Françoise Nyssen
sous le coup d’une enquête préliminaire ouverte par le Parquet de Paris qui devrait
signer la fin de la ministre comme celle de sa pouliche Ernotte !
Une chose est sûre, l’article du 20 août dernier publié par « Le
Figaro » pressentant « Delphine
Ernotte [comme] future
présidente de l’audiovisuel public ? », s’il était destiné à
faire la promo de la toujours ministre de la Culture et montrer qu’elle serait
toujours dans les petits papiers macroniens, n’avait déjà pas été du goût
de très nombreux membres de son entourage considérant qu’elle n’avait qu’un
but: tordre le bras à l’Exécutif mais « Le Canard enchaîné »
de ce mercredi qui pour la deuxième fois
épingle Françoise Nyssen pour sa conception particulière de la Loi sera
donc la goutte d ‘eau qui fait déborder le vase.
L’ex Orange devenue
depuis peu sa pouliche qu’elle a récemment
soutenue dans sa traque de l’homme blanc de plus de 50 ans en trop grand
nombre à la télé, donnée notamment par le quotidien comme « prenant le leadership pour l’instauration d’une présidence commune à l’ensemble
de l’audiovisuel public - un temps écartée - qui semble faire son chemin auprès de la ministre de la Culture »
(sic) devrait faire partie très rapidement maintenant, selon
nos informations, des dommages collatéraux liés à cette nouvelle affaire.
L’annonce médiatique faite à l’AFP par Françoise Nyssen prise la main dans
le pot de confiture et restée muette pendant 24h de "régulariser
après coup par des démarches s'avérant nécessaires" confirmant de facto les nouvelles informations du Palmipède, n’a fait que porter l’exaspération à son paroxysme.
Interrogé d’ailleurs
sur les frasques à répétition de Françoise Nyssen, Benjamin Griveaux porte-parole
du Gouvernement vient d‘ailleurs de déclarer comme sa collègue donnée sur le
départ, que «personne n’est au-dessus des lois».
L’enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris
pour déterminer si
les travaux d'agrandissement du siège d'Actes Sud, la maison d'édition anciennement dirigée par la ministre de la Culture
Françoise Nyssen respectent le code de l'urbanisme, viendrait donc de
sceller son sort.
« Le parquet de Paris a ouvert
jeudi une enquête. Ces investigations ont été confiées à la Brigade de
répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire
parisienne, à la suite des révélations mercredi du Canard enchaîné sur ces travaux qui auraient été
réalisés en 1997 et à partir de 2012 "sans autorisation" "ni
déclaration au fisc" dans cet immeuble classé. La ministre avait déjà été épinglée il y a deux mois pour
l'agrandissement non autorisé du siège d'Actes Sud à Arles, dans les
Bouches-du-Rhône ».
Peu avant l'ouverture de l'enquête, l'association de défense du
patrimoine Sites et Monuments a annoncé ce jeudi dans un communiqué qu'elle
allait porter plainte "en début de semaine prochaine" contre celle
qu'elle accuse de "s'être affranchie des règles du droit du patrimoine et de
l'urbanisme" et qui ose encore se dire "très attachée à la préservation du patrimoine" !
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