Patrick de Carolis tente de négocier sa survie avec un plan social, (voir article du Figaro du 28 août 2008), la sortie des Conventions Collectives et le musèlement des syndicats.
Selon celui qui essaie de masquer ses incessantes erreurs de gestion derrière l'annonce du 8 janvier 2008 et que le dialogue social répugne plus que tout, a tout simlpement suggéré que le futur projet de loi "fasse la peau" à la Convention Collective de l'Audiovisuel qui selon lui "paralyse l'action des dirigeants de France télévisions". (voir le papier ci-dessus)
Et de prôner un musèlement des organisations syndicales en réduisant leur représentativité et leur nombre, ne gardant sûrement que celles que feraient partie comme il l'expliquait au Figaro des "alliés solides que Patrick de Carolis a su se faire chez les syndicats" (dixit le quotidien).
Sûrement pas la CGC médias redisons le qui demande clairement à "l'inspirateur" de la casse non seulement de l'entreprise mais avant tout du dialogue social [le mot n'a jamis eu aucun sens pour lui] de mettre en pratique ses déclarations "si je suis empêché, j'en tirerai toute les conséquences" et donc de tirer sans délai toutes les conséquences.
Jamais président de France Télévisions n'aura été aussi inconsistant.
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