Selon nos informations, la journaliste qui avait très récemment sans même utiliser le conditionnel "annoncé 'une prise d'otage en
cours à Paris" (franceinfo: allant jusqu'à diffuser l'interview de la cliente d'un salon de coiffure et lui
conseillant de rester à l'abri !) viendrait d'être mise à pied.
Rappelons que cet incident avait été le point de départ d'une lettre des journalistes de Radio France indiquant "la radio n'a pas
fait cette erreur parce qu'elle a pris le temps de vérifier l'information" et ajoutant "il est
inenvisageable que la télé ou le site internet qui portent le nom de la radio
continuent de diffuser des informations contradictoires avec l'antenne radio,
voire carrément non vérifiées."
Ce dernier rebondissement n'est que l'un des très nombreux soubresauts qui agitent depuis son lancement "franceinfo:"...il se murmure déjà en coulisses que plusieurs autres collaborateurs seraient déjà sur la sellette...
c'est dans un tel contexte que SDJ écrivait au sujet d'un communiqué publié il y a quelques jours la veille "Quant au terme STO qui en a choqué plus d’un, en revanche la SDJ
maintient sa position : que la participation des journalistes de France 3
se fasse sur la base du volontariat.
Depuis
la direction a précisé que des sanctions seront envisagées envers les
récalcitrants. Il s’agirait d’un refus de travail qui pourrait aller, en
théorie, jusqu’à l’exclusion !"
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