« Suppression de la redevance : la méthode du gouvernement fait l'unanimité contre elle » écrit Écran Total qui d’entrée de jeu parle « d’illusion , de miroir aux alouettes » et met en avant « Un marché de dupes où communiqué après communiqué, les professionnels del' audiovisuel et du cinéma écornent chacun leur tour le projet gouvernemental de suppression de la redevance . Déjà validé en commission, [en premier lieu] l' article premier de la loi de finances rectificative 2022 prévoit la disparition pure et simple de la Contribution à l' audiovisuel public ( CAP , ex-redevance audiovisuelle). »
Le tire de presse ajoute « Lors du Conseil des ministres du 11 mai dernier , le gouvernement indiquait dans son compte rendu que " la suppression de cet impôt rendra du pouvoir d' achat à hauteur de 138 Euro par an (chiffrage pour la France métropolitaine) à près de 23 millions de foyers redevables. Les sociétés de l' audiovisuel public seront dorénavant financées par des subventions provenant du budget général de l' Etat, dans le de l' respect à valeur constitutionnelle de et pluralisme objectif d ' indépendance des médias . Il est notamment prévu de programmer le budget àtravers une loi pluriannuelle et d' empêcher les révisions budgétaires en cours d ' année.
Le texte doit être voté par les députés jeudi 21 juillet , et devrait logiquement se diriger vers le Sénat pour la suite de son périple législatif… »
A quoi Le Canard enchaînée de ce mercredi ajoute « qu’un impôt ne peut pas en remplacer un autre » (ci-après)
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