La
réputation que va faire Ernotte à Emmanuel Macron et son gouvernement !
L'ex Orange adresse un ixième mail aux salariés de France Télés pour
leur indiquer qu’elle est à nouveau prête à « chatter » avec eux pour leur
expliquer la réforme voulue par Emmanuel Macron et ses multiples conséquences.
Sur l’air de « Ce n’est pas
moi, c’est lui…» – lui qui nous piquait, il y a peu 50 millions d‘euros et
qui, maintenant, en voudrait 500 millions de plus ! (*son tweet de l’époque) – elle devrait encore vainement tenter d’enfumer
les salariés qui ne lui font aucune confiance et n’attendent qu’une chose: son
départ.
(*)
(*)
Tout cela faut-il le rappeler sans que le moindre texte ait été
validé ! Elle a beau chanter comme elle le serine à toute la Presse
que "La
transformation sera progressive" ou encore qu’"Il n’y aura pas de plan de
licenciement"– personne ne la croit
évidemment.
Départs volontaires raconte-t-elle alors que le dernier PDV trois fois moins important n'avait pas fait le plein contrairement à ce que déclarait au Figaro son cégétiste soutien - le chiffre qui tourne actuellement pour France Télés est de 1.500 départs (cf la note de Bercy) - et que le règne de la terreur s’étend partout à France Télés avec des salariés méprisés, poussés à bout, harcelés, sanctionnés souvent sans raison quand ils ne sont pas le plus arbitrairement qui soit licenciés...tout ça alors que l’entreprise prétend s'engager pour la "qualité de vie au travail".
Ça vous a des airs de France Télécoms de l'époque dont des dirigeants sont, aujourd'hui, renvoyés en Correctionnelle vers un procès pour harcèlement moral.
Départs volontaires raconte-t-elle alors que le dernier PDV trois fois moins important n'avait pas fait le plein contrairement à ce que déclarait au Figaro son cégétiste soutien - le chiffre qui tourne actuellement pour France Télés est de 1.500 départs (cf la note de Bercy) - et que le règne de la terreur s’étend partout à France Télés avec des salariés méprisés, poussés à bout, harcelés, sanctionnés souvent sans raison quand ils ne sont pas le plus arbitrairement qui soit licenciés...tout ça alors que l’entreprise prétend s'engager pour la "qualité de vie au travail".
Ça vous a des airs de France Télécoms de l'époque dont des dirigeants sont, aujourd'hui, renvoyés en Correctionnelle vers un procès pour harcèlement moral.
Son entretien au Parisien publié
samedi soir, où elle assure qu’"on
ne va pas tout changer en un jour. C’est un énorme chantier qui prendra du
temps où il nous faudra d’abord "remettre totalement à plat nos offres,
réinventer nos chaînes", ne trompe personne.
Elle aura tout son temps pour continuer de mettre à
sac l’entreprise histoire de charger l’actionnaire
avant qu’elle doive partir ! De toute façon, elle le répète à l’envi, la réforme gouvernementale ne pourra pas
être menée à toute vitesse… le calendrier législatif a déjà été repoussé à
"courant 2019".
Au final, c’est
Emmanuel Macron et son Gouvernement qui seront en conséquence montrés du doigt et
traineront pendant longtemps cette réputation d’apprentis sorciers qui auront mis à sac
la télé publique !
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