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dimanche 19 novembre 2023

Encore un « big bang » élyséen, au sein cette fois-ci de cet univers impitoyable comme celui du générique de Dallas !

Encore un «  big bang » élyséen, au sein cette fois-ci de cet univers impitoyable comme celui du générique de Dallas !

En 2017 à mi-mandat, Emanuel Macron qualifiait la gouvernance de France Télévisions de "Honte de la République" »

« Ce n'est pas le groupe de télés publiques qui est visé » confirmait alors sur RTL  Gabriel Attal (sonore à l’appui) qui n’était alors pas ministre histoire de répondre à Delphine Ernotte qui essayait vainement d’utiliser les salariés comme des boucliers humains par une grotesque propagande dont elle est coutumière : « Le Chef de l’État  ne peut PAS s’en prendre ainsi au travail des personnels de France Télévisions »

Comme l’expliquait alors le blog CGC Média dans son article  « Pourquoi avoir laissé perdurer "la honte de la République" ?...Pour parvenir à la suppression de la redevance ( CAP) ! », le président de la République allait dans la foulée, suite à ce propos, annoncer « un big bang » pour l’audiovisuel public dont les Français n’allaient probablement pas revenir !

Bilan de l’opération, le dramatique constat que faisait Emmanuel Macron sur cette faillite de gestion de la télé publique est resté lettre morte comme le « big bang » dont personne n’a plus entendu parler !

 Le seul bang qui a eu lieu et qui n’a rien de big – sauf pour les salarié de France Télés qui dégustent depuis l’été 2015 et voient leur formidable outil de travail se dégrader année après année – c’est le reparachutage organisé de l’infirmière TV qui signait des renouvellements de contrats à FTV bien avant juillet 2020 !

De « big bang » il en est de nouveau question à l’Élysée aujourd’hui.

Le Monde dans son article signé Claire Gatinois et Natahalie Segaunes,  publié ce 17novembre et intitulé  « A l’Elysée, le communicant Frédéric Michel au cœur d’une guerre de clans », annonce quasiment le départ de « L’ancien lobbyiste, devenu conseiller en stratégie et communication d’Emmanuel Macron, est décrit comme partant sur fond de jalousies et de rivalités autour du chef de l’Etat »


Extrait :

« En ce début novembre, Jonathan Guémas franchit les grilles du palais présidentiel. L’ancienne plume d’Emmanuel Macron, parti en juillet 2022 pour rejoindre le groupe de communication Publicis, a rendez-vous à l’Elysée. Le chef de l’Etat, qui apprécie la mécanique intellectuelle du normalien, fait savoir au trentenaire qu’il aimerait l’avoir à nouveau à ses côtés. L’ancien socialiste, auteur de la plupart des discours d’Emmanuel Macron lors du premier quinquennat, brûle, lui aussi, de retrouver le chaudron politique. En charge de la cellule riposte au sein du parti Renaissance, il abreuve les journalistes de ses analyses pour défendre l’action présidentielle et échafauder le récit que le communicant de l’Elysée, Frédéric Michel, peine à inscrire depuis son entrée en fonction, le 15 septembre 2022. En mal de narratif depuis sa réélection, le chef de l’Etat donne l’image d’un zigzag au gré des volte-face, ces dernières semaines, dans ses déclarations sur le conflit entre Israël et le Hamas. En politique intérieure aussi, il laisse penser qu’il tâtonne, évoquant le 3 novembre la possibilité de s’acheminer vers un référendum sur l’immigration, avant d’y renoncer le 17. « La cohérence se fait par le récit. Le récit est performatif », soupire Jonathan Guémas. Mais le Lyonnais, hier décrit comme « la porte d’entrée du cerveau d’Emmanuel Macron », connaît trop la maison élyséenne pour savoir qu’y revenir nécessite d’avoir les mains libres. Après un peu plus d’an installé à son bureau, Frédéric Michel sera-t-il poussé vers la sortie pour faire place au directeur associé de Publicis ? Au Palais, chacun sait qu’Emmanuel Macron peut laisser mûrir sa réflexion durant des jours, des semaines, voire des mois avant d’appuyer sur le bouton. Ou pas. Mais, devant ses troupes, il juge en septembre qu’un « big bang » serait nécessaire à l’Elysée.

La polytechnicienne Emilie Piette a déjà été recrutée pour remplacer Pierre-André Imbert, en tant que secrétaire générale adjointe de l’Elysée, où elle sera épaulée par l’inspectrice des affaires sociales Constance Bensussan. « Je ne pars pas », dit Frédéric Michel d’un SMS. Le communicant, d’ordinaire peu empressé auprès des journalistes, préférant s’adresser à leurs patrons, se hâte, ce 17 novembre, de rectifier le tir après que Le Figaro a révélé l’examen de son dossier par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) en vue d’un retour dans le secteur privé. « Les membres du cabinet du président sont tenus de saisir la HATVP lorsqu’ils partent pour un nouveau poste. Encore faut-il qu’ils disent où ils veulent aller », signale l’ancien député René Dosière, président de l’Observatoire de l’éthique publique… »

Il semble pourtant, cette fois-ci, que le « big bang » intervienne, pendant la période de fêtes de fin d’année, c’est toujours la plus propice pour ce genre d’opération…et qu’il soit le départ de réactions en chaîne concernant, entre autres celui avorté de la télé publique !

N’en déplaise au « Baron noir » (*), au secrétariat général du palais ou au maire du Havre (de moins en moins candidat pour 2027 !) derniers soutiens de celle qui survivra à Jupiter…foi de Médusa !

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