« Ça s’en va et ça revient » sifflote Mr T dans les couloirs de France Média Monde !
Décidément « Mr T » alias Barracuda est d’humeur badine ces derniers temps et tout prêt à chanter.
Ce haut cadre de France Média Monde, selon nos informations, dont nous ignorons toujours l’identité, a décidé de remettre quelques vieux airs au goût du jour
L’intéressé qui s’étrangle en effet de quelques allers-retours dans l’Audiovisuel public et balance, en petits comités, quelques exemples. Flash-back dix ans en arrière au moment où le point dans son article « Coups de sang et coups de billard à France 24 » égrainait les départs de ce qui n’est pas encore FMM mais allait le devenir.
A l’époque, nous sommes en pleine guerre de tranchée interne largement déballée sur la place publique entre Christine Ockrent et Alain de Pouzilhac ayant brutalement désavoué cette dernière, une fois redevenu pédégé de l’entreprise qu'il avait contribué à créer en décembre 2006.
« En reprenant, les commandes de France 24, Pouzilhac alias « Poupou » aurait découvert une situation financière et des choix malheureux dans la conduite de la chaîne » écrit Le Point à l’époque qui énumère les premiers noms d’une longue liste de virés sur place mettant ces départs sur « le style cassant de Christine Ockrent » : « Béatrice Le Fouest (la DRH), suivie de Jean-Yves Bonsergent (directeur délégué en charge de la technologie), Frédéric Brochard (directeur des technologies), Frédéric Geneau (directeur administratif et financier), Stanislas Léridon (directeur internet)... On évoque aussi le départ massif des journalistes anglophones de France 24. C'est dans ce contexte qu'intervient, la semaine dernière, le dernier soubresaut qui a provoqué l'émoi de la rédaction : Christine Ockrent a souhaité attribuer une promotion. Albert Ripamonti, directeur adjoint de la rédaction, s'est senti menacé… »
Un trompe-l’œil peste « Mr T » qui tient à rappeler les propos dudit magazine qui expliquait ces départs, à savoir « une situation financière et des choix malheureux dans la conduite de la chaîne ». « Situation financière catastrophique » confirmée alors dans un nouvel article du Point « France 24 passe au rouge » qui précise les choses « Après en avoir fini avec le chantier social à RFI, Alain de Pouzilhac a repris les commandes de France 24 le 20 juillet. En se penchant sur les comptes, le patron de l'audiovisuel extérieur a découvert deux problèmes : un trou de 1,1 million d'euros (pour 2010) et des résultats d'audience en baisse en Europe dès juin 2009 (les chiffres seront publics fin septembre). » « Qui est responsable ? » s’interrogeait le titre de presse qui enfonçait le clou « En toute logique, Christine Ockrent, son adjointe, à qui la chaîne a été confiée, aurait dû en répondre. Or c'est Vincent Giret, le directeur de la rédaction, qui est sanctionné par une mise à pied dans l'attente de son licenciement... mais difficile, en effet, de licencier la compagne du ministre des Affaires étrangères, quand bien même celui-ci serait affaibli par la perspective d'un remaniement… Les récents départs de Béatrice Le Fouest (DRH), de Jean-Yves Bonsergent (directeur délégué chargé de la technologie), Frédéric Brochard (directeur des technologies) et de Frédéric Geneau (directeur administratif et financier) n'auguraient rien de bon...»
« Vous savez où il est aujourd’hui Frédéric Brochard ? » après avoir été viré de la boite, s’égosille « Mr T » face à ses interlocuteurs. Il est « CTIO de France Télévisions depuis 2021…dans le COMEX d'Ernotte à FTV avec une DTSI de près de 300 personnes. Après être passé par France 2, puis RFI et France 24 dont il a été évincé, le revoilà à France Télévisions »... Difficile de savoir ce que lui a fait l'intéressé ?!
« Cloclo avait raison "Ça s’en va et ça revient" », ironise notre gorge profonde, avant de s'emporter « et il n’est pas le seul...Il a remplacé Tezenas du Moncel (aujoud'hui Netia) qui lui aussi est spécialiste du genre, passant de FTV à FMM »!
« Mr T » un brin énervé, n'en dira pas plus mais il prévient «Vous allez voir, je vais vous en donner, moi, des exemples d’allers-retours dans l’audiovisuel public mais aussi au sein des boites de prestations que les uns et les autres font travailler...Des dossiers, il y en a !»
Nous n’en saurons pas plus pour l’instant…A suivre donc !
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