Le SNPCA-CGC se constituera partie civile dès lundi 21 juillet auprès du Doyen des Juges d'instruction, du TGI de Paris.
Cette indispensable et nouvelle étape permettra la désignation d'un juge d'instruction et l'ouverture d'une information judiciaire.
C'est la suite logique de la plainte déposée par le SNPCA-CGC, le 12 juin dernier, concernant la procédure de désignation par le CSA à la présidence de France Télévisions que la Presse a qualifiée, entre autres, de "mascarade".
Rappelons qu’il s’agit là de la même démarche que celle qui avait conduit le SNJ comme le CFDT de se porter partie civile aux côtés du SNPCA-CGC dans le volet France Télévisions de l'affaire dite Bygmalion dont l’instruction se poursuit sous l'autorité du juge Van Ruymbeke.
Selon nos informations la CFDT qui avait saisi la Justice dans les mêmes conditions, se constituera, elle aussi partie civile à cette même date comme le précisera le communiqué de Presse qu'elle s'apprête à diffuser et que le blog CGC Média ne manquera pas de publier dès sa sortie (*)
Rappelons qu’il s’agit là de la même démarche que celle qui avait conduit le SNJ comme le CFDT de se porter partie civile aux côtés du SNPCA-CGC dans le volet France Télévisions de l'affaire dite Bygmalion dont l’instruction se poursuit sous l'autorité du juge Van Ruymbeke.
Comme l'écrivait Cyril Lacarrière dans "L'Opinion" pour son cinquième et dernier volet de son incroyable enquête intitulée "Qui veut gagner France Télévisions" "Il faudrait que la plainte aboutisse à une enquête pour connaître le réel déroulé des faits."
Nous y voilà...et c'est Maître Pierre-Olivier Lambert qui en est chargé comme pour la plainte s'agissant du délit de"favoritisme" visant Bygmalion parmi les diverses sociétés de "conseil" intervenues à FTV sans appel d'offre.
Rappelons comme le rappelaient bon nombre de média qui ont mis à jour dans cette "procédure de désignation" des éléments graves et
concordants, que les 10.000 salariés de France Télé comme les millions de contribuables français qui paient leur redevance, ont le droit de savoir dans
quelles conditions les 2,8 milliards d’euros de budget de la
télévision publique française sont utilisés.
(*) Voici le Communiqué CFDT
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