-L'un pour la journée du dimanche 21 mars
-L'autre pour le lendemain....d'autres préavis seront déposés en cascade, sur les jours à venir, ce mardi ou ce mercredi.
Le SNPCA-CGC ne s'est rallié à rien du tout, ni a qui que ce soit et , contrairement à ce que certains se plaisent à colporter faussement, et n'a rien rejoint du tout.
Rappelons que le SNPCA-CGC reprend dans ces préavis les 2 revendications majeures du préavis de mars 2008 qu'elle avait déposé à l'occasion du premier tour des élections municipales, à savoir :
-Garantir le maintien des Conventions Collectives
-L'arrêt de la réforme Carolis (qui n'était pas encore devenu texte de loi) dont la mise en oeuvre des 8 chantiers à l'époque représentaient les prémices de cette pitoyable "réorganisation".
Grève que la CGT avait, à l'époque qualifié "d'action surréaliste" émananant d'un un syndicat ultraminoritaire, destiné à mettre en l'air une soirée électorale et d'autant plus scandaleux dans le contexte où se jouait la pérennité du service public de l'audiovisuel que la CGT appelit alors de ses voeux".
Voila pourquoi le SNPCA-CGC ne se rallie pas à la CGT mais a estimé bien avant la date du 14 mars (à compter du 4 janvier 2010) que la date du 21 mars, du lendemain et des jours qui suivent, constituaient un symbole fort de démonstration évident du raz-le-bol des salariés dont le syndicat défend en permanence les textes conventionnels, les métiers et l'organisation du travail.
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