Nouvel et terrible uppercut dans les dents du couple Field/Ernotte...il ne va pas leur en rester bézef !
Celui-ci, il est signé Alain Juppé...et il y a de quoi.
Alain Juppé qui était l'invité de Ruth Elkrief sur BFM TV vient, semble-t-il, d'adresser un message couple Field/Ernotte après son passage dans "L’Émission politique" sur France 2 jeudi dernier où ila largement devancé Nicolas Sarkozy en audience malgré l'enchaînement de "surprises" que lui avait réservé le duo infernal.
"Il y a des émissions où on dirait
qu'on est juste là pour se faire agresser. Je ne parle pas de la vôtre.
Certains devraient se demander ce qu'en pense le public !..."
En cela, il ne fait que grossir la liste de toutes celles et ceux qui se demandent comment ces deux là peuvent encore avoir le moindre soutien: celle que "Schrameck and co" avait propulsé l'an dernier à France Télé sans aucune connaissance du secteur (parachutage qui fait toujours l'objet d'une instruction judiciaire qui tarde à s'ouvrir faute d'une signature sur le document judiciaire la lançant!) flanquée de son ex patron de France 5 promu "directeur de l'Info" au retour de leur voyage commun dans les îles!
En tous cas, il paraît évident que lobbyiste ou pas - Elle vient de recruter Bruno Loutrel, consultant en affaires publiques/lobbying chez Boury & associés,
comme l'indiquait "La Lettre de l’Expansion" - il est peu probable qu'à Droite comme à Gauche, 2017 ne soit pas une année très faste pour le couple.
Le blog CGC Média pour être le plus complet possible, invite ses lecteurs à prendre connaissance de l’article de Renaud Revel publié dans son "Immédias 2016" qui en dit long, intitulé: "Après Juppé face à Kerviel, Sarkozy sur le divan de Gérard Miller"
Extrait:
"Son passage jeudi dernier sur le plateau de France 2 ne restera pas gravé dans sa mémoire. Loin s’en faut : Alain Juppé est sorti quelque peu furibard du siège de France Télévisions. Non pas que sa prestation fut mauvaise : le maire de Bordeaux a pu dérouler en bodybuilder de la politique un propos solide. Non, c’est le dispositif surréaliste de l’émission qui a mis en rogne celui qui dut affronter, coup sur coup, un ex-trader à la dérive, Jérôme Kerviel, et un illuminé monomaniaque, Robert Ménard.
Le premier, on crut rêver, fut appelé à la barre pour parler régulation de la finance. Quant au second, il en appela à la chasse aux Sarazins, avec des accents qui interrogeaient sur sa santé mentale. Face à eux, un homme partagé entre la consternation et le fou-rire: Alain Juppé dont le regard vacilla.
C’est la honte du service public que d’offrir de tels tréteaux à de tels zigotos. Et c’est l’honneur du même service public de rehausser le débat politique et non de le galvauder, de le dégrader, de la sorte.
Alain Juppé avait toutes les raisons d’être en colère. Et c’est d’une irritation chasse-mouche qu’il a refusé le verre qui l’attendait, une fois l’émission terminée.
Juppé mécontent, Sarkozy en furie: Delphine Ernotte, a fort à faire sur son flanc droit.
La diffusion ce soir sur France 3 d’un autre documentaire, réalisé par Gérard Miller, cette fois-ci, sur le patron des Républicains, risque de crisper une nouvelle fois.
Intitulée Sarkozy, l’homme qui courait plus vite que son ombre, cette tentative psychanalytique vient après le feuilleton Bygmalion de France 2. Une nouvelle fois, l’ancien locataire de l’Élysée s’interrogera sur l’assiduité avec laquelle France Télévisions s‘attache à sa personne. France Télés fait-il rougeoyer les braises de la « provoc »? Non, assure-t-on en interne, où le travail et l’impartialité des journalistes sont mis en avant. Ce que l’on veut bien croire."
Extrait:
"Son passage jeudi dernier sur le plateau de France 2 ne restera pas gravé dans sa mémoire. Loin s’en faut : Alain Juppé est sorti quelque peu furibard du siège de France Télévisions. Non pas que sa prestation fut mauvaise : le maire de Bordeaux a pu dérouler en bodybuilder de la politique un propos solide. Non, c’est le dispositif surréaliste de l’émission qui a mis en rogne celui qui dut affronter, coup sur coup, un ex-trader à la dérive, Jérôme Kerviel, et un illuminé monomaniaque, Robert Ménard.
Le premier, on crut rêver, fut appelé à la barre pour parler régulation de la finance. Quant au second, il en appela à la chasse aux Sarazins, avec des accents qui interrogeaient sur sa santé mentale. Face à eux, un homme partagé entre la consternation et le fou-rire: Alain Juppé dont le regard vacilla.
C’est la honte du service public que d’offrir de tels tréteaux à de tels zigotos. Et c’est l’honneur du même service public de rehausser le débat politique et non de le galvauder, de le dégrader, de la sorte.
Alain Juppé avait toutes les raisons d’être en colère. Et c’est d’une irritation chasse-mouche qu’il a refusé le verre qui l’attendait, une fois l’émission terminée.
Juppé mécontent, Sarkozy en furie: Delphine Ernotte, a fort à faire sur son flanc droit.
La diffusion ce soir sur France 3 d’un autre documentaire, réalisé par Gérard Miller, cette fois-ci, sur le patron des Républicains, risque de crisper une nouvelle fois.
Intitulée Sarkozy, l’homme qui courait plus vite que son ombre, cette tentative psychanalytique vient après le feuilleton Bygmalion de France 2. Une nouvelle fois, l’ancien locataire de l’Élysée s’interrogera sur l’assiduité avec laquelle France Télévisions s‘attache à sa personne. France Télés fait-il rougeoyer les braises de la « provoc »? Non, assure-t-on en interne, où le travail et l’impartialité des journalistes sont mis en avant. Ce que l’on veut bien croire."
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