Quatre procédures disciplinaires en cours à TV5 Monde
après la révélation de Médiapart sur la "souffrance au travail" qui y
règne.
« Des situations de "harcèlement moral", des agissements
sexistes et un "mal-être généralisé" ont été recensés dans deux enquêtes
internes présentées en juillet et décembre 2019, l'une émanant de représentants
de la rédaction et l'autre mandatée par la direction de la chaîne » écrit
le site belge 7sur 7 qui fait référence à l'artilce de Médiapart sur la "souffrance au travail" qui règne au sein de la chaîne.
«Un cocktail de terreur et de brutalité. » « Des salariés dépressifs, en pleurs, en mal-être permanent. » « Une rédaction qui a peur. » « Un management qui discrimine les femmes, les homosexuels, les représentants syndicaux. » « Un climat délétère. » « Agissements à connotation sexiste ou sexuelle. » « Harcèlement moral. » « Dérapages comportementaux. »... peut-on y découvrir avec en prime à la fin de l'article, l'analyse d'un des représentants du personnel qui laisse entendre que "TV5 va mourir comme France Ô".
Sur les quatre procédures confirmées vendredi à l'AFP par la direction de la chaîne publique, après la parution d'une enquête de Médiapart, deux procédures pouvant aller jusqu'au licenciement ont été engagées contre un directeur adjoint de l'information et le directeur de la rédaction. Deux autres procédures concernent des journalistes.
« La rédaction de TV5 Monde avait déjà adopté en avril 2019 une motion de défiance à l'encontre de sa direction pour protester contre un projet éditorial jugé "indigent" et "une gouvernance brutale" » ajoute le site d’information qui indique également « Depuis, l'ensemble de l'ancienne direction de l'information de TV5 Monde est partie ou en arrêt maladie. Et une nouvelle directrice de l'information a été nommée: Françoise Joly, ex-présentatrice du magazine "Envoyé Spécial" sur France 2. »
Yves Bigot le pédégé de la chaîne francophone internationale, fondée en 1984 et financée par la France, la Suisse, le Canada, le Québec et la Fédération Wallonie-Bruxelles dont le budget s'élevait à 112 millions d'euros en 2018 (filiales inclues) deux tiers étant issus de la redevance française, s’il n’a pas souhaité faire de commentaire sur "cette situation qui doit appartenir au passé" selon lui, a tout de même tenu à préciser "Nous reconstruisons avec Françoise Joly après une période très compliquée" (*)
(*) La direction avait espéré se faire discrète sur la suppression des trois journaux de la nuit ainsi que trois émissions avec à la clef huit suppressions de postes à la rédaction, via des départs volontaires, comme le blog CGC l’avait écrit le 2 décembre dernier dans son article « Un plan qui ne dit pas son nom à TV5 »
«Un cocktail de terreur et de brutalité. » « Des salariés dépressifs, en pleurs, en mal-être permanent. » « Une rédaction qui a peur. » « Un management qui discrimine les femmes, les homosexuels, les représentants syndicaux. » « Un climat délétère. » « Agissements à connotation sexiste ou sexuelle. » « Harcèlement moral. » « Dérapages comportementaux. »... peut-on y découvrir avec en prime à la fin de l'article, l'analyse d'un des représentants du personnel qui laisse entendre que "TV5 va mourir comme France Ô".
Sur les quatre procédures confirmées vendredi à l'AFP par la direction de la chaîne publique, après la parution d'une enquête de Médiapart, deux procédures pouvant aller jusqu'au licenciement ont été engagées contre un directeur adjoint de l'information et le directeur de la rédaction. Deux autres procédures concernent des journalistes.
« La rédaction de TV5 Monde avait déjà adopté en avril 2019 une motion de défiance à l'encontre de sa direction pour protester contre un projet éditorial jugé "indigent" et "une gouvernance brutale" » ajoute le site d’information qui indique également « Depuis, l'ensemble de l'ancienne direction de l'information de TV5 Monde est partie ou en arrêt maladie. Et une nouvelle directrice de l'information a été nommée: Françoise Joly, ex-présentatrice du magazine "Envoyé Spécial" sur France 2. »
Yves Bigot le pédégé de la chaîne francophone internationale, fondée en 1984 et financée par la France, la Suisse, le Canada, le Québec et la Fédération Wallonie-Bruxelles dont le budget s'élevait à 112 millions d'euros en 2018 (filiales inclues) deux tiers étant issus de la redevance française, s’il n’a pas souhaité faire de commentaire sur "cette situation qui doit appartenir au passé" selon lui, a tout de même tenu à préciser "Nous reconstruisons avec Françoise Joly après une période très compliquée" (*)
(*) La direction avait espéré se faire discrète sur la suppression des trois journaux de la nuit ainsi que trois émissions avec à la clef huit suppressions de postes à la rédaction, via des départs volontaires, comme le blog CGC l’avait écrit le 2 décembre dernier dans son article « Un plan qui ne dit pas son nom à TV5 »
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