C’est ce que vient expliquer aux salariés de France Télés
la CFDT dans son communiqué intitulé « Plusqu’une RCC, un accord-cadre sur le déploiement du projet d’entreprise qu’elle a signé ».
Comme l’a indiqué le blog CGC Média dans ses derniers post concernant ce plan massif de licenciements - il s’agit bien de 2.000 départs et non 900 comme voudraient le faire croire certains ! - validé par le trio CGT/FO/CFDT avec la direction de France Télés et rebaptisé pour la Presse par le responsable des effectifs à France Télés « plan de de développement ambitieux, déterminant pour l’avenir de cette maison », a été transmis à un cabinet d’avocats pour que la Justice en soit saisie, principalement sur le caractère illégal de certaines dispositions.
Ni le SNPCA-CGC, ni l’UNSA, ni le SNJ ne sont dupes d’une telle manœuvre et de la vaine tentative d’explications « vaseuses » à laquelle se livre aujourd’hui la CFDT l’un des 3 signataires. Voici ce que cette dernière ose écrire « Même si nous ne pouvions nous réjouir de la disparition de 900 postes, il fallait regarder la situation en face, notamment depuis 2011. »
Ce serait même parce que « plus de 770 Equivalents Temps Plein ont disparu sans aucun contrôle des organisations syndicales » depuis cette période que la CFDT qui va jusqu’à avouer qu’elle n’opérait aucun contrôle - attention demain elle va les opérer !!!! – qu 'elle a signé avec la direction au détriment des salariés.
« Regarder la situation en face » pour une CFDT qui ne sait apparemment pas compter et mène les salariés en bateau – en galère serait plus pertinent - faut oser !
Rappelons également à la CFDT que ce sont bien 2.000 départs qu’espère France Télés (900 postes c’est le différentiel entre les 2000 départs et 1100 hypothétiques embauches qui soit dit en passant ne sont absolument pas garanties…
Les engagements de recrutements chiffrés pour 2019 et 2020 qui ont disparu (page 11 du précédent projet d’accord), de même que l’engagement de recruter prioritairement les précaires que la direction a elle-même reconnus « réguliers ou historiques voire premium »: Compte tenu de l’objectif poursuivi dans le cadre du présent Accord, les recrutements se feront en priorité sur les emplois permettant à la Société de disposer de profils nouveaux et complémentaires et lui permettre, notamment, de réaliser sa transition vers le numérique (page 11 de l’accord) - et que signer une telle entourloupe pour soi-disant « peser dans les projets de l’entreprise » c’est lamentable !
Comme l’a indiqué le blog CGC Média dans ses derniers post concernant ce plan massif de licenciements - il s’agit bien de 2.000 départs et non 900 comme voudraient le faire croire certains ! - validé par le trio CGT/FO/CFDT avec la direction de France Télés et rebaptisé pour la Presse par le responsable des effectifs à France Télés « plan de de développement ambitieux, déterminant pour l’avenir de cette maison », a été transmis à un cabinet d’avocats pour que la Justice en soit saisie, principalement sur le caractère illégal de certaines dispositions.
Ni le SNPCA-CGC, ni l’UNSA, ni le SNJ ne sont dupes d’une telle manœuvre et de la vaine tentative d’explications « vaseuses » à laquelle se livre aujourd’hui la CFDT l’un des 3 signataires. Voici ce que cette dernière ose écrire « Même si nous ne pouvions nous réjouir de la disparition de 900 postes, il fallait regarder la situation en face, notamment depuis 2011. »
Ce serait même parce que « plus de 770 Equivalents Temps Plein ont disparu sans aucun contrôle des organisations syndicales » depuis cette période que la CFDT qui va jusqu’à avouer qu’elle n’opérait aucun contrôle - attention demain elle va les opérer !!!! – qu 'elle a signé avec la direction au détriment des salariés.
« Regarder la situation en face » pour une CFDT qui ne sait apparemment pas compter et mène les salariés en bateau – en galère serait plus pertinent - faut oser !
Rappelons également à la CFDT que ce sont bien 2.000 départs qu’espère France Télés (900 postes c’est le différentiel entre les 2000 départs et 1100 hypothétiques embauches qui soit dit en passant ne sont absolument pas garanties…
Les engagements de recrutements chiffrés pour 2019 et 2020 qui ont disparu (page 11 du précédent projet d’accord), de même que l’engagement de recruter prioritairement les précaires que la direction a elle-même reconnus « réguliers ou historiques voire premium »: Compte tenu de l’objectif poursuivi dans le cadre du présent Accord, les recrutements se feront en priorité sur les emplois permettant à la Société de disposer de profils nouveaux et complémentaires et lui permettre, notamment, de réaliser sa transition vers le numérique (page 11 de l’accord) - et que signer une telle entourloupe pour soi-disant « peser dans les projets de l’entreprise » c’est lamentable !
Quant à la couverture conventionnelle des salariés -
la
garantie de ne pas dénoncer unilatéralement l’accord collectif du 28 mai 2013 –
la CFDT s’est aussi assise dessus. En effet, elle n’apparait pas non plus dans la nouvelle
mouture…pour cause,
c’est tout le contraire qui a été dit à la Presse !
S’agissant des piètres arguments qu’avance la CFDT (*) pour avoir signé cet accord « basé sur le volontariat » dit-elle , ils sont affligeant et plus bidons les uns que les autres.
(*) France télés s’engagerait selon les signataires :
D’exclure tout licenciement économique pendant la période. [tu parles ! ndlr]
De faciliter le départ des salariés qui souhaitent quitter l’entreprise dans le cadre d’un départ à la retraite, ou dans le cadre d’un projet professionnel) avec des indemnités pouvant aller jusqu’à 15 mois de salaire brut [tu parles ! ndlr]
De recruter de nouveaux collaborateurs avec une priorité pour les CDD historiques [tu parles ! ndlr]
D’accompagner des salariés dans les projets de développement technologique [tu parles ! ndlr]
D’envisager le retour de la prime d’intéressement jusqu’en 2022 pour tous les personnels [tu parles ! ndlr]
De maintenir des budgets des actions sociales et culturelles malgré la baisse des effectifs. [tu parles ! ndlr]
D’exclure les départs contraints [tu parles ! ndlr]
Quant à la conclusion les bras vous en tombe « Le plus important pour la CFDT qui veut peser dans les projets de l’entreprise, c’est de pouvoir se projeter dans l’avenir en permettant la transformation nécessaire de l’entreprise, dans l’intérêt de tous les salariés »
TU PARLES ….
S’agissant des piètres arguments qu’avance la CFDT (*) pour avoir signé cet accord « basé sur le volontariat » dit-elle , ils sont affligeant et plus bidons les uns que les autres.
(*) France télés s’engagerait selon les signataires :
D’exclure tout licenciement économique pendant la période. [tu parles ! ndlr]
De faciliter le départ des salariés qui souhaitent quitter l’entreprise dans le cadre d’un départ à la retraite, ou dans le cadre d’un projet professionnel) avec des indemnités pouvant aller jusqu’à 15 mois de salaire brut [tu parles ! ndlr]
De recruter de nouveaux collaborateurs avec une priorité pour les CDD historiques [tu parles ! ndlr]
D’accompagner des salariés dans les projets de développement technologique [tu parles ! ndlr]
D’envisager le retour de la prime d’intéressement jusqu’en 2022 pour tous les personnels [tu parles ! ndlr]
De maintenir des budgets des actions sociales et culturelles malgré la baisse des effectifs. [tu parles ! ndlr]
D’exclure les départs contraints [tu parles ! ndlr]
Quant à la conclusion les bras vous en tombe « Le plus important pour la CFDT qui veut peser dans les projets de l’entreprise, c’est de pouvoir se projeter dans l’avenir en permettant la transformation nécessaire de l’entreprise, dans l’intérêt de tous les salariés »
TU PARLES ….
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