L’ex
Orange publie un avis de recherche : France Télés cherche désespérément
France Télécom !
Comme l’écrivait hier le blog CGC
Média, l’ex Orange dont les jours sont
comptés a décidé de parachever sa casse de l’entreprise en y transférant les
méthodes de France Télécom qui ont renvoyé plusieurs de ses ex collègues en
Correctionnel.
Le communiqué diffusé hier par France
Télévisions concernant le plan de licenciements collectif (« non contraints » comme l’a répété hier à l’AFP Arnaud Lesaunier, directeur général délégué aux Ressources
humaines et organisation de France Télévisions [probablement l’un des prochains fusibles !] baratinant ainsi
l’agence de Presse en lui chantant que "Le plan accompagnera majoritairement
des départs à la retraite et sera accompagné de mesures facilitant la mobilité
interne" sur l’air de l’impératif " besoin de mixité
générationnelle et de recomposition des équipes."
Des gros bobards tout ça…surtout au
moment où la parachutée du « Schrameck’s band » (dont les conditions
que l’instruction judiciaire va qualifier) annonce « une
révision complète de l’Accord collectif du 28 mai 2013 jugé trop favorable aux
salariés » et ce alors même qu’à la signature de l’accord de
méthode signé pour engager des discussions sur une convention de branche, le
représentant de France Télés comme des autres employeurs de l’audiovisuel
avaient indiqué que le but n’était pas de dénoncer les accords d’entreprise
existant.
L’importation de telles méthodes qui ont défrayé la chronique, il y a une dizaine d’années
à France Télécom (devenu Orange depuis) signe quasiment là le dernier acte d’une
poignée d’incompétents et la fin de l’entre soi.
Ce n’est pas parce que certains cire-pompes
qui poussent aujourd’hui des cris d’orfraie et semblent se scandaliser d’une
situation dont ils sont comptables pour
avoir accompagnée Ernotte depuis l’été 2015
– les mêmes ayant au passage embobiné quelques suiveurs qui expliquerons dans
quelques jours, qu’il vaut mieux signer un accord encadrant les départs plutôt
que partir dans l’inconnu ! – que leur manip a des chances d’aboutir.
L’alliance UNSA-CGC qui conteste dans plusieurs procédures, notamment une saisine de la CNIL et une procédure au Pénal dont la déflagration devrait être sans précédent,
va tout mettre en œuvre et activer tous
ces relais pour que se réveillent les salariés et que leur cauchemar s’achève.
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