LA CGC WALLIS ECRIT : « QUAND ON VEUT NOYER SON CHIEN, ON L’ACCUSE DE LA RAGE… »
Un des symptômes les plus flagrants de la rage se manifeste par une intolérance viscérale à tout anticorps en plus d’attaquer le système nerveux.
Mais heureusement la science ayant fait des progrès énormes, le remède contre ce virus est connu depuis bien longtemps. Pourtant certains semblent bien décidés à faire, à Wallis, un diagnostic très partisan sur l'air du dicton populaire « quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage »
Déclenchement et développement de la maladie wallisienne
- 20 Octobre 2009 : Blocage du directeur administratif par une partie du personnel, l’empêchant d’accéder à son lieu de travail.
- 19 Novembre 2009 : Blocage du Rédacteur en chef et dans la foulée du Directeur Technique Chef de centre.
- 19 Novembre 2009 : Prise de force de l’antenne Radio et Télé par une partie du personnel, instaurant de fait une situation d’autogestion.
Un remède ? Patrick de Carolis aurait pu raisonnablement l’administrer, il y a plus d’un mois ! Seulement voila, d’expérience beaucoup savent que le chemin de la facilité a rarement été celui de la raison et que certaines décisions sont d’autant plus difficiles à prendre certains vous disent avoir la solution!
Avant de s’attaquer à un mal, tout bon médecin a parfois besoin d’un deuxième avis. Sans prétention aucune, la CGC Wallis et Futuna, tenterait bien de l’apporter mais sur place, aux symptômes de la rage que certains ont mis en avant, succèdent étrangement ceux de la gangrène.
Et cette gangrène que certains voudraient voir gagner la station de Wallis, n’hésitant pas à mettre l’avenir d’une station régionale en jeu, suit tout un processus: semer la zizanie pour « remonter » des pseudos problèmes, au moyen de réseaux comme il en existe une multitude dans les arcanes du Réseau France Outre Mer.
Derrière ces manœuvres que faut-il y voir ? La nomination « opportune » d’un nouveau directeur régional plus enclin à utiliser les antennes de RFO Wallis et Futuna à dessein ?! Il fut un temps où le plateau était ouvert à tout « grand penseur » qui sous n’importe quel prétexte faisait profiter de « sa science infuse » les téléspectateurs wallisiens et futuniens.
La CGC Wallis et Futuna se refuse à cautionner le sabotage de RFO Wallis et Futuna. Tous ces symptômes de pseudo « malaise » masqueraient complètement l’effort fait par la Rédaction sur la qualité de l’unique produit journalier en l’occurrence le JT ainsi que les efforts avérés sur la qualité des produits du Bureau Artistique? Non.
Ce genre de sabotage orchestré est à dix mille lieues de l’intérêt général et, la gangrène aidant, il pourrait bien prendre sur les effectifs locaux. Une gangrène qu’il est encore temps de stopper à un stade naissant, avant qu’elle ne sclérose tout le système.
La situation est extrêmement grave et la réponse ne peut tenir à l’envoi d’un « médiateur »….surtout si ce « médiateur » devait être l’un de ceux qui ont permis à la maladie de se propager! Autrement dit, il n’est pas concevable demander à un pyromane d’aller éteindre un feu…« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément… » (Boileau)
C’est pourquoi, avant toute médiation (si tant est qu’elle soit utile !), il y a d’abord les principes de la République française à respecter…Si ceux-ci devaient être violés, qui mieux qu’un préfet qui conformément à l'article 72 de la Constitution est "le représentant de l'Etat, représentant de chacun des membres du gouvernement dans les collectivités territoriales de la République et toujours selon la Constitution, celui qui a la charge des intérêts nationaux, du contrôle administratif et du respect des lois" pourrait être l'homme idoine?
Il est donc hors de question pour France Télévisions d’aller discuter avec ceux qui transgressent ses principes, allument des feux et se présentent ensuite en pompier de la dernière chance…
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