Pour approcher Emmanuel Macron que ne ferait l'ex Orange ?!

Le blog CGC Média révélait le 10 mai dernier dans un article intitulé "Benjamin Maurice va devoir retourner pester dans son ministère de rattachement et quitter France Télés" que ce haut fonctionnaire rattaché au ministère de la Santé puis à celui du Travail dont il s'est retrouvé détaché en janvier 2014 à France Télévisions pour, théoriquement s'occuper du dialogue social à France Télés, a tout essayé pour être investi par "La République en marche" imaginant peut-être par la suite, s'il était élu, servir de courroie de transmission entre l'ex Orange et l’Élysée!

C'est raté. Chacun pensait que l'énarque détaché aurait été  renvoyé sur le champ vers son dernier ministère de rattachement celui du Travail -  l'impérative obligation de réserve qui aurait dû être la sienne étant violée - mais il est toujours là et on le voit encore essayer de figurer en bonne place bien que ne roulant donc pas pour le parti du Président de la République aux prochaines législatives. (*fin de post)

Il était encore sur les images de BFM TV dans le cadre du reportage consacré par la première chaîne d'info en continu à Brigitte Macron La Première dame de France.

Regardez c'est hallucinant...on croirait l'homme à la casquette qui s'est systématiquement  placé au entre de la caméra dans les meetings du candidat d'En Marche avec son épouse. (sur les images qui suivent il s'est mis bien au milieu pour qu'on voit que lui...la Dame en bleu qui sert la main de Philippe Besson, c'est....Oui c'est elle!)

Beaucoup se demandent comment il arrive encore à trouver le temps de passer à France Télés payé par le contribuable qui plus est ! Une honte.

Regardez, c'est hallucinant...

(*fin de post) Son investiture dans les Ardennes par le parti « La République en marche » avait été annoncée dans l’Union du 10 mai dernier avec une photo ou posait l’intéressé style affiche de campagne.

En milieu d’après-midi, la liste des investitures tombait et il n’y était pas. Il y avait là, parité oblige sur 3 circonscriptions : 1 femme et 2 hommes.

"Dans la 1ère circonscription, Jean-Pierre Morali marcheur de la première heure qui dirige le mouvement d'Emmanuel Macron dans le département depuis sa création. 

Mario Iglesias, le maire de Fumay, investi lui dans la 2ème circonscription.

Enfin dans la 3ème, Christelle Vorillon, une sedanaise elle aussi issue de la société civile et qui n'avait jusque-là jamais fait de politique, apparaissait bien sur la liste mais n’étant finalement plus candidate en disparaissait vers 19h30."