Critique au vitriol de ce que publie Wallès Kotra sous le titre « Mes Outre-Mer ».

Critique au vitriol de ce que publie Wallès Kotra sous le titre « Mes Outre-Mer ».

L’ADAP met en ligne aujourd’hui, sous le titre « Madiba - Kotra : un éreintement de son bouquin sur l'audiovisuel de l'Outre-mer », une critique acerbe de ce que publie le prédécesseur de Sylvie Gengoul au pôle Outremer de France Télévisions.

Extraits :  « Madiba a reçu une critique au vitriol de l'ouvrage, au tirage confidentiel, écrit par l'ancien patron du réseau Outre-Mer des 1ères. 

Une remarque au passage, Luc Laventure dans cet opus est un fantôme et pourtant s'il y a quelqu'un qui, lui, a fait quelque chose pour les Outre-mer c'est bien cette personnalité flamboyante. Il y a des rancunes tenaces que la mort n'efface pas. »…

"Mes Outre-mer", rien que ce titre mérite une attention particulière.  L'homme s'approprie ces terres lointaines comme Christophe Colomb faisait siennes ces contrées nouvelles d'Amérique, populations comprises. 

D'où Walles parle-t-il ? Quel siège pense-t-il détenir ? Celui d'un Roi-nègre déchu ? Mais a-t-il seulement un jour eu cette majesté ? 

"Mes Outre-mer" ! Quel voyage,  quelle odyssée pour celui qui, tel Ulysse, revint en "lousdé" à Ithaque. Lui au moins avait compris après avoir exploré. Walles est venu, a pris et n'a rien pigé à SES Outre-mer, trop obnubilé à vivre à leurs dépens.

….Le pire est d'avoir accompagné la mort du petit cheval France Ô sans tenter de lui trouver une seule raison de vivre.

….

Sur le fond, rien. Au-delà et sans honte bue, avec sa fourberie, il cherchera à se construire une image de sage. Mais sage de quoi, de qui ? Sa brutalité à défendre ses intérêts et ceux de sa garde rapprochée n'est pas une légende. C'était Walles.

Assis dans ce fauteuil du cinquième étage, il y prenait toute la place de bonheur et de satisfaction.

Il n'avait jamais autant rêvé de celle-ci avec gourmandise.

"Mes Outre-mer". Un gâchis dont on ne peut oublier l'auteur toujours en quête de reconnaissance...Ce titre en témoigne. »