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samedi 25 novembre 2023

Une première procédure explosive à France Télés qui pourrait bien faire condamner un paquet de monde responsable du délit, mais aussi les complices et les recéleurs !

Une première procédure pénale explosive à France Télés qui pourrait  bien faire condamner un paquet de monde responsable du délit, mais aussi  les complices et les recéleurs ! 

Le tandem Gengoul/Ernotte devrait très très vite sentir le vent du boulet avec LA CITATION DIRECTE DEVANT LE TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE BASSE-TERRE que le journaliste Ronan Ponnet a déposée, cette fin de semaine.

Il y a quelques jours de cela, la direction de France Télés se frottait les mains après être parvenue à la troisième tentative de licencier manu militari, ce grand reporter qui a pourtant passé près de 40 ans de sa vie dans le Service public de l’Audiovisuel, l’accusant d’une soi-disant faute grave totalement bidon pour ce faire. (*)

« Bon débarras » s’exclamait l’une des complices – il n’y a guère d’autre mot ! – de toute la bande qui a permis cette abjection, pensant bien cette fois-ci avoir réussi son coup. Ils vont pouvoir revoir leur copie, ces minables qui ont trempé dans ce scandale qui ne fait que commencer. 

En effet, cette première procédure pénale vise à faire condamner la Cheffe de Service de la communication interministérielle du Cabinet du Préfet de la région Guadeloupe pour délit de révélation de correspondances par une personne chargée d’une mission de service public agissant dans l’exercice de ses fonctions avec les circonstances aggravantes de la commission des faits en parfaite connaissance de cause et participation active, ce faisant, à la procédure de licenciement intervenue contre Ronan Ponnet…La direction de France Télés ayant confirmé que c’est bien elle qui a transmis un mail au  directeur régional de Guadeloupe La Première Djelloul Belghit, mail qu’elle avait suscité et où elle le provoquait, lui demandant « Si finalement, il travaillait toujours pour Guadeloupe La Première ? »  

Djelloul Belghit qui pourtant lors l’entretien préalable auquel il avait convoqué Ronan Ponnet, affirmait à la question de ce dernier s’interrogeant naturellement sur la façon dont ce mail lui était parvenu, qu’en « aucun cas, la fonctionnaire de la DAAF ne lui avait donné »en totale contradiction avec la version de France Télés qui chante que début  2023 après que le Directeur régional de Guadeloupe La 1ère s'est rapproché de la dite fonctionnaire, l'ensemble des interlocuteurs de la Direction a pu en prendre connaissance et l'analyser !

Le Tribunal aura donc tout loisir de déterminer ce que représente « l'ensemble des interlocuteurs de la Direction » en nombre de salariés de France Télés  qui sont donc pour le moins complices et/ou recéleurs mais aussi le ou les commanditaires et leurs exécutants ! 

« LE DÉLIT DE RÉVÉLATION DE CORRESPONDANCES PAR UNE PERSONNE CHARGÉE D’UNE MISSION DE SERVICE PUBLIC AGISSANT DANS L’EXERCICE DE SES FONCTIONS »  non seulement une faute grave pour qui la commet et juridiquement constitutive d’un délit pénal au regard de l’article 432 – 9 du Code Pénal qui dispose : « Le fait, par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public, agissant dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, d'ordonner, de commettre ou de faciliter, hors les cas prévus par la loi, le détournement, la suppression ou l'ouverture de correspondances ou la révélation du contenu de ces correspondances, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000€ d'amende. »

En transmettant ce mail privé à l’employeur de Guadeloupe la 1ère, l’intéressée commettant ainsi le délit de révélation de correspondances par une personne chargée d’une mission de service public, ne pouvait l'ignorer...tout  comme elle devait savoir qu’en agissant ainsi, elle allait nuire à Ronan Ponnet, ce qui serait considéré par la Justice comme des CIRCONSTANCES AGGRAVANTE (*) et probablement par les services de Gérald Darmanin qui ont été officiellement saisis par la CGC des média. 

Combien seront-ils à être condamnés et à perdre potentiellement leur emploi  dans cette toute première procédure qui redisons-le, est puni d’une amende en plus des indemnités versées à celui qui subit le préjudice mais surtout d’une peine pouvant aller jusqu’à 3 ans d’emprisonnement pour les auteurs du délit comme leurs complices et /ou les recéleurs ? 

