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mercredi 14 novembre 2018

Élections à France Télévisions…bien plus que du « rififi » !? Trois procédures en cours dont une au Pénal juridiquement assortie d'amendes et des peines de prison record.

Élections à France Télévisions…bien plus que du « rififi » !? Trois procédures en cours dont une au Pénal juridiquement assortie d'amendes et des peines de prison record.  

Il y a quelques jours, juste après le deuxième tour de élections professionnels à France Télévisions que l’entreprise décidé d’organiser exclusivement par vote électronique, « La Lettre A» publiait un article intitulé « Élections à France télévisions : rififi autour du vote électronique »

Le titre de presse indiquait entre autres « Les syndicats UNSA et CFE-CGC alliés sur une liste commune ont saisi la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés), notamment sur la procédure de récupération des mots de passe, assurée par Neovote. L'alliance UNSA/CFE-CGC a également saisi le tribunal d'instance pour faire invalider le scrutin… »

Ce que ne mentionnait pas, à ce moment-là,  « La Lettre de l’Audiovisuel » c’est une troisième procédure – au Pénal, celle-ci – avec saisine du procureur de la République, instruction judiciaire et en fonction de l’enquête  des amendes et des peines de prison record (allant jusqu’à 10 ans, vu les chefs d’incrimination) pour celles et ceux qui ont imaginé fouler au pied la Démocratie.

« La Lettre A » n’évoquait pas non plus, les deux mises en demeures formelles, l’une adressée à la société Néovote assurant ce scrutin électronique à qui la loi fait obligation de garder l’ensemble des éléments intervenus lors de ce vote et l’autre adressée à France Télévisions qui s’est évidemment assise dessus.

FO allié de la CGT pour ce scrutin de second tour dans le collège 1 a même cru devoir moquer les procédures lancées par l'alliance UNSA/CFE-CGC en indiquant au journaliste qui l’a interrogée qu’il s’agissait là d’« une réaction de mauvais perdant » !

Des termes qui seront évidemment rappelés à tous le moment venu.

Il ne s’agit donc pas d’un simple « rififi » comme le titrait La Lettre mais bel et bien de plaintes qui ne se déposent pas à la légère sans éléments probants et dont  les conséquences qu’elles entrainent en matière de délits une fois avérés, de leur complicité comme de leur recel, sont gravissimes.

Nombreux sont ceux qui attendent avec impatience que la Justice enquête et se prononce avec la plus grande diligence possible.

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