Pflimlin prévient sur les ondes Jean-Marc Ayrault, Aurélie
Filipetti, Jérôme Cahuzac, Patrick
Bloche, etc... “Je ne suis pas en sursis”
Le monarque Pflimlin se prend pour Louis XIV (sans la moumoutte).
Louis XIV disait "l’État c'est moi".... Pflimlin dans un drôle d'état déclare "la stabilité, c'est moi"' !!!! Aïe, aïe , aïe, ça ne s'arrange pas!
Le monarque Pflimlin se prend pour Louis XIV (sans la moumoutte).
Louis XIV disait "l’État c'est moi".... Pflimlin dans un drôle d'état déclare "la stabilité, c'est moi"' !!!! Aïe, aïe , aïe, ça ne s'arrange pas!
Pflimlin qui a laissé Presstalis (ex NMPP) mi 2010, en
situation de quasi faillite, était l’invité de Patrick Cohen ce matin sur France Inter. Pflimlin y a déclaré “être la stabilité de l'entreprise”. En filigrane il prévient voire
il menace. “Me débarquer” c’est “déstabiliser
l'entreprise” qu’il a pourtant depuis l’été 2010 totalement,
profondément et structurellement désorganisée.
Décidément après sa piètre “conf” de rentrée sur les
programmes du 28 août dernier pour
laquelle, ce dernier se fait unanimement dézinguer par toute la Presse (voir entre autres Libé),
le successeur de Carolis ne sait plus quoi dire pour se rendre “intéressant”!
Une fois encore les propos qu’il a tenus et sa posture sont invraisemblables.
Sur l’ensemble des questions, il répond à côté mais à celle du
journaliste hôte sur “les discussions qu’il a (qu’il dit avoir serait plus juste) avec la Ministre":
“Dans vos discussions avec la Tutelle avez-vous reçu des
assurances ou une confirmation sur la pérennité de votre mandat puisque le
député socialiste Patrick Bloche qui est par ailleurs président de la
commission des affaires culturelles à l'Assemblée a estimé, il y a quelques
jours, que vous deviez remettre votre mandat en jeu dans les prochains mois
devant le CSA?”
Voila ce que Pflimlin répond...accrochez-vous ça va décoiffer!
“Ce dont on parle là ce sont d'entreprises, d'entreprises importantes. France Télévisions c’est 10.000 personnes qui
travaillent; c'est des structures très importantes et donc ce qui compte
d'abord c'est la stabilité de
l'entreprise et dans le cadre des discussions que j'ai avec l'État, ce que
j'observe ce que nous parlons d'évolution, nous parlons de stratégies, nous
parlons de mise en œuvre de stratégies et ce travail que nous faisons
actuellement nécessite absolument la
stabilité. On ne pourrait pas parler
de ces choses là et les inscrire dans le temps s'il n’y avait pas stabilité.”
Sur la conclusion de Patrick Cohen: “Avec un président en sursis?!” Pflimlin se lâche “Ce qui n’est pas mon cas”...
A bon entendeur salut ! A Jean-Marc Ayrault, Aurélie
Filipetti, Jérôme Cahuzac, Patrick
Bloche, etc..il se présente comme “étant la stabilité de l'entreprise” et prévient: Me débarquer, c’est déstabiliser
l'entreprise!
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