Conte d'une tyrannie moderne pour des méthodes d'un autre âge ! Laisser un tel délire s’étendre, serait le cautionner.
De l’ORTF démantelée en 1974 que l’État
veut ressusciter aujourd’hui, il ne reste qu’un comité
interentreprises des sociétés de l’Audiovisuel public mutualisant
une partie de leurs activités sociales et culturelles. Cette structure dont les
effectifs font qu’elle fonctionne comme une PME de plus de 50 salariés avec un CSE
donc des élus et un CSSCT, revêt une particularité, son bureau est formé de
salariés élus dans les différentes sociétés de radiotélévision.
La comparaison s’arrête car la responsable légale (élue cégétiste de France Télés) y fait régner la terreur et n’en fait qu’à sa tête.
Elle a par exemple,
dénoncé « l’accord d'entreprise » qui encadrait les
salariés de cette structure depuis des années...Plus de neuf mois, se sont
écoulés et rien à l'horizon et surtout pas d'accord de substitution qui
pointerait le bout de son nez !
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Elle vient de convoquer pour entretien préalable en vue d’un licenciement, deux des salariés de la structure qui avaient adressé un courrier d’alerte signalant les nombreux dysfonctionnements, l’ambiance de peur et l’atmosphère délétère qui règnent sur place, après qu’elle a reçu une première lettre collective pour les mêmes raisons qui, chacun l’imagine, a dû finir dans la poubelle ! Selon nos infos, deux autres salariés sont également convoqués dont une élue.
La ficelle est tellement grosse ! Elle pense peut-être qu’en tentant
de sanctionner ces deux lanceurs d’alertes, plus personne n’osera bouger un cil ?!
Elle se trompe lourdement car la CGC de l’Audiovisuel s’apprête, non seulement
à faire un signalement au procureur de la République - elle ne devrait pas
être seule organisation à le faire - mais également à se porter aux côtés de ces deux lanceurs d’alerte, si
cette procédure n’était pas immédiatement annulée.
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Elle ne sévit pas que dans la structure qu’elle
est censée gérer. Salariée élue CGT de France Télés, en mars dernier, elle a déclaré un accident du travail lors
d’un déplacement sans que personne ne soit au courant dans le centre de
vacances d’Hauteluce (* dont nous reparlerons). Le motif: elle aurait
subi un choc psychologique après un désaccord survenu 3 semaines avant avec sa
souffre-douleurs (comprenez un des personnels administratifs du CSE de France
Télés ) contre qui elle aurait également demandé des sanctions à la RH !
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Ce n’est d’ailleurs pas les seuls à être victimes de ce despotisme
inadmissible qui n’a pas sa place au sein de sociétés d’État.
(*) S’agissant de Hauteluce centre de séjour
au cœur du Beaufortain, à seulement 23km d'Albertville et 7km des Saisies, où
elle vient de se rendre toujours inopinément, flanquée d’une pote architecte pour des travaux décidés de longue
date mais qu’elle décide donc de revoir, après avoir débarqué l’ancien
architecte et consort qui les avait validés…Quid du mandat des élus pour engager quoi que ce soit, ou encore
d'un quelconque appel d’offres où d'une supposée mise en concurrence?
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
« La Ceaucescu » comme certains la surnomment, a viré d’un
claquement de doigt, le responsable d’un autre centre de vacances à l’Isle-Jourdain
(après 42 ans de bons et loyaux services) ainsi que sa femme avec en prime un
avertissement pour des raisons bidon et ce à deux mois de la retraite.
La nouvelle direction qu’elle a,
elle -même choisie, s’est d’ailleurs avérée être un cinglant échec avec en
filigrane la mission de dégager celles et ceux qui étaient proches de ce couple
licencié manu militari. Pour exemple, cet
animateur qui a collaboré pendant huit ans sans jamais aucun problème
- personne fiable et volontaire, sans problème et connaissant pourtant la
région sur le bout des doigts comme les habitant à l’Isle-Jourdain - éjecté sans aucune raison à part d’avoir
collaboré avec le couple précité.
En l’occurrence, il a œuvré pendant 8 ans au sein du
village vacances de l’Isle-Jourdain, au début en tant qu’animateur puis
rapidement en tant que responsable d’animation. Pendant les saisons 2022-2023, il
a été en rapport constant avec l’office de tourisme Sud Vienne Poitou pour promouvoir
entre autres, le tourisme local. Lorsqu’il décidait légitimement de postuler de
nouveau au poste de responsable d’animation au village CIORTF de l’Isle-Jourdain,
il a su que son nom aussi était sur liste noire et ce malgré ces années de
collaboration et un comportement exemplaire.
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Toutes les entreprises locales qui ont travaillé avec l’ex-directeur limogé
lors de la rénovation du centre, font à présent partie d’une liste noire et
sont barrés.
Que dire des
interventions péremptoires de cette architecte, elle aussi proche de la despote
(loin d’être éclairée) qui valide des plans qui ne sont pas
conformes après passage de l’Apave société française qui intervient dans le domaine de la maîtrise des risques
et réalise des activités de contrôle, d'inspection, de certification et de
formation sur des thèmes liés à la sécurité ? Que représente les
sommes liées aux « missions » qu’elle a effectuées à sa
demande ?
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Il semble bien légitime de s’interroger
sur le nombre de JV (journées de vacances) - entre 9000 et 10000 JV/an
au moment où le couple viré y était - ainsi que le nombre de JV à l’heure
actuelle sur le village de de l’Isle-Jourdain ? Comment une
seule personne peut décider d’éjecter des personnels sans jamais qu’ils n’aient
eu le moindre problème professionnel ou personnel ?
Une ex-salariée a bien essayé les Prud’hommes après avoir été viré sous un faux prétexte déboutée pour une question de service, à savoir celui des retours auprès duquel nombre de vacanciers émettait des avis plus que négatifs
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Pour ce qui est du fric dépensé et des passe-droits, les
voyages aux USA, sont aussi une illustration de cette gestion surréaliste qui
se déroule sous sa houlette.
Elle a, entre autres, organisé plusieurs voyages à New York. Pourquoi ? Le premier, sa progéniture déjà partie plusieurs fois n’avait pas été retenue dans la vingtaine retenue donc inéligible pour le séjour USA grands parcs Août. Elle en a donc programmé un autre pour que cette dernière puisse aller voir The big apple. Bonjour le coût.
Elle a organisé une "Formation à la conduite accompagnée" a la Toussaint Rebelote pas de place pour la demoiselle parmi les 24 confirmés lors du tri informatique. C’est une pression de tous les instants - celle dont sont accusés régulièrement celles et ceux qui ne filent pas droit - qui a été mise sur le responsable de l'époque qui était en CDD pour qu’il « agisse dans le bon sens » ! Il a fallu raconter à 2 familles qu'à cause de « lenteurs administratives, leur dossier auprès de la préfecture ne serait pas constitué à temps car il fallait compter 3 mois pour obtenir un dossier complet pour les habitants du 93 ».
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
Comme si le tableau n’était déjà pas assez noir, il convient de s’interroger sur les 40.000€ perdus au casino par une directrice de colo juste avant le départ !?
Sur quelle ligne budgétaire cette invraisemblable négligence a-t-elle atterrie ?
Pour une soi-disant syndicaliste, ça laisse pantois.
La conclusion à tout cela, le blog CGC Média l’a mise dans le titre et la reprend bien évidemment « Laisser s’étendre ce délire, serait le cautionner ».
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