Sylvie Gengoul la
remplaçante de Wallès Kotra claque l’argent public sans complexe...c'est le contribuable qui banque !
Sur fond de licenciements
collectifs à France Télévisions que la Justice pourrait bientôt requalifier
(*), la remplaçante de l’éphémère Wallès Kotra aussi vite reparti dans ses
terres qu’il en était venu – le Boomerang
Kanak, comme certains le surnomment – Sylvie Gengoul a décidé de faire
chauffer la carte bleue de la boîte pour aller se balader à peine nommée…Sa
durée d’exercice devrait être d'ailleurs beaucoup éclair que celle de son prédécesseur !
Alors que depuis
l’annonce de sa mise à mort, France Ô attend, l’avis
du Contrôleur d’État à l’heure des suppressions de postes : 40 prévues pour
Malakoff et 29 pour les stations régionales (selon les derniers
arbitrages de l’ex-Orange qui recherche toujours 900 départs volontaires en
2019 selon les engagements qu’elle a pris avec la Tutelle et qui ne seront pas
tenus), la nouvelle part s’aérer.
Flanquée de son
dircab ou de son conseiller spécial, lobbyiste en tout genre Keita Stephenson, c’est comme on
veut, personne n’a jamais vu la note de service nommant aux
responsabilités celui dont le
blog CGC Média avait révélé l’arrivée dès le 9 novembre.
« La machine
à billets d’avion fonctionne à plein régime pour les cadres dirigeants
officiels ou officieux » indique le site
qui ironise sur l’absence de nomination « Cela dit, à Mayotte un clandestin de plus ou de moins ...
Sauf que celui-ci est pris en charge par la redevance,
avion-hôtel-repas-boisson »
« 2 jours à
Mayotte, 3 jours à la Réunion voilà une belle semaine dite de
Reconnaissance pour la DG fraîchement nommée et Keita Stephenson , tout
ceci bien entendu aux frais du contribuable qui va payer 2 fois sans le savoir
car un 2ème voyage est d’ores et déjà programmé puisque la station de
Mayotte sera inaugurée le 10 décembre en grande pompe » ajoute l’ADAP.
Deux voyages en
quelques jours à des milliers de kilomètres de Paris c’était évidemment essentiel…les
économies qui s’en soucie ?
L’ADAP s’en prend
également à deux des lieutenants ernottiens dont le sort est irrémédiablement
lié au très prochain départ de cette dernière « Le premier, Arnaud
Lesaunier qui a loupé la 1ère négociation sur le plan de départs
volontaires et qui doit s’occuper de la nomination d’un DRH pour le pôle
outre-mer…pourquoi pas l'adjoint devenu encombrant ayant fait foirer à son
tour la réorganisation de Télématin et dont il veut se débarrasser, l'ineffable
Laurent Tolazzi… Le nommer aux Outre-Mer sera un acte lourd de
conséquence qu’il faudra assumer.» (sic)
L’ADAP d’enchérir
« Voici ce que disait de lui à la barre des Prud’hommes de Paris
l’avocate chargée des intérêts d’un collaborateur historique de Télématin sans
que l’avocat de France Télévisions y fit objection : "Les Prud’hommes sont
justes amenés à corriger les errements de Monsieur Tolazzi, DRH de niveau
intermédiaire au sein de la société France Télévisions, qui existe quand il peut
virer quelqu’un et créer des procès dont les condamnations sont payées par la
redevance" »
(*) Le 6 septembre
dernier, le blog CGC Média dans son article « Plus
de recrutements à France Télés que de départs avec le fallacieux plan RCC
d’Ernotte (moins de 250 candidats)…Nouveau fiasco ! » avait annoncé la couleur !
Malgré sa pitoyable propagande relayée par le
trio CGT/FO/CFDT signataire de la RCC bidon se réjouissant des plus de 550
départs déjà enregistrés – pour lesdits syndicats, ça la fiche bien ! –
la réalité est tout autre.
