C’est
un Riester bredouillant qui devant les parlementaires confirme donc la fusion
entre les sociétés de la future holding audiovisuelle !
C’est un Franck Riester
bredouillant, cherchant ses phrases comme ses notes, lançant des regards désespérés
à sa droite pour un peu d’aide, enchaînant les phrases creuses qui s’est donné spectacle
ce mardi 18 devant la commission des affaires étrangères s’agissant de l’audiovisuel
extérieur pour lequel il intervenait.
Découvrir ci-après l’intégralité de la désastreuse prestation. Il faut la voir pour le croire !
Au bout d’1h26 il en arrive à avouer l’inavouable, à savoir que « le holding public audiovisuel va pouvoir modifier les périmètres financiers des différentes sociétés du groupe public et permettre des effets de synergies et des effets d'économies d'échelle du groupe public. »
C’est bien là la définition d’une FUSION (Économies réalisées
lors d'un rapprochement de deux ou plusieurs sociétés où souvent des services
font double emploi par exemple et la suppression de l'un des deux qui permet de
dégager des marges supplémentaires pour la nouvelle société autrement
dit des économies)
non pas celle d’une PSEUDO HOLDING (Société financière qui détient des
participations dans d'autres sociétés, et dont la fonction est d'en assurer
l'unité de direction) qu’avait tenté de vendre maladroitement Franck Riester aux média.
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