Le(a) prochain(e) président(e) de
France Télés devra revenir sur la folie de l’open-space imposé partout par Ernotte.
L’inquiétude des salariés de France
Télés va grandissante. Les conditions dans lesquels la plupart vont devoir reprendre leur activité, est plus que problématique et
ce alors même que « La commission de Sécurité avait en fin d’année
constaté
la non-conformité de travaux engagés à France Télés » et refusé l’habilitation comme l’avait écrit à plusieurs
reprises le blog
CGC Média.
Alors que les chiffres s’agissant
d’une immunité collective qui permettrait un déconfinement en douceur
sont loin d’être rassurants - "Il faudrait en effet au moins 60, 65%
de la population contaminée pour estimer le pourcentage de la population
française immunisée, alors que certains chercheurs avancent le chiffre de 3 à
5% quand d’autres plus optimistes tablent sur un pourcentage entre 10 à 15%"
– la folie de l’open-space qu’a imposé Ernotte à France Télés fait de plus en
plus peur.
Dernier secteur concerné,
celui de la com’ précipité par Virginie Sainte-Rose l’ex dircab de Schrameck chargée de la
com’ d’Ernotte dans ces délires de « lieux
partagés » à tout-va !
Combien de collaborateurs dans
ces espaces dit ouvert mais de promiscuité évidente seront touchés dans de telles conditions où l’écrit la
RTFBF dans une très récente étude concernant justement ces open-spaces
où « le risque d'infection est multiplié
par deux ».
Le blog CGC Média vous propose
d’en prendre connaissance.
Extraits :
« Le Coronavirus est-il soluble dans l'Open space ? »
"Travailleurs,
travailleuses, le Coronavirus est-il
(viralement) compatible avec l'Open-space ? La star incontestée des bureaux
nouvelle génération, cet ami qui vous veut du bien,
symbole du néo management transparent et décomplexé, fournit-il un terrain
propice à la propagation du COVID-19 ? Certains le
pensent, ou plutôt le craignent. Raison pour laquelle télétravail et
confinement (relatif) sont depuis quelques jours vivement
conseillés par beaucoup d'employeurs de notre pays alors que l'épidémie venue de Chine
frappe à notre porte après s'être invitée en Italie, en France, aux Pays-Bas et en Allemagne…
Ces dernières années, de nombreuses études ont
démontré que l'open-space, avec ou sans "desk sharing" (partage
de bureau) et autre "flex office" (bureau flexible) a
radicalement changé la manière de travailler des personnes. Si les avantages
sont nombreux, les inconvénients également.
Jusqu'il y a peu, le bruit demeurait
la nuisance principale attribuée à ces espaces désenclavés, suivi de près
par le collègue envahissant (verbalement, physiquement, etc...)
et l'odeur de nourriture réchauffée. Près de la moitié des personnes
interrogées considèrent d'ailleurs que ces
distractions perpétuelles impactent durablement la qualité de
leur travail, toutes études confondues.
En effet, dans un open-space, le cerveau serait en effet
interrompu au mieux toutes les 10 minutes et nécessiterait environ 23
secondes pour se reconcentrer. Ethan Bernstein, professeur à la
prestigieuse Harvard Business School, a
d'ailleurs analysé en profondeur le fonctionnement réel de l' Open-space, ainsi
que ses conséquences.
Et le Coronavirus dans tout ça? Justement, en
période hivernale, période propice aux rhumes, bronchites,
pharyngites, angines et autres infections respiratoires, l'absence de
cloisons n'est pas de nature à ralentir la contagion des bactéries et virus.
Entre toux retentissantes, éternuements sonores et
mouchoirs en papier nonchalamment abandonnés par votre prédécesseur au desk,
l'open-space perd un peu de son charme en temps de grippe
saisonnière. Que celui qui ne s'est jamais senti dépourvu quand la
bise (du collègue souffrant) fut venue, lève la main. C'est d'ailleurs en
période hivernale que les stratégies machiavéliques d'évitement battent leur
plein.
L'open-space truffé de microbes et de personnes malades qui
tombent comme des mouches n'a jamais été considéré comme fondamentalement
rédhibitoire, et ce malgré une étude danoise de 2011 ayant prouvé que
travailler dans un espace ouvert double les risques d'infections et
d'absence pour maladie.
Climatisation, partage de matériel (du clavier d'ordinateur
au combiné de téléphone en passant par le bic mâchouillé, si, si),
poignées de porte, etc. sont propices à la survie et à la propagation des
micro-organismes. Des études en milieu hospitalier ont d'ailleurs prouvé que
les virus de la grippe peuvent demeurer actifs de trois heures à deux jours sur
ces surfaces dures et non poreuses.
Pourtant même si certains collègues commencent à débarquer avec leur masque N95, FFP2 ou
FFP3, pas de quoi paniquer, l'openspacer régulier serait mieux
immunisé que le commun des mortels. Si cela est vrai pour la grippe
saisonnière, cela l'est sans doute également pour le COVID-19. Pourquoi certains employeurs
préconisent-ils de ne pas aller travailler alors? Simplement car
le COVID-19 est plus contagieux qu'une grippe normale et qu'aucun vaccin
n'existe pour le moment, ce qui le rend potentiellement plus impactant en terme
de force de travail… »
Celui ou celle qui prendra la présidence en août 2020 au départ
programmé d’Ernotte dont la constante aura été de casser l’entreprise et décrédibiliser
la télé publique, devra bien avoir cet écueil en tête et revenir sur cette
folie de l’open space qui pourrait avoir des conséquences dramatiques..."
Le blog CGC média vous épargne, ici, la fin qui parle de cercueil et de clous !
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