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vendredi 24 octobre 2025

L’insupportable victimisation de Delphine Ernotte déshonore la télé publique ; elle doit maintenant rimer avec sa DÉMISSION.

L’insupportable victimisation de Delphine Ernotte déshonore la télé publique ; elle doit maintenant rimer avec sa DÉMISSION.

Point n’est besoin d’attendre l’instruction judiciaire qui devrait commencer rapidement après que la CGC de l’Audiovisuel public a officiellement saisi le Doyen des juges de sa plainte pénale visant à faire annuler le 3ème parachutage d’Ernotte à France Télés ainsi que celles et ceux qui ont enfreint la loi pour ce faire,  pas plus que les résultats de la Commission d’enquête que l’Assemblée nationale,  jugée « recevable » ce 21 octobre dont Charles Alloncle, en tant que rapporteur, a promis une approche « rigoureuse et objective »pour acter sans délai la DÉMISSION de Delphine Ernotte.

Entre le rapport accablant de l’IGF en mars 2024

- puis celui au vitriol de la Cour des comptes qui a fait l’objet de toutes les transactions pour ne sortir qu’après le 3ème parachutage ernottien -  celui que cette dernière présente ainsi devant les 200 Top managers « On n’avait pas anticipé le Bullshit [traduction anglais/français :   discours trompeur ou prétentieux, discours exagéré ou stupide; absurdité, ndlr] le shit storm [traduction anglais/français : tempête de merde, ndlr] parce qu’en vrai, il est bien le rapport de la Cour des comptes et tous les gens raisonnables vous le diront »  (sic…On n’en  est plus à une énormité près !)

(*)

- le dernier rapport édifiant du cabinet mandaté en février dernier pour « risque grave » 
 qui dresse un bilan très inquiétant de l'organisation de travail au sein du pôle info de France Télés malgré une enquête a "𝐬𝐞𝐦𝐞́𝐞 𝐝'𝐨𝐛𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬" dans l’entreprise et des experts qui experts n'ont pas pu correctement mené leur audit social comme le révèle l'article signé Catherine Boullay dans @La Lettre (*)

La coupe est pleine et la DÉMISSION d’Ernotte, la seule issue à l’insupportable victimisation que l’ex-Orange a servie lors du dernier webinaire devant 200 TOP managers totalement hallucinés par les interventions, entre autres, de la secrétaire générale adjointe, le directeur de la sécurité ou en encore l’ex-dircab  ernottien qui indique  « Au moment de la privatisation ça sera tout le monde dehors et c’est pour ça qu’il faut mener cette bagarre aujourd’hui » et ajoute « La balle elle ne vise pas que Delphine. Elle vise tous les gens qui sont là, tous les journalistes, tous les collaborateurs, toutes les équipes. Et ça ne marchera pas de penser qu’il y a eux et nous. » (sic)

A vomir…

La tentative d’endoctrinement et de bourrage de crâne ne s’est pas arrêtée là !

Il y a eu pêle-mêle « Le harcèlement que subirait Delphine depuis des jours et des jours…Les attaques qui cibleraient Delphine…Les mensonges qui seraient  propagés par le groupe Bolloré contre Delphine…La presse non Bolloré, de droite comme de gauche (peut-être un peu plus à droite qu’à gauche) qui relaierait les mensonges contre Delphine comme les essuie le protagoniste du roman de  Winston Smith : 1984, employé assidu de niveau intermédiaire au ministère de la Vérité qui déteste secrètement le Parti et rêve de rébellion…ou encore Delphine victime d’une logique systémique et systématique de harcèlement et de destruction totale. »

Extraits :

Il s’agit ici de l’exact verbatim de cette diarrhée verbale qu’ont dû supporter les hauts cadres de France Télés qui n’en peuvent plus de cette incessante propagande à vomir et qui n’attendent qu’une chose,  qu’Ernotte s’en aille après tout le mal qu’elle a fait au groupe public :

« Pendant 10 jours, il y a eu un tir de barrage, d’insultes et de harcèlement sur Delphine.. La presse non Bolloré, de droite comme de gauche, peut-être un peu plus à droite qu’à gauche, qui relaierait les mensonges contre Delphine. Derrière c’est pas que Delphine qui est attaquée, c’est France Télévisions qui est attaqué c’est pas la personne de Delphine Ernotte  qui est attaquée, c’est la personne morale de France Télévisions qui est ciblée. 

Moi je veux le dire aux collaborateur et à toutes les équipes -  on n’est pas dans les renouvellements de mandats, les chefs là-haut passés du huitième étage au sixième et tout – que la balle elle ne vise pas que Delphine. Elle vise tous les gens qui sont là, tous les journalistes, tous les collaborateurs, toutes les équipes. Et ça ne marchera pas de penser qu’il y a eux et nous. Au moment de la privatisation ça sera tout le monde dehors et c’est pour ça qu’il faut mener cette bagarre aujourd’hui.

Et c’est pour ça qu’il faut répliquer. C’est indispensable. Il ne pas penser que c’est quelques-uns qui seront taclés,  ou tel programme ou tel machin, c’est une logique systémique et systématique de harcèlement et de destruction totale…

Moi ce que j’ai trouvé très choquant dans ce moment-là, c’est que la presse non Bolloré, de droite comme de gauche, peut-être un peu plus à droite qu’à gauche, mais en tout cas la Presse non Bollloré à relayé les mensonges qui ont été propagés par le groupe Bolloré. On est entré dans une sorte d’ère de post-vérité qui est extrêmement problématique parce qu’on se rend compte - un peu comme dans 1984, livre que je recommande chaleureusement -  eh bien que plusieurs mensonges, au bout de l’addition de mensonges au bout d’un moment devient la vérité. [Il faut oser pour des gens qui mentent toute l’année, ndlr]

Et quand on voit ce  que des journaux comme le Figaro, Le Point, Le Parisien, Le Monde qui a aussi écrit deux ou trois conneries, arrivent à enchaîner là-dessus c’est consternant…

Les menaces contre Delphine, elles existent, elles sont réelles et qu’il faut bien comprendre c’est que si c’est la personne de Delphine qui s’est beaucoup engagée dans cette affaire, qui est en cause. Ce n’est pas Delphine qui est visée en tant que telle, c’est France Télévisions. C’est l’audiovisuel public, c’est tout un système aujourd’hui - qu’on soit d’accord ou pas d’accord, qu’on puisse parler parfois de « Wokistan » ou pas -  qui assure aujourd’hui un équilibre démocratique qui est totalement indispensable. »

C’est la même soupe qu’elle est allée refourguer à la Société des Journalistes de France Télévisions Rédaction Nationale qui n’a pas fait preuve d’une virulence extrême – c’est le moins qu’on puisse  dire ! – et qu’elle a roulé dans la farine comme de coutume…

Il suffit de lire leur compte-rendu et de conseiller aux courageux qui seraient allés jusqu’au bout, de constater comment l’ex-Orange les a enfumé comme les tops managers avec un exercice de conjugaison des plus grotesques  « Je suis attaquée, nous sommes attaqués, vous êtes attaqués »

Le blog CGC Média ne va pas décortiquer le vide sidéral qui leur a été servi sur un plateau avec des bobards en pagaille du style « Les sondages montrent clairement que les Français nous font confiance, beaucoup  plus qu’aux chaînes privées, beaucoup plus qu’aux réseaux sociaux. Mais si on se fait  attaquer matin, midi et soir par une galaxie extrêmement puissante, ça peut être  mis à mal. » 

Nous vous proposons de découvrir les propos tenus qui ne seront évidemment pas suivis d’effets comme d’habitude et à la lecture des quelques lignes d’intro (¤ ci-contre ) : « Nous lui avons fait  part de nos inquiétudes concernant la réorganisation annoncée de France  Télévisions [l’ex-dircab en lieu et place d’Alexandre Kara, ndlr] et l’intégration de la direction de l’information au sein d’un unique “pôle  contenus”. Delphine Ernotte a tenté de nous rassurer, elle promet que la direction de  l’information gardera bien son indépendance, mais nous restons très dubitatifs sur  l’intérêt de cette réorganisation. En quoi profiterait-elle à une numérisation  innovante, exigeante et vérifiée de l’info ? Cette strate supplémentaire ne nous  paraît pas pertinente en l’état. » 

La marâtre médiatique a du bien rire ensuite du bon tour qu’elle croit leur avoir joué !

"Miroir, miroir, dis moi ce qui m'attend ?" et le miroir répond "Ta démission ! "


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