Elle devrait donc très vite comprendre ce que risquent celles et ceux qui violent ainsi cette loi mais surtout, se mordre les doigts de la confiance qu'elle a pu mettre en ses interlocuteurs à France Télévisions qui lui font ainsi risquer sa carrière et beaucoup plus encore  !






vendredi 24 novembre 2023

Faire fuiter à Satellifacts un charabia établi à la va-vite pour faire croire à l'État que la situation des régions avec ICI serait sous contrôle, est un leurre !

Faire fuiter à Satellifacts un charabia établi à la va-vite pour faire croire à l'État que la situation des régions avec ICI serait sous contrôle, n'est qu'un leurre !

Ce vendredi alors que l'ensemble des syndicats de France Télévisons demande aux «  pouvoirs publics de désigner une personne extérieure à l’entreprise afin de mener une médiation visant à combler le vide à France Télés » comme l'avait indiqué ce matin le blog CGC Média dans on article "Ernotte totalement disqualifiée…Les salariés de France Télés en appellent à un médiateur"

Satellifacts vient en effet de publier, en exclusivité, un article intitulé : "Mise en œuvre d'un plan d'adaptation provisoire de éditions Ici" (*)


C'est peine perdue...

Le charabia ernottien fait à la hâte (¤) pour éviter qu'un médiateur soit nommé, faisant gober aux salariés et à ceux qui les représentent qu'ils seraient écoutés, ne convainc plus personne. Dire qu'il y a quelques semaine, l'ex-Orange dans sa propagande quotidienne expliquait que: tout allait bien, que les audiences étaient en hausse et que les personnels dont l'appétence pour ce pseudo rdv ne se démentait pas".

Quel pathétique spectacle qu'offre le service public de la télévision, aux Français qui ne sont bons qu'à payer dont l'actionnaire ne peut continuer à cautionner les dérives !

(¤) 





Ernotte totalement disqualifiée…Les salariés de France Télés en appellent à un médiateur.

Ernotte totalement disqualifiée…Les salariés de France Télés en appellent à un médiateur.

Totalement déconnectée l’ex-Orange…Juste avant la séance du Comité de groupe que quittait l’ensemble des organisations syndicales et leurs élus, elle proposait aux salariés de s’inscrire à un conférence pour un «  Focus sur ces troubles dans le milieu du travail avec l’association Maison Perchée qui répondra à vos interrogations lors d'une conférence le lundi 27 novembre de 13h à 14h » (*)

Lunaire !

(*)

 

Il n'y a visiblement pas que la maison qui soit perchée ! 


Complétement hors-sol l’infirmière TV niant la situation catastrophique financière, sociale et humaine (inhumaine serait plus juste !) dans laquelle elle a précipité France Télévisions. 

Plus personne ne gobe la propagande qu’elle balance au quotidien à commencer par les quelques 200 top managers qu’elle convoque tous les mois dans de ridicules webinaires, saoulés par cette pathétique logorrhée paranoïaque qu’elle déroule une dans un monde parallèle mais imaginaire où tout irait bien et dont elle serait la cause !

Le vide sidéral porté au pinacle…

                                                     La quatrième dimension !! 



Dans un communiqué, les OS et leurs élus appellent « les pouvoirs publics de désigner une personne extérieure à l’entreprise afin de mener une médiation visant à combler ce vide ». 

Le chaos est partout dans quasiment tous les secteurs…Le nombre d’arrêt de travail, de burn-out, de pathologies plus graves encore explosent, les conflits se multiplient comme à France 3 et FTR actuellement…

Que nenni, chante la parachutée de l’été 2015 qui fait pondre des pages et des pages dilatoires, de soi-disant engagements qui ne sont jamais tenus mais dont elle imagine encore qu’elles pourraient calmer les salariés en colère.   

Après la lecture dudit texte, Ernotte a voulu continuer comme si rien n’était, à vanter la situation générale, en accordant « deux secondes » au conflit en cours à France 3 et FTR. (sic)

Aux élus qui lui demandait une « date précise et rapide afin de reprendre  des négociations, par respect pour les salariés en grève », elle balance de façon lapidaire  « le directeur du Réseau a la totalité de mon mandat, et il va le conserver ». Prenez ça dans les dents !

