"The lonesom dircom" de France Télés pas inquiétée après son tweet à la députée.
Dans le droit fil de l'article publié par leblog CGC Média, le 30 janvier dernier, le "France Télés : les résultats de l'enquête sur le bandeau "gravissime" de France info conduisent à Ernotte !", pas un responsable ne le sera !
Le tweet de Muriel Attal à la députée ou elle implique France Télés qui n'a entraîné de côté-là, aucune mesure disciplinaire qui en parle ? Le tweet ! Quel tweet ?
Le blog CGC Média qui parmi les très nombreuse réactions qu'il a reçues à ce sujet, a choisi de publier la réaction d'un de ses lecteurs médusés. La voici
« On a immédiatement réagi Caroline. La direction de l’info et FTV ont été des Lucky Luke ».
Le tweet de la directrice de la communication de France Télévisions est destructeur pour l’indépendance des rédactions de l’entreprise.
C’est une faute grave. Extrêmement grave car elle laisse croire que FTV est aux ordres et se courbe au moindre desiderata d’une femme ou d’un homme politique. Ici en l’occurrence une députée.
C’est insupportable .
L’opprobre est jeté sur les journalistes dont l’indépendance n’est pas défendue par celle là même dont la fonction est d’assurer la promotion de l’entreprise et de tous ses salariés. [Ernotte, ndlr]
À ce jour Muriel Attal n’est même pas suspendue.
Ses relations lui assurent donc l’IMPUNITÉ. La direction de FTV lui assure donc la certitude de l’IMPUNITÉ.
Elle s’enhardit même à promener son impunité dans les couloirs de l’entreprise ajoutant à sa faute professionnelle un forfaiture de plus. C’est inadmissible mais tellement représentatif des méthodes en cours depuis une décennie avant que la responsable légale annonce, en toute impunité, qu'elle veut se maintenir !
Cette double impunité n’est pas seulement humiliante, elle est aujourd’hui un réel défi à l’indépendance des rédactions de FTV.
Muriel Attal a d'ores et déjà perdu toute crédibilité. Démonétisée, ridiculisée pour avoir confondu SMS privé et tweet public, elle ne peut plus assumer la communication de France Télévisions et encore moins celle des productions de la direction de l’Information en grande difficulté depuis des lustres, face à la concurrence.
Elle doit partir.
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