Emmanuel
Macron cherche ministre de la Culture !
Dans une enquête signée Saïd Mahrane pour Le Point intitulée «Macron : “Il me manque un Jack Lang”», le président de la République semble toujours à la
recherche de celui qui incarnera la Culture qu’il voit comme un axe fort de son
quinquennat.
« Le chef de l'État qui voulait faire de la culture un levier de sa
politique sociale, semble contrarié dans son ambition » écrit le journaliste.
L’actuel ministre de la Culture Franck Riester plaide pour son action, « Je le concède, je ne suis ni un grand peintre, ni un grand poète mais j’ai démontré
que j'avais une expérience et une connaissance qui légitiment ma fonction…”
Voila pour la réponse de la bergère au berger !
Puis son projet de loi qu’il avait affirmé faire passer en Conseil des
minsitres avant fin novembre, il sera présenté la veille de la journéee de
mobilisation nationale du 5 décembre.
Il l’a confirmé au film français sur l'air de "pendant les travaux, les ventes continuent!": “Alors que la présentation du projet de loi audiovisuelle est attendue
mercredi 4 décembre, en conseil des Ministres, Franck Riester répond à
l’interview coup de poing des patrons de TF1, M6, Canal+ et Altice. Il y
affirme en outre l’attachement du gouvernement au principe de production
indépendante ».
Extrait :
« On nous l'a décrit comme un enfant devant sa réalisation, faisant un pas en arrière puis deux, bras croisés, tête inclinée sur le côté, pour se faire la meilleure impression. On nous a décrit Emmanuel Macron, dans son bureau de l’Élysée, devant d'immenses plans d'architecture posés ici ou là durant une partie de l'été. On nous a également raconté combien le président était fier de montrer à ses visiteurs ce qu'allait devenir, après travaux, le château de Villers-Cotterêts (Aisne). Sur les plans, on voit la bâtisse, les jardins et l'intérieur. Le président en parle comme de son bébé…
« On nous l'a décrit comme un enfant devant sa réalisation, faisant un pas en arrière puis deux, bras croisés, tête inclinée sur le côté, pour se faire la meilleure impression. On nous a décrit Emmanuel Macron, dans son bureau de l’Élysée, devant d'immenses plans d'architecture posés ici ou là durant une partie de l'été. On nous a également raconté combien le président était fier de montrer à ses visiteurs ce qu'allait devenir, après travaux, le château de Villers-Cotterêts (Aisne). Sur les plans, on voit la bâtisse, les jardins et l'intérieur. Le président en parle comme de son bébé…
On est loin des attentes…
Le président n'est pas dupe. Il n'ignore pas cette absence de “brique” qu'il doit en partie à son ex-ministre Françoise Nissen qui a déçu.
“Il me manque un Jack Lang” regrette-t-il parfois devant des proches au risque de fragiliser un peu plus son ministre déjà la cible de critiques.
“J'ai pourtant démontré que j'avais une expérience et une connaissance qui légitiment ma fonction…et tant mieux si je suis un choix politique: c'est une force” plaide Riester. “Après, je vous le concède que je suis ni un grand peintre ni un grand poète”.
Le président n'est pas dupe. Il n'ignore pas cette absence de “brique” qu'il doit en partie à son ex-ministre Françoise Nissen qui a déçu.
“Il me manque un Jack Lang” regrette-t-il parfois devant des proches au risque de fragiliser un peu plus son ministre déjà la cible de critiques.
“J'ai pourtant démontré que j'avais une expérience et une connaissance qui légitiment ma fonction…et tant mieux si je suis un choix politique: c'est une force” plaide Riester. “Après, je vous le concède que je suis ni un grand peintre ni un grand poète”.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire