nul » et se trahir puisqu’elle ne pouvait ignorer la situation critique du groupe public de télévisons que décrit la Cour des comptes  

Au siège de France Télévisions, on compte les jours avant la dissolution espérant que  le prochain Premier ministre sera socialiste. La gauche, représentée par des sénateurs du Parti socialiste, des Ecologistes et qui a d’ailleurs entonné le même refrain  ernottien. Colombe Brossel en têt qui dit  partager la même analyse: « France Télévisions fait bien l’objet d’une offensive d’un groupe de médias d’extrême droite et CNews est bien une chaîne d’extrême droite :  Il suffit de la regarder trois secondes pour s’en rendre compte».

Ces gens n’ont pas compris que, prise la main dans le pot de confiture, l’ex-Orange avait simplement besoin d’une énorme diversion aussi pitoyable fût-elle.

Confortée sur sa gauche, elle a donc réaffirmé «Oui, CNews est une chaîne d’opinion et non pas une chaîne d’information comme LCI, BFMTV et Franceinfo » a-t-elle lancé au vice-président de la commission, le sénateur LR Max Brisson qui lui reproche de jouer un rôle politique en attaquant la chaîne. « France Télévisions ne fait pas le même travail que CNews » ajoutait « la dame du Majestic », concluant «A un moment, c’est bien de dire les choses».

Alors si c’est les cas, que fait donc l’Arcom qui a signé l’arrêt de mort de C8 et NRJ12 parce qu’elles ne respectaient pas leur cahier des charges et ce pour quoi elle avait obtenu leur fréquence ?

Si CNews n’est pas d’infos en continue, alors que font Ajdari et sa troupe qui ont pourtant validé sans broncher, le 3ème parachutage de l’ex-Orange « en raison des incertitudes » ?  


mercredi 8 octobre 2025

Les sénateurs ne croient plus Ernotte après plus de 10 ans de bobards au CSA et à l’ARCOM mais également à l'Etat actionnaire.

Les sénateurs ne croient plus Ernotte après plus de 10 ans de bobards au CSA et à l’ARCOM mais également à l'Etat actionnaire.

Il y a un peu plus de 10 ans au printemps 2015, Ernotte s'engageait devant le CSA d'Olivier Schrameck, à mettre en place une comptabilité analytique comme dans toutes les grandes entreprises afin éviter tout dérapage financier.

En 2016 d'ailleurs, la Cour des comptes déjà très alarmiste sortait un rapport assorti de la condamnation, via sa juridiction, de plusieurs personnalités de France Télévisions, rappelant qu’il était urgent de mettre en place cette comptabilité analytique en place et lui demandait ainsi de se conformer à ses engagements.

Cinq ans plus tard en 2020, avant son 2ème parachutage du même tonneau que le premier - n’ayons pas peur des mots - Ernotte s’engageait à mettre en place une comptabilité analytique. Comment le CSA de ROM (Roch-Olivier Maistre) à l’époque avait-il pu laisser passer un tel manquement sans réagir ? Parce que a partition avait bien évdiemment joué auparavant à plusieurs mains !

10 ans plus tard, il y a quelques semaines, devant l’ARCOM de Martin Ajdari et sa troupe, Ernotte s’engageait à mettre en place une comptabilité analytique. Comment L'ARCOM un peu plus de 10 ans après, n’a t-il pas renvoyé Ernotte dans ses cordes, alors même que le critère premier qu'avait fixé l'agence d'État pour envisager un 3ème parachutage était clairement établi, à savoir "la soutenabilité financière". (à revoir sur le Web)

Cela fait partie des question qu'a posé André Bercoff pendant une petite heure et en direct pour la première de sa nouvelle émission Sur le Vif que Tocsin a diffusé en direct sur Youtube de 13h à 14h, au président de la Fédération CGG des médias Jean-Jacques Cordival qui n'a évidemment pas mâché ses mots et qui e rappelé la CGC pour l'Audiovisuel avait déposé une plainte au pénal visant à faire annuler le parachutage n°3 d'Ernotte.

Pourquoi les sénateurs auraient-ils pu croire, hier, celle qui depuis 10 ans n'a cessé d'enfumer tout le monde, politiques et presse inclus, et espérait bien continuer encore un peu ? 

L'audition de Delphine Ernotte, hier 7 octobre 2025, devant la commission de la culture, de l'éducation, de la communication et du sport du Sénat, fut un véritable naufrage mais surtout la nouvelle démonstration d'un profond mépris des parlementaires.

Le sénateur LR des Pyrénées-Atlantiques  et Vice-Président de la commission de la culture, de l'éducation, de la communication et du sport du Sénat, ne s'y est pas trompé.

L'ex-Orange a eu beau enchaîner les contre-vérités, débiter son narratif totalement hors-sol et faire preuve d'une morgue sans égal, ses gesticulations n'ont eu aucune prise sur les parlementaires, allant jusqu'à évoquer SA DÉMISSION

(*) Vidéo en fin de post

(*) https://youtube.com/shorts/HOvd12R1fSg?si=4r5X9b5712boG-FJ



















(*)


Après avoir nargué les sénateurs en commission, Delphine Ernotte doit être démissionnée.

Après avoir nargué les sénateurs en commission, Delphine Ernotte doit être démissionnée. 

L'audition de Delphine Ernotte, hier 7 octobre 2025,  devant la commission de la culture, de l'éducation, de la communication et du sport du Sénat, fut un véritable naufrage mais surtout la nouvelle démonstration d'un profond mépris des parlementaires.

L'ex-Orange a eu beau enchaîner les contre-vérités, débiter son narratif totalement hors-sol et faire preuve d'une morgue sans égal, ses gesticulations n'appellent qu'une réponse : SA DÉMISSION

C'est d'ailleurs ce qu'a suggéré très directement Max Brisson le sénateur LR des Pyrénées-Atlantiques  et Vice-Président de ladite commission. (*)

(*) Pendant 2 heures environ, elle a raconté ses fables aux sénateurs expliquant qu'elle allait faire ceci, faire cela...elle a même raconté qu'elle allait créer une nouvelle chaîne Sports, après le rapport alarmant de la Cour des comptes publié le 23 septembre 2025 qui pointait une situation financière "critique" pour France Télévisions avec un déficit budgétaire croissant, une gestion interne défaillante pouvant conduire à la dissolution de l'entreprise.

Elle chante encore qu'elle n'est responsable de rien et trouve même le moyen d'écarter toute "dérive financière" attribuant les difficultés à tout un tas de contraintes externes, soulignant que les fonds publics ont diminué de près de 20 % en dix ans (de 2015 à 2025) et qu’elle a dû subir une inflation supérieure à 20 %. Ce qui a eu le don de mettre les sénateurs en colère.

C'est hallucinant...Comment se moquer du monde publiquement et raconter de telles sornettes devant la Représentation nationale ?! Vivement la auditions sous serment de la commission d'enquête majeure mais aussi l’instruction judiciaire suite à la plainte pénale de la CGC de l'Audiovisuel visant à faire annuler son 3ème parachutage.

La conclusion est sans appel et elle est signée Max Brisson qui parle de sa démission. Seul son départ permettra de réaliser les audits nécessaires afin de constater l'ampleur des dégâts.(¤)

(¤ vidéo en fin de post) 






https://youtube.com/shorts/76tEDZwO6vc?si=Hh6Ve7j0aXP48nQN