Pour défendre l’indéfendable,
Ernotte tire sur le patron de TF1.
« Le patron de TF1 qui siège chez Barrière, personne ne lui dit
rien » martèle la
porteuse d’eau de France Télés.
Faudrait-il
rappeler à celle dont les conditions de son parachutage à l’été 2015 font l’objet
d’une instruction judiciaire (*) que TF1 c’est le privé et France Télés est une
entreprise d’État.
Que l’accord
France Télévisions qui a force de loi et s’applique à tous ( * 3.6 Intérêts croisés)
interdit ce genre de pratique. "Les salariés
ne peuvent par eux-mêmes ou par personne interposée posséder des intérêts de
nature à compromettre leur indépendance, dans une entreprise en relation
d'affaires avec la société ou le groupe (ou susceptible de l'être en raison de
son activité), ainsi que d'être lié par contrat avec une telle entreprise quelles
que soient la forme et la nature juridique de ce contrat.
Tous les renseignements utiles sont fournis à
l'employeur par les salariés pour permettre la vérification du respect de cette
disposition, à la demande de l'employeur ou à l'initiative du salarié."
Il ne peut
de toute façon y avoir deux poids deux mesures. Invalider le mandat de Marie-Christine
Saragosse pour avoir omis de déclarer l’ensemble de son patrimoine et laisser
passer le scandale révélé par « Le Canard » d’Ernotte qui a oublié d’indiquer qu’elle émargeait chez Suez.
Que de surcroit, elle
a pris une motion de défiance à plus 84% des votants, également en tant que responsable éditoriale.
Redisons-le, à l’Élysée comme au sein du Gouvernement mais aussi aux Finances et à la Culture et plus largement pour l’ensemble des salariés de France Télés, chacun attend qu’elle soit démise.
(*)
Redisons-le, à l’Élysée comme au sein du Gouvernement mais aussi aux Finances et à la Culture et plus largement pour l’ensemble des salariés de France Télés, chacun attend qu’elle soit démise.
(*)
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