Que suggérer à l’ex Orange et son dircab vilipendés de toutes parts ? Des antifuites !
Voilà l’’ex Orange une nouvelle
fois habillée pour l’hiver. Alors que le JDD publiait juste
avant l’audience d’Ernotte et de Sitbon-Gomez le dircab (avec deux autres protagonistes), le 24 octobre dernier devant la 11ème chambre
correctionnelle du TGI de Paris (où l’ex Orange était absente) et où ce dernier affirmait devant le Tribunal n'avoir d'autre tâche que de "gérer l'agenda, rien que l'agenda de l'intéressée et la défendre si besoin était", un soi-disant
audit interne que France Télévisions a transmis à la Cour des comptes et qui
aurait opportunément fuité dans l'hebdomadaire dominical, avait déjà fait bondir et vivement réagir Pascal Josèphe.
Il s’était
déjà exprimé sur Sud Radio sur cette fuite mais l'ex dirigeant télé en remet une couche en forme de droit de réponse dans le JDD de ce weekend.
Il n’y était déjà pas allé avec
le dos de la cuiller au micro de Valérie
Expert dans « Le 10h-12h » présenté par la journaliste indiquant qu’il
s’agissait selon lui selon lui d’"un
simple règlement de comptes"
et ajoutant "Il y a, au sein des dirigeants
de France TV, quelques responsables indignes de leurs fonctions, qui sont payés
par la redevance, qui font beaucoup de mal à la télévision publique et qui
essaient de jouer l’avenir de France TV dans le caniveau. Je les laisse dans
leur caniveau".
Il
précisait d’ailleurs "J’ai répondu dans une interview
du JDD sur le fait que pendant 17 ans, j’ai accompagné 4 présidents de France
TV et leurs équipes. Des traces [de l’activité
de Imca, ndlr], il y en a des dizaines et des dizaines de
kilos que je me ferais un plaisir de livrer à la direction de France TV dans
les jours qui viennent. À mon avis, ils n’ont pas cherché."
Pascal Josèphe un pro de l’audiovisuel incontestablement, contrairement à Ernotte pourtant parachutée
par Schrameck and co à l’été 2015 depuis la téléphonie sans aucune connaissance
du secteur, en remet donc une
nouvelle couche ce 29 octobre dans le même JDD:
"Les archives de France télévision
sont bien mal tenues pour qu'on puisse prétendre que nos activités n'auraient
pas laissé de traces. Si les services concernés s'étaient donné la peine de les
demander, ils disposeraient depuis longtemps des centaines de livrables qui ont
été fournis sur plusieurs années 1996 à 2013 aux directions générales et
direction de chaînes successives.
Mobilisant de nombreux experts, ces travaux concernaient tous les aspects
du fonctionnement et de la stratégie de l'entreprise et des antennes, en
métropole et en outremer. S’agissant des contrats liant mon cabinet de l'époque
à France Télévisions, mettre en cause les procédures, c'est douter de la
rigueur de gestion des dirigeants de France Télévisions d’alors, je n'ai aucun
doute sur celle-ci.
Enfin additionner et des chiffres d'affaires de plusieurs années n'a pour
but que d'afficher un montant qui pourrait paraître choquant en le dissociant
du travail effectué et du temps passé. À noter que le chiffre d'affaires
réalisé France TV correspond environ à 20 % du chiffre d'affaire globale
réalisée par mon entreprise sur cette période."
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