Après une suspension de séance, l’ex-Orange a bien tenté de proposer une éventuelle date de négociations vers la fin de la semaine prochaine – « une provocation teintée de mépris pour les salariés » est-il écrit et « face à cette absence de réponse et alors que les salariés ont entamé leur troisième semaine de conflit, les organisations syndicales se sont levées, déclarant ne pouvoir accepter cette tentative délibérée de le laisser dégénérer ». (sic)

En conséquences, constatant le refus de la direction de reprendre rapidement les négociations, « Les organisations syndicales demandent donc aux pouvoirs publics de combler ce vide en désignant une personne extérieure à l’entreprise afin de mener une médiation. » et de conclure « Ce vendredi 24 novembre, il est donc impératif de montrer à cette direction à quel point les salariés sont exaspérés et déterminés à obtenir la mise en place de conditions de travail normales et pouvoir enfin être de nouveau fiers de leurs éditions régionales et nationales, pour la satisfaction de leurs publics ».

Un médiateur va-t-il suffire, au moment où monte la fronde tous azimuts ?   

L’état de décrépitude absolue dans lequel est plongé le groupe public de télévision, bien connue des pouvoirs publics qui le recapitalisait en juin dernier avec quelques 32 millions d’euros (¤), va-t-il rester sans réaction et attendre le printemps 2025 pour siffler la fin de partie ?

(¤)


jeudi 23 novembre 2023

La Sibylle des salons...littéraires évidemment.

La Sibylle des salons...littéraires évidemment.

Devinez quoi...la saison des prix littéraires étant terminée, "Le Canard enchaîné" (*) nous régale néanmoins avec son denier confidentiel, concernant les œuvres littéraires de la pédégère de Radio France cherchant à disposer des salariés de l'entreprise publique comme une sorte de caution morale voire d'inspiration !

"À Radio France, tous les moyens sont bons pour la pédégée, Sibyle Veil, lorsqu’il s’agit d’assurer la promo de son bouquin "Au commencement, était l’écoute" (L’observatoire). 

Veil s’est servi du fichier du groupe public pour adresser à tous les salariés, le 15 novembre, une publicité pour l’œuvre en question, avec cette introduction audacieuse: "Bonjour à tous et à toutes, je vous dois l’inspiration d’un ouvrage qui sort ce jour. C’est un plaidoyer pour retrouver - au niveau individuel et collectif - le sens de l’écoute " écrit le palmipède qui conclut "À la radio, ça peut servir." 

(*)


À quand l'adaptation télé publique de "Comment tuer son boss ? " 

Pour reprendre la conclusion de l'hebdomadaire satyrique "Avec la télé, ça peut toujours servir, le cas échéant, d'être prévenu !" A bon entendeur...

Peu probable tout de même que le futur liquidé, trouve le scénario très crédible !






mercredi 22 novembre 2023

Impossible de faire table rase du passé pour le prochain PDG après la politique de terre brûlée ernotienne menée à France Télés !

Impossible de faire table rase du passé pour le prochain PDG après la politique de terre brûlée ernotienne menée à France Télés !

Que restera-t-il de France Télévisions lorsque la politique de la terre brûlée qui s’accélère à la vitesse grand V ces derniers temps, aura fini de produire ses effets destructeurs ?

Probablement plus rien voire un groupe amputé d’une ou deux antennes mais une entreprise de service public laissé sciemment en ruines pour que quiconque chargé de le reformer, jette l’éponge avant même de vouloir y mettre les pieds.

Au sens figuré, la technique dit bien ce qu’elle veut dire, désignant ainsi « l'attitude d'une personne qui, risquant de perdre face à un adversaire, saccage la place que celui-ci s'apprête à prendre afin de minimiser ses gains et de gêner toute progression ultérieure… »

Le repris de justice Patrick de Carolis qu’a fait condamner la CGC de l’Audiovisuel, s’y était bien essayé un temps, imaginant pouvoir se présenter à l’époque de la présidence sarkozienne comme le seul en capacité de « reformer l’entreprise comme il avait déjà entrepris de le faire » ! Peine perdue. 

Bis repetita aujourd’hui. Dans quelques mois, l’État sera montré du doigt et tenu pour SEUL responsable du désastre annoncé par ce même petit groupe et ses thuriféraires qui font tout pour que rien ne change et que les tonnes de poussières sous le tapis y restent bien au chaud. Pas question d’audit ou d’état des lieux puisque tout resterait caché et qu’ainsi, l’incessante propagande pourrait continuer d’enfumer les esprits ! 

« Deux nouveaux directeurs » – comme s’i il n’y avait déjà pas assez du demi-millier minimum de ceux-ci au sein du groupe public ! – écrit l’ADAP qui ajoute « Cette double forfaiture, est une violation des engagements pris sur la visibilité des outre-mer et la progression professionnelle des salariés d'origine ultramarine, qui disparaissent les uns après les autres des postes de décisions… »

Les seules victimes de cette chienlit systémique sciemment entretenue par une poignée d’irresponsables qui prônent l’explosion de l’audiovisuel public et la casse de la télé publique : LES SALARIÉS, à commencer par celles et ceux des territoires ultramarins dans un premier des régions très vite ensuite comme l’explique très bien l’Association de Défense de l’Audiovisuel Public dans le titre de son dernier post « Un changement à la direction du Pôle Outremer : la peste ou le choléra ? » qui débute ainsi « La démolition des outre-mer vient de connaître un nouvel épisode grave, dans un silence syndical, médiatique et politique assourdissant. »

Sans commentaires, au regard des quelques lignes qui précèdent où il est question, entre autres :

de nouvelles et énièmes nominations dans le droit fil de ce que décrivait le blog CGC Média ci-dessus, de pathétique guerre de succession sur fond de gabegie financière, « jetant par les fenêtres,  les centaines de millions d’argent public que coutent les outremers aux Français…»,

des méthodes expéditives et du management violent,

du soulagement et de délivrance pour tous ceux et toutes celles qui ont ainsi subi autoritarisme vertical et despotisme dont certains (en l’occurrence, certaines), ont fait et le feront encore,

et d’évictions expéditives et souvent illégales comme celle de Ronan Ponnet viré après qu’un fonctionnaire a balancé les quelques lignes d’un mail privé que légalement, elle ne pouvait pas faire au risque de commettre un délit débouchant sur une ultime révocation !

Il faut redonner l’espoir aux personnels qui n’en peuvent plus, veulent retrouver l’excellence perdue de leur outil de travail qui n’a cessé de se dégrader depuis l’été 2015 et ne veulent pas servir de bouclier humains dans cet indigne maelström politico-médiatique où les élucubrations d’une seule personne qui prédit que le chef de l’État perdra la partie, ne les concerne pas !

Vivendi contrôlé par la famille Bolloré avale Lagardère.

Vivendi contrôlé par la famille Bolloré avale Lagardère.

« Qu’as-tu fait du groupe que je t’ai laissé ? » aurait pu dire Jean-Luc Lagardère le chef d'entreprise industriel et patron de presse français qui créait le groupe du même nom, à son fils unique Arnaud Lagardère qui avait pris sa succession, il y a déjà 20 ans !

« C’est la famille Bolloré qui le détient aujourd’hui »  aurait pu lui répondre ce dernier qui vient de signer avec Vivendi.

Le blog CGC Média vous propose de découvrir aujourd’hui les grandes lignes de l’opération que le site « The Média Leader » nous explique.

Extrait

" Vivendi a annoncé ce mardi la finalisation de son rapprochement avec son rival Lagardère, dont il détient près de 60% du capital et sur lequel il « peut dès à présent pleinement exercer un peu plus de 50% des droits de vote ».

Avec cette opération entamée il y a plusieurs années, le groupe contrôlé par la famille Bolloré change de dimension. Vivendi devient notamment « un leader mondial de l’édition » grâce à l’acquisition d’Hachette Livre, premier éditeur français et troisième mondial, se félicite-t-il dans un communiqué.

Enfin, il met la main sur plusieurs médias nationaux (le JDD, Paris Match, Europe 1).

« Ce rapprochement est effectif à la suite de la finalisation des deux cessions auxquelles Vivendi s’est engagé auprès de la Commission européenne », en l’occurrence celle du groupe d’édition Editis à International Media Invest du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, réalisée le 14 novembre, et celle du magazine Gala au groupe Figaro finalisée mardi, explique Vivendi dans son communiqué.

Au total, Vivendi passe de 38 000 à « environ 66.000 salariés présents sur tous les continents », et son chiffre d’affaires progresserait, sur une base comparable à celle de 2022, de +72% à 16,5 milliards d’euros, est-il précisé.

« Ce rapprochement est une chance pour nos deux groupes. (…) Nos activités, tant en termes de portefeuille de produits que d’implantation géographique, se complètent parfaitement », a déclaré le président du conseil de surveillance de Vivendi, Yannick Bolloré, qui assure vouloir préserver « l’intégrité » de Lagardère.

Dans un entretien au Figaro avec son père Vincent Bolloré et Arnaud Lagardère, PDG du groupe éponyme, Yannick Bolloré a indiqué qu’il entrera prochainement au conseil d’administration de sa nouvelle filiale.

« Nous souhaitons également laisser Lagardère coté en Bourse : l’enjeu pour nous est de maximiser la valeur pour l’ensemble des parties prenantes, dont les investisseurs », a-t-il ajouté.

Vivendi a par ailleurs repoussé lundi de 18 mois la date limite pour acquérir jusqu’à environ 22% du capital supplémentaire de Lagardère, via un mécanisme de droits de cession initié lors de son OPA sur le groupe en 2022.

Le groupe, déjà propriétaire de Canal+ et du groupe Havas, reste toutefois menacé par une enquête de Bruxelles sur une éventuelle prise de contrôle anticipée de sa cible, une infraction qui, si elle était confirmée, ne remettrait pas en cause l’acquisition, mais pourrait lui coûter jusqu’à 10% de son chiffre d’affaires total. "

mardi 21 novembre 2023

Répéter cent fois les mêmes mensonges, n'en font pas une vérité...n'en déplaise à Delphine Ernotte dont les pseudos engagements volent en éclats les uns après les autres !

Répéter cent fois les mêmes mensonges, n'en font pas une vérité...n'en déplaise à Delphine Ernotte dont les pseudos engagements volent en éclats, les uns après les autres !

Depuis début avril 2023, le service Diversité de France Télévisions est à l’arrêt. Sa directrice suspendue dans un premier temps, puis licenciée dans la foulée sans cause réelle et sérieuse à l'évidence comme vient de l'être le journaliste Ronan Ponnet, lui pour une imaginaire faute grave visant à s’en débarrasser manu militari après deux essais infructueux et qui vient selon nos informations de déposer plusieurs plaintes dont une au Pénal concernant son éviction et les probables d'une fonctionnaire préfectorale (en maladie depuis)

Depuis huit mois donc, la Diversité n'est plus d'actualité...point sur lequel l’ex-Orange s’était particulièrement agitée devant les membres du CSA, en juillet 2020, comme elle l’avait fait d’ailleurs pour la Défense du français qu'Emmanuel Macron était allé prôner à la  Cité internationale de la langue française au château de Villers-Cotterêts (Aisne) mais qu’elle foule aux pieds aujourd’huipas plus d'ailleurs que l'Environnement avec le lancement sur Instagram de "NOWU, le média que FTV avait chanté lui consacrer" que l'ex-Orange vient également d'arrêter....


Tout cela s'ajoute à l'annonce faite l'an dernier de mettre fin à la supposée chaîne spéciale JO dont elle avait claironné le lancement et à la liquidation de Salto une de ses consternantes  tocades qui coûtera aux contribuables près de 90 millions d'euros après seulement 2 ans et demi d'existence..3.

On attend avec impatience, le tweet de son pote et fan numéro 1, Roch-Olivier Maistre aux manettes pour quelques mois encore de l’Arcom enterprise

Pas grand chose à attendre du côté de son ex-dircab, alias le "Baron noir" dont la proximité supposée avec l'un des conseillers du président voire l'intéressé lui même révélée par Marianne (*) dont les échanges téléphoniques avec le Palais se seraient pratiquement taris !

(*) 

...


lundi 20 novembre 2023

"Quand je regarde France 3 Régions, je ne comprends rien...Les salariés, non plus d'ailleurs !"

"Quand je regarde France 3 Régions, je ne comprends rien...Les salariés, non plus d'ailleurs !"

Cette phrase simple et directe, l'ensemble des régions de France 3 l'ont entendu de la part de téléspectateurs délaissant ICI midi et ICI soir, ne comprenant plus rien à ce qu'il sur ces tranches horaires sinistrées malgré la propagande ernottienne qui prétend le contraire.

"Cela fait 13 jours et vous vous interrogez..." écrit cette journaliste de France Télés qui ajoute que depuis tout ce temps les grèves tous azimuts se poursuivent et invite les Français des régions " lire un communiqué" qui émane certes de France 3 Poitou-Charentes ais qui s'en aucun problème s'applique parfaitement à l'ensemble des régions.

Le texte interpelle tout un chacun "Dites-nous ce que vous pensez de la nouvelle formule, si vous l'avez regardée depuis le 4 septembre et si vous comprenez ce que vous regardez comme vous êtes nombreux à la faire savoir "Quand je regarde France 3 Régions Poitou-Charentes, je ne comprends rien" précisant, rassurez-vous "Les salariés, non plus !"

Ce texte s'il est picto-charentais à l'origine et qu'il a été rédigé suite à l'assemblée générale, qui s'est tenue le vendredi 10 novembre 2023, est évidement adapté à tous les territoires métropolitains où dans des temps peu lointains, les rendez-vous d'info de La Trois réunissaient encore quelques fidèles qui depuis, fuient les antennes de la télé publique.

Ce texte générique en quelque sorte (*) le voici:


(*) 


"Depuis mercredi 7 novembre, les téléspectateur.trices de France 3 Poitou-Charentes ne voient plus leur journal régional. La raison ? Une grève des salarié.es opposé.es à la réforme de l'information sur leur antenne.


A la rentrée de septembre, les journaux 12/13 et 19/20 nationaux ont disparu pour laisser la place à des éditions régionales qui désormais englobent aussi l'information nationale et internationale. Résultat : tout se noie dans  dans un seule et même édition ou la nature même de l'édition régionale se perd dans une édition globale qui n'en a finalement que le nom !


Un journal, qu'il soit papier, télévisé ou radiodiffusé, s'adresse d'abord à son public. Il s'attache à rester au plus près de son auditoire et de son lectorat. Désormais, dans leur forme, les journaux régionaux de France 3 s'adressent de moins en moins à leur audience en région et perdent leur identité. Les équipes de France 3 partout en France sont dépossédées de leurs journaux et tirent la sonnette d'alarme.


Lorsque nous sommes en reportage: dans la région, beaucoup d'entre vous nous interpellent en nous disant : « Quand je regarde France 3 Poitou-Charentes, je ne comprends rien à votre journal. Du local, du naional, de l'international ! ». Sachez que nous non plus.


L'espace pour exercer le métier de journaliste ne cesse de régresser. Nos éditions régionales se retrouvent à diffuser des éléments qui, même s'ils ont un réel intérêt informatif, n'ont rien de régional et et occupent autant d'espace antenne qui n'est, par conséquence, plus consacré à l'information régionale pour laquelle nous sommes regardés [étions regardés, serait plus juste, ndlr]


Tout se fabrique à effectif constant et à stress démultiplié. Par conséquence, tous les corps de métiers (journalistes, technicie.nes et personnels administratifs) sont affectés. Les conditions de travail se dégradent et aboutissent à un mal être puissant et généralisé.


Reste que ce qui nous inquiète en premier lieu, c'est de perdre l'attachement créé avec nos téléspectateurs. Hors de question de vous perdre. Nous travaillions pour vous, pour vous proposer des éditions régionales [qui devraient être, ndlr] les plus complètes possible.


Nous demandons des négociations pour obtenir des moyens humains supplémentaires et une vraie autonomie éditoriale pour les rédactions régionales et le rétablissement des éditions nationales distinctes."


PS : Niveau foirade, voici de quoi agacer un peu plus l'actionnaire qui selon nos infos, l'est déjà suffisamment comme ça:  L'ex Orange qui avait annoncé à l'été 2021, le lancement sur Instagram de "NOWU, son média consacré à l'environnement ", l'arrête d'un seul coup faute de pépettes !


Personne n'était au courant de sa mise en œuvre, dites-vous ! Eh bien, au moins, certains le seront donc à présent pour l'avis de décès !