Les derniers chiffres, à quelques départs près,
communiqués par la direction du siège de France Télés sont très proches de
ceux donnés par le blog CGC des Média. L’ADAP en apporte la preuve dans son
article du 14 novembre « FTV
: Plan Départs Volontaires (suite) les chiffres en histogrammes (siège)».
Cette RCC de façade que devrait
faire requalifier par voie judiciaire la CGC, en Plan de licenciements unilatéral (*), est la démonstration des couleuvres qu’a dû
avaler depuis l’été 2015 la Représentation Nationale.
Dans sa récente saisine de la CNIL touchant aux conditions de cette pseudo RCC et du cabinet extérieur choisi
pour l’accompagner, l’annonce y est clairement faite:
(*) Extrait :
Quand bien même la requalification de cette RCC en plan de licenciement style PSE, n’est certes pas du ressort de la CNIL mais dépend de la Justice que notre syndicat entend saisir, force est de constater que c’est bien pour des motifs économiques que l’entreprise a agi et a mandaté LHH-Altedia pour démarcher individuellement des salariés de France Télévisions.
1°) Il convient de rappeler que selon l’Administration, la RCC « a pour finalité d’encadrer des départs volontaires, exclusifs du licenciement ou de la démission. » En l’espèce - le volontariat étant donc la base - la relance effectuée par LHH-Altedia prive à l’évidence France Télévisons de la possibilité de prétendre avoir pu transférer de bonne foi ces données.
2°) L’Administration ajoute que « la RCC est déconnectée du régime du licenciement économique et n’a pas à être justifiée par un motif économique ». La Cour administrative d’appel de Versailles ayant confirmé cette position (CAA Versailles 14-3-2019, n° 18VE04158).
En l’occurrence, l'Assemblée nationale ayant approuvé jeudi 31 octobre au soir la baisse de 70 millions d'euros du budget 2020 de l'audiovisuel public, soit 190 millions d'économies au total prévues pour le secteur entre 2018 et 2022 - France Télévisions voyant par exemple sa dotation baisser de 62 millions d'euros en 2020 et Radio France de 5 millions – le recours au cabinet LHH-Altedia à qui France Télévisions a transféré ces données confidentielles pour démarcher individuellement les salariés que c’est bien un PSE qui prévaut et non une RCC.
Quand bien même la requalification de cette RCC en plan de licenciement style PSE, n’est certes pas du ressort de la CNIL mais dépend de la Justice que notre syndicat entend saisir, force est de constater que c’est bien pour des motifs économiques que l’entreprise a agi et a mandaté LHH-Altedia pour démarcher individuellement des salariés de France Télévisions.
1°) Il convient de rappeler que selon l’Administration, la RCC « a pour finalité d’encadrer des départs volontaires, exclusifs du licenciement ou de la démission. » En l’espèce - le volontariat étant donc la base - la relance effectuée par LHH-Altedia prive à l’évidence France Télévisons de la possibilité de prétendre avoir pu transférer de bonne foi ces données.
2°) L’Administration ajoute que « la RCC est déconnectée du régime du licenciement économique et n’a pas à être justifiée par un motif économique ». La Cour administrative d’appel de Versailles ayant confirmé cette position (CAA Versailles 14-3-2019, n° 18VE04158).
En l’occurrence, l'Assemblée nationale ayant approuvé jeudi 31 octobre au soir la baisse de 70 millions d'euros du budget 2020 de l'audiovisuel public, soit 190 millions d'économies au total prévues pour le secteur entre 2018 et 2022 - France Télévisions voyant par exemple sa dotation baisser de 62 millions d'euros en 2020 et Radio France de 5 millions – le recours au cabinet LHH-Altedia à qui France Télévisions a transféré ces données confidentielles pour démarcher individuellement les salariés que c’est bien un PSE qui prévaut et non une RCC.
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