Les millions d’argent public qu’Ernotte a jetés à la poubelle avec la dissolution annoncée de Salto sa catastrophique tocade industrielle !
Il ne fallait surtout pas raconter au 6 membres du CSA en juillet 2020 - ROM avait pris soin d’écarter Hervé Godechot le 7ème des membres de l'instance de régulation à qui il avait interdit de participer au vote pour la présidence de France Télévisions sous prétexte que celui-ci n’en aurait pas eu LÉGALEMENT le droit pour d’imaginaires raisons de conflits d'intérêts …qui a conduit le SNPCA-CGC à saisir la Justice - que Salto la lubie ernottienne ne marchait pas et perdait des millions !
Le 5
décembre dernier dans son article « Qui a intérêt à faire circuler des rumeurs sur
l’éventuel rachat du fiasco Salto ? », le blog CGC
Média dénonçait les mensonges accumulés par France Télés pour tenter de
faire croire à un rachat de Salto sur fond de déclarations insincères de
l’entreprise essayant de masquer les dizaines de millions de pertes donc d’argent
public que le contribuable français a dû payer pour du vent, multipliant généreusement
au passage les dizaines de milliers d’abonnées pour en faire d’illusoires centaines !
Extrait :
Dans un de ses
nombreux articles, notamment « La dernière incartade ernottienne qui pourrait
bien finir devant la Justice en scandale d’État ! », le
blog CGC Média soulignait les risques encourus par l’ex-Orange qui à France
Télévisions chante le soi-disant équilibre des comptes "hors
éléments non récurrents" » c’est-à-dire
un résultat d'exploitation du groupe sans les énormes pertes de
Salto !
L’invention
ernotienne qui publiera ses comptes
EN 2020 pour la dernière fois avec un chiffre d’affaires de 250.000 € face
à cet incroyable déficit cumulé que
chiffre Les Échos dans son article « La plateforme de streaming Salto est à
vendre » à « 180 millions de pertes brutes pour ses
actionnaires (avant les recettes pour la distribution et les programmes
versées par Salto). »
L’ex-Orange et son ex-dircab chantaient d’ailleurs être à la recherche d’un actionnaire
qui croit dans le projet industriel de Salto…omettant le plus fallacieusement
qui soit de dire que ce dernier ne pourra de toute façon, pas se
substituer à FTV à cause du pacte d'actionnaires qui lie au minimum pour 5 ans TF1, M6 et France Télés
dans Salto (*)
Autrement
dit, Agile
petit acteur des média espagnols qui aurait soi-disant déposé une offre
de reprise globale du service de vidéo-à-la-demande ernottien Salto, n’avait
légalement aucune chance de racheter quoi que ce soit à cause dudit pacte d’actionnaires. (*)
Dans toute grande société privée, un tel empilement de manquements aurait déjà conduit les quelques responsables de cette catastrophique mascarade et pharaonique déroute vers la SORTIE… « mais nous sommes en France » explose ce politique qui ajoute « voilà où nous ont conduit ces gens » revenant sur la sortie hier de Cyril Hanouna dans TPMP.
Aujourd’hui, tout ce qu’a écrit le blog
CGC Média à travers ses nombreux articles, se révèle donc totalement exact
mais pire montre également comment la supposée instance de régulation post
Schrameck, les ministres de la Culture jusqu’à Rima Abdul Malak, certains
membres du gouvernement particulièrement celui d’Édouard Philippe, l’État
actionnaire, les Tutelles et quelques député(e)s ou sénateur(trice)s ont
fermé les yeux et laissé dilapider ainsi les deniers publics.
(*)
Le blog CGC Média vous propos de découvrir des extraits signés Jammal Henni pour
L’Informé publiés sur leur site, révélant que c’est le 20 janvier que l’Infirmière
TV devrait envoyer définitivement à la poubelle les dizaines et dizaines de millions
du contribuable vache à lait !
« Selon nos informations, France Télévisions s'apprête à acter en interne la dissolution de la plateforme créée en 2020 par les groupes TF1, France Télévisions et M6.
Delphine
Ernotte, actera,
ce vendredi 20 janvier selon l'ordre du jour d'un Comité social économique
(CSE) central extraordinaire, la "cessation des activités" et la "dissolution
de la société Salto".
Prise de parole d'autant plus intéressante que France Télévisions était jusqu'ici le seul acteur à ne pas s'être prononcé sur le futur de la plateforme...
Selon nos informations, un "acteur étranger" était candidat à la reprise de Salto. "L'informé" révèle, ce lundi soir, qu'il s'agirait de la société espagnole "Agile". Mais le trio d'actionnaires de Salto et le candidat à la reprise ne seraient pas tombés d'accord. Une "dissolution", soit la fin de la plateforme telle que les 800.000 abonnés la connaissent aujourd'hui [un chiffre largement gonflé, maintient le blog CGC Média, ndlr], sera officialisée en fin de semaine…
Ce qui pourrait signifier « Une fin pure et dure pour Salto où qu'aucun autre acteur n’hériterait des contenus et/ou des abonnés du service SVOD. Contactés par puremedias.com, TF1, France Télévisions, M6 et Salto n'ont pas souhaité réagir.
Une mort à petit feu
Lancé en octobre 2020, le service de vidéo à la demande par abonnement, tel qu'on le connaît, était sur la sellette depuis plusieurs mois. Le long feuilleton autour de la fusion de TF1 et M6 a contribué à accélérer les choses. Il y a moins d'un an, en mars 2022, France Télévisions avait, en effet, annoncé qu'elle céderait, pour 45 millions d'euros, sa participation dans Salto en cas de réalisation du projet de rapprochement des groupes TF1 et M6. [En violant au passage le pacte d’actionnaires qui l’interdit sur 5 ans..combien de fois faudra-t-il le répéter, ndlr]
Six mois plus tard, une fois la fusion des deux groupes privés enterrée, la première œuvre commune des groupes TF1, France Télévisions et M6 n'était pas pour autant sauvée. Le 17 novembre 2022, TF1 et M6 ont officialisé lors d'un conseil de surveillance, selon "La Lettre A", leur retrait du "Netflix à la française", qu'elles ont elles-mêmes concurrencé l'an passé avec l'émergence de leurs offres payantes respectives, MyTF1 Max et 6play Max.
Seul France Télévisions restait encore à bord. "Salto a un avenir, mais pas avec l'actionnariat tel qu'il est aujourd'hui", confirmait Delphine Ernotte dans une interview au "Figaro", parue cinq jours plus tard, le 22 novembre 2022. Avant d'ajouter : "Si demain il trouve un acquéreur, je n'aurai aucun problème à y laisser nos contenus".
"L'avenir de Salto devrait se préciser rapidement, sans doute en début d'année prochaine", assurait, de son côté, Nicolas de Tavernost, président du directoire du groupe M6, au "Figaro" le 14 décembre.
On y est.
Les effectifs de Salto, eux, ont bien compris que le vent tournait et que l'ambiance au sein de la société ne respirait pas la sérénité. Selon les éléments que puremedias.com a pu recueillir, plusieurs dizaines de départs ont été recensés ces six derniers mois. Les effectifs restants auraient quitté leurs locaux de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), comme l'avance, ce lundi soir, "L'informé".
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