CNews écope de 100.000€ d’amende après l’article de La Lettre...Avec une telle somme, chacun se demande comment le groupe de Vincent Bolloré va pouvoir faire face ?!?!
Le ridicule ne tuant plus, le blog CGC Média vous propose de découvrir l’influence de La Lettre sur le toujours « captain de l’Arcom enterprise » dont le nom de celui qui va prendre la suite est déjà connu sauf d’Emmanuel Macron qui doit pourtant le nommer (mais de cela nous allons très vite reparler !).
Le 14 novembre dernier – une précision (*) qui a toute son importance – ROM contacté par le titre de presse qui à l’évidence prépare la diffusion de son article « Le député Aurélien Saintoul relance l'Arcom pour qu'elle accélère sa procédure contre CNews », ne répondra pas à la journaliste qui souhaite savoir où en est la saisine du député.
(*) « Précision de la Rédaction du 15/11/24 à 11 h 25 : Contactée
jeudi 14 novembre par La Lettre, l'Arcom a visiblement décidé d'accélérer sa
prise de décision. Interrogée par La Lettre sur les raisons du délai pour cette
procédure, l'autorité présidée par Roch-Olivier Maistre l'Arcom n'a pas donné
suite.
Pourtant,
elle s'est empressée de communiquer, quelques heures après la publication de
notre article, sur la sanction infligée à CNews. Celle-ci la condamne à
verser une amende de 100 000 €. »
Extrait :
« Six mois après avoir rendu les conclusions de la
commission d'enquête parlementaire sur l'attribution des fréquences TNT, le
député LFI Aurélien Saintoul revient à la charge contre CNews.
Dans un courrier daté du 11 octobre, adressé nommément au
président de l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et
numérique (Arcom), Roch-Olivier Maistre, l'élu s'étonne que l'institution ne soit pas encore arrivée au
bout de la procédure concernant une séquence problématique de l'émission En
quête d'esprit, neuf mois après sa diffusion sur la chaîne info du groupe de Vincent
Bolloré.
Le 25 février
2024, en effet, une infographie y avait présenté l'avortement comme la
"première cause de mortalité au monde". Quelques jours après, la
journaliste Laurence Ferrari avait reconnu une erreur factuelle et exprimé des
excuses au nom de la chaîne.
Selon Aurélien
Saintoul, cependant, le relais d'un véritable plaidoyer anti avortement dans
cette émission contrevient à la convention qui encadre la bonne marche de
l'antenne et la lie au régulateur. "Il semble, écrit-il, qu'à ce jour
l'Arcom n'ait toujours pas achevé la procédure qui aurait vraisemblablement
conduit à la sanction de CNews. Je m'en étonne compte tenu de la gravité des
faits d'abord, mais aussi du fait que j'avais pu constater, au cours de la
commission d'enquête, que la plupart du temps, les signalements font l'objet
d'un traitement dans un délai moyen de trois mois."
Le Figaro le même
jour mais à 23h15 publie un papier intitulé « L’Arcom
sanctionne CNews pour avoir présenté l’avortement comme "une cause de
mortalité"» …un peu comme si le quotidien venait d’avoir une révélation !
Ben voyons.
Ah ! la concomitance des plumes…quand même !
Souvent, c’est presque de la transmission de pensée ! A moins que, …Non, ça on ne peut pas le dire ou l’écrire